Vie de château ! Bis repetita !
Comme je suis un excellent convive, encore une fois, quelqu'un a eu l'excellente idée de me convier ! On s'est réjoui de ma présence, de ma culture encyclopédique comme de mes excellentes manières. Encore une fois, il s'agissait d'un château, car il faut bien le dire, j'aime assez la vie de château et j'oserai même dire que le château, plutôt moyen-âgeux par ailleurs, est l'écrin dans lequel je brille le plus.
En l'occurrence, il s 'agissait de celui de mon ami Urbain, qui rentre régulièrement dans ses terres angevines, afin de vérifier que son régisseur ne le gruge point. Ensuite il va faire un tour dans ses métairies et a pour chacun de ses manants un mot aimable. Et c'est chose agréable que de voir ces braves gens tellement heureux de voir arriver leur bon maître, leur bonne trogne rougeaude illuminée d'un large sourire. Il faut les entendre crier "Noël, Noël !". On est bien loin des conflits sociaux, des luttes de classes et autre billevesées de cet ordre ! Chacun à sa place et les vaches seront bien gardées dit le proverbe.
Voilà pourquoi, je n'ai pas posté depuis deux jours ! Vous avez du rester sur votre faim tandis que je festoyais et que je m'esclaffais aux bons mots des trouvères et applaudissais aux performances des jongleurs !
Qu'il est doux d'arriver dans un endroit où l'on se sente à l'aise, puis de choisir sa chambre parmi les vingt-cinq disponibles. Bien sur, j'ai pris une chambre de maître dans l'aile sud, tandis que l'ami Sean, qui nous accompagnait, se contentait d'une chambre plus modeste dans l'aile ouest, au dessus des communs. Il est bon, bien que nous soyons amis et fort proches les uns des autres, que certains usages perdurent. Sean a beau avoir une situation sociale et des revenus qui me font passer pour un mendiant, durant deux jours, tout était revenu normal, la nuit du 4 août, cette sinistre farce, n'avait jamais eu lieu.
Ce week-end, décidemment, en terres d'Anjou, nous ne sentîmes point les effets néfastes de cet évènement déplorable, que l'on nomme révolution française.
En l'occurrence, il s 'agissait de celui de mon ami Urbain, qui rentre régulièrement dans ses terres angevines, afin de vérifier que son régisseur ne le gruge point. Ensuite il va faire un tour dans ses métairies et a pour chacun de ses manants un mot aimable. Et c'est chose agréable que de voir ces braves gens tellement heureux de voir arriver leur bon maître, leur bonne trogne rougeaude illuminée d'un large sourire. Il faut les entendre crier "Noël, Noël !". On est bien loin des conflits sociaux, des luttes de classes et autre billevesées de cet ordre ! Chacun à sa place et les vaches seront bien gardées dit le proverbe.
Voilà pourquoi, je n'ai pas posté depuis deux jours ! Vous avez du rester sur votre faim tandis que je festoyais et que je m'esclaffais aux bons mots des trouvères et applaudissais aux performances des jongleurs !
Qu'il est doux d'arriver dans un endroit où l'on se sente à l'aise, puis de choisir sa chambre parmi les vingt-cinq disponibles. Bien sur, j'ai pris une chambre de maître dans l'aile sud, tandis que l'ami Sean, qui nous accompagnait, se contentait d'une chambre plus modeste dans l'aile ouest, au dessus des communs. Il est bon, bien que nous soyons amis et fort proches les uns des autres, que certains usages perdurent. Sean a beau avoir une situation sociale et des revenus qui me font passer pour un mendiant, durant deux jours, tout était revenu normal, la nuit du 4 août, cette sinistre farce, n'avait jamais eu lieu.
Ce week-end, décidemment, en terres d'Anjou, nous ne sentîmes point les effets néfastes de cet évènement déplorable, que l'on nomme révolution française.
2 Comments:
En l'occurrence, on peut donc dire que cet Urbain est doté d'un bel habitat ;-)
N'est-ce pas ? Bon, j'attends maintenant la réaction de Sean s'il passe me lire.
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