1er août !

Pas un rat !

Tous les blaireaux sont en vacances et Paris est à moi ! Peu de monde dans les rues, des tas de boutiques fermées, dans ces moments là, je me prends à rêver qu'ils vont tous rester sur leurs lieux de vacances pourris, dans des provinces dont j'ignore même le nom et qu'ils n'auraient jamais du quitter, ou bien dans de pays improbables à faire du trekking ou je ne sais quelle autre activité chiante.

Il n'y a qu'un truc qui me gêne un peu, ce sont les Vélibs. Il y en a beaucoup dans les rues. Rien que le nom m'ennuie, cette contraction débile de vélo et de liberté, qu'on croirait inventée par un gamin de cm2. Et ce look ringard et pataud de ces engins, et encore, je ne parle par de l'air de contentement des trouducs qui se baladent avec ! Et que dire des ces nuls de touristes qui vont être ravis de trouver ces merdes à louer et qui vont trouver cela super parce que c'est tendance. C'est bien le problème, si nos bobos voyagent, les bobos du monde entier viennent aussi chez nous. Moi j'adore lire que les parisiens sont pressés, impolis, et pas sympas et qu'en plus nos garçons de café ne parle que français, au moins ça écrème ! Et puis, on vous emmerde les touristes, si ça ne vous plait pas, restez chez vous ou allez voir ailleurs !

Enfin, ce n'est pas très grave, cela me donnera une occasion de me réjouir cet l'automne, à partir du quinze octobre, quand tous ces vélos nazes resteront attachés à leurs stations pourries, parce qu'il faut vraiment être le roi des cons pour aimer faire du vélo sous la pluie.

Véhicule de blaireau !
(carefull blaireau on it!)