01 juillet, 2007

Officiel !!! Grand Gagnant du Grand Jeu Concours !


Aucune nouvelle du trente-millième visiteur de ce blog. C'est donc le trente-et-un millième visiteur qui gagne le fabuleux prix, à savoir une bouteille de Gris de Toul, dont il n'abusera pas, et qu'il saura consommer avec modération, comme le rappelle la loi de notre beau pays !

Ce trente mille unième visiteur, s'est fait connaitre par mail. Il habite à Chatenay-Malabry et se prénomme Sylvain. Très aimablement, il m'a joint un scan de son abonnement wanadoo ainsi que sa photo afin de s'authentifier. C'est très gentil de sa part, et cela dénote une personnalité organisée et scrupuleuse, même si j'ai eu un peu peur en regardant sa photo, mais c'est normal les paranoïaques font toujours un peu peur.

Sans doute âgé d'une petite trentaine d'année, sa photo laisse apparaître un visage ovale qui ne sourit pas, sans traits marquants, mais avec des yeux bruns fiévreux et un peu inquiétants et un sourire un peu torve. J'ai cru pendant un instant que c'était une photo de l'identité judiciaire. Quand on tente d'imaginer à quoi ressemble un psychopathe, on a un peu ce genre de visage en tête. Enfin, on ne choisit pas ses lecteurs ! Il a gagné, il recevra sa bouteille, je n'ai qu'une parole !

La bouteille lui sera envoyée en début de semaine à l'adresse qu'il m'a confiée, accompagnée d'un certificat attestant qu'il a bien été le trente mille unième visiteur de PSYCHOTHERAPEUTE.BLOGSPOT.COM, le blog le meilleur de l'univers tout entier.

Au départ, j'avais eu l'idée de joindre à la bouteille, une photo dédicacée de Laurence en tenue légère, telle qu'elle apparait dans le spectacle érotico-comique qu'elle joue trois soirs par semaine dans un cabaret mal famé de Toul, mais j'ai abandonné cette idée en voyant le visage du gagnant. Lui donner cette photo, ça aurait été comme filer la photo de ses gosses à Michel Fourniret. On est aussi là pour déconner, c'est vrai, mais il faut aussi savoir être sérieux !

4 Comments:

Blogger El Gringo said...

Cher Monsieur,

Auriez-vous l'immense amabilité de bien vouloir m'indiquer la marche à suivre pour recevoir la photographie dédicacée de votre collaboratrice en tenue légère? N'étant pas le trente millième visiteur, je ne revendique nullement le gain illégitime d'une bouteille de divin nectar mais je suis vivement intéressé par l'obtention de ce document destiné à illuminer l'existence d'un de vos obscurs disciples. Lecteur assidu de vos articles, j'ai bien noté que cette personne est décrite par vos soins comme étant extrêmement attirante. Bien entendu, j'ai une confiance aveugle dans la justesse de votre appréciation mais n'étant pas doté d'une imagination aussi fertile que la votre, j'ai l'impérieuse nécessité de consulter ce portrait pour pouvoir appréhender la dimension universelle du pouvoir de séduction émanant de cette demoiselle.
Je vous aurais volontiers fait cette demande par courriel, à l'instar de votre trente mille unième visiteur mais je n'ai pas l'honneur de connaître votre adresse de messagerie qui, sauf erreur ou omission, n'apparaît nulle part sur votre blog.

Dans l'attente de votre bienveillante approbation, je vous prie d'accepter, cher Monsieur, mes déférentes salutations

2/7/07 12:22 AM  
Anonymous Anonyme said...

heu, moi aussi je veux bien la photo de Laurence, mais sans la tenue légère. Une simple bouteille de gris de toul fera l'affaire comme accessoire...

2/7/07 1:59 AM  
Blogger Laurence said...

De Chong wââ mol ufem mââk fôô ebes ze fokââfe. Foââ sinem chtond hada laout gekrich : " Krumbèère ! chééne krumbèère !". Uf émôl coumt jo nit a Oberleutnant dourch ! De Praïze zâât em Chong : " Mein Herr, was Sie verkaufen wird Heute nicht mehr Krumbèère genannt, sondern Kartoffeln ! Bemerken Sie sich das schön an". Em Chong fèld der onere gonz chéén ouf de nèafe : "Sovizôô, ob Kartoffeln oda Krumbèère jetz ze zôôn, in e pââ monade zins jo vida pommes de terre"

2/7/07 9:59 AM  
Blogger El Gringo said...

Le père de Laurence était cantonnier à Bitche, il s'appelait Joggob (Jakob, en dialecte Platt). Voici son histoire:

De Joggob war „Chaussée-Schìtz“. M'r hat àh „cantonnier“ gesàt. Er hat stännich, bi àllem Wìnd ùn Wédder, òn de Stròße èndlòng gehàckt ùn geschìbt. Er hat devòa gesòaicht, dass ’s Rènewàsser gùtt ìn de Chausséegràwe hat kìnne àblàfe. Er hat dìe schiefe Rìnne vùm Stròßerònd ìmmer suwwer gehàll. Wenn àls e Gewìdder finner Sònd enìnn gefléédzt hat, nòdd hat de Joggob ne sofòat widder ewægg geschébt. E Stèn oder e gefàllener Àscht hat-'r ìn dènne Grææwle àh nìtt gedùld.

Wenn sich e Kull ìn de Stròß gebìld hat, hat de Joggob schnæll Schlàggestèn enìnn gelèad ùn féscht drùf erùm gestòmmt ùn geblodzt. D’ Schlàgge sìnn wagonwiss mìt de Isebòhn vùm Hàchedìnger Hochowe geliwwerd wòa. Dòmòls hònn d’ Bure noch mìsse frone, ònstàtt Stéijere zàhle: se hònn d’ Schlàgge mìsse òn de Ròmp vùm Bìtscher Bòhnhof ùflàde ùn òm Rònd vùn de Stròße ìn klènne Hifle àblàde. De Chaussée-Schìtz hat d’ Schlàgge nòher mìt sinnem iserne Schubkarrich òn d’ rìchdiche Stelle gefìat ùn dòat vedælt. Iwwer dìe gefìllde Lécher hat-'r mìt eme àlde, bæbbiche Èmer e bìssel schwaazer Teer geschìtt ùn nòdd noch e finni Schicht Kieselstèn owwedrùff gestraut. Des hat-'r àwwer nùmme ìm Sùmmer kìnne màche, wenn de Teer làfich war.

’S Gràss, wù òm Stròßerònd gewàchs ìsch, hat de Chaussée-Schìtz dìafe far sinn Vìeh benùtze. Òweds, wenn-er mìt-em Ràdd hèmmgefahr ìsch, hat-er déck e Sàck Grines fa sinne Hàse ùf-em Gepæckdräjer mìtgenòmm. Ònfòngs Juli hat-'r sogar de gònz Stròßerònd gemäht ùn Hei gemach. Des hat-'r nòdd ìn große Gràsdìcher zòmme gebùnn ùn dìe hat-'r ènns ùm's ònnere mìt sinnem vìerrédderriche Zìhwähnel hèmmgeschlææft.

Ìm Winder hat-'r d’ Éscht vùn de Bäm gestudzt ùn d’ Hégge òn de Béschùnge kùaz geschnit. Ùn wenn Wùazle usgeschlàà hònn, hat-'r se mìt de Stockhau usgehàckt.

So war de Chaussée-Schìtz ’s gònz Jòhr dùaich beschäfdicht.

2/7/07 1:43 PM  

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