29 décembre, 2006

Les hyènes : suite !


Dans l'article intitulé « Sex an the city », je vous parlais d'un déjeuner au cours duquel trois amies, ont étripé une jeune femme dont nous parlions, au motif que son comportement séducteur, aurait été totalement amoral et carrément pathologique.

La théorie qui est mienne, fait que je considère les propos de ces femmes, comme une forme d’infra communication émotionnelle, mettant en relief que cette jeune femme séductrice constituant pour elles, une concurrente sévère pour l’obtention des mâles, cela les amène à la lyncher. C’est ce que l’on appelle la « compétition sexuelle », qui existe aussi bien entre mâles qu’entre femelles d’une même espèce. Tandis que, différence de taux de testostérone oblige, les mâles s’affrontent directement en se battant entre eux, les femelles s’envoient les pires vacheries à la face.

Le sujet m’intéressant, j’ai eu l’idée de demander à une autre amie ce qu’elle pensait de tout cela et sa réaction m’a amusé. Elle m’a d’abord expliqué, que bien sur sa première réaction serait de traiter cette jeune femme de salope. Et qu’ensuite, en s’interrogeant plus avant, il lui semblait abusif de qualifier ainsi cette jeune femme, puisque si elle avait été un homme, on l’aurait simplement traitée de Don Juan. Qu’est-ce qui fait que passant d’un sexe à l’autre, un défaut deviendrait une qualité ? Et qu’au-delà de tout cela, si on pouvait admettre qu’un Don Juan puisse s’amender et finir par épouser la femme de sa vie et lui rester fidèle, on pouvait aussi l’espérer d’une séductrice, pourvu qu’elle ne soit pas hystérique au sens psychopathologique.

Enfin, cette amie m’a avoué amusée, que parfois, elle avait pu envier ce genre de jeunes femmes, sures d’elles-mêmes et de leurs capacités de séduction. Que si elle avait possédé cette même assurance, sa vie s’en fut trouvée changée et grandement facilitée !

Et de conclure, si on ne peut que détester ce genre de petites salopes, on ne peut aussi que les envier, par leur liberté et leur capacité à jouer de leurs atouts.

On voudrait toujours nous faire croire que les femelles de l’espèce sont douces, calmes et incapables de la moindre méchanceté et je n’en crois rien. Un parti nous présente même une candidate, en arguant que le fait qu’elle soit une femme, serait une nouveauté et un avantage extraordinaires. Tout ce ci est idiot, les femmes ne sont ni pires, ni meilleures que les hommes : leur violence et la manière dont elles y ont recours est différente. Il n’y a qu’un crétin alcoolique comme Renaud, pour chanter les louanges des femmes, comme si elles étaient toutes de douces agnelles. C'est d'ailleurs souvent un trait remarquable dans certaiens fomes d'alcoolisme masuclin, que d'idéaliser la femme. J’ai dans mon cabinet, vu tant d’hommes victimes de grandes hystériques, que je sais que les souffrances psychologiques qu’ils ont enduré, sont à la mesure de ce que les femmes battues endurent de maris violents : les mots et les attitudes peuvent blesser autant que des coups !


Après avoir discuté de tout cela avec cette amie, j’étais content de constater qu’il existait des femmes honnêtes, prêtes à analyser un fait en jugulant leurs émotions !

1 Comments:

Blogger LiLi JaZz said...

Je crois les femmes bien plus dure entre elles que les hommes. Les femmes généralement, sont des pitbull qui ne lacheront jamais ce qu'elles ont dans la gueule contrairement aux hommes qui seront facilement refroidit par un seau d'eau. J'ajouterai même qu'ils sont plus rationnels en ne voyant pas dans toutes races, des adversaires potentiels. Les femmes ont, elles toujours un mot attentionné pour leurs semblables que ce soit à propos de la race, du poids, de l'age ou de la lignée..

Enfin je vois que ce post remonte à 2006, durant les primaires de 2011 la maltraitance psychologique que la femme aime infliger à l'homme dans le quotidien à été dévoilé au grand jour. Messieurs il est temps de faire votre révolution!

2/1/12 12:28 AM  

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