Coucou !
Mais non, rassurez-vous je suis bien vivant. Pourquoi, ne suis je pas venu écrire ? Bof, je n'en ai aucune idée. J'avais pourtant plein d'idées d'articles et l'activité était très riche et m'aurait permis d'aborder plein de sujets sympathiques.
Dans les faits, j'avais commencé à écrire un superbe article concernant le projet complètement idiot tendant à obliger les entreprises du CAC 40 à compter un certain pourcentage de femmes dans leurs conseils d'administration. Que des élus puissent ainsi s'attaquer à la gestion d'entreprise privée et pire encore à la propriété privée m'avait semblé absolument monstrueux. J'étais très content de moi quand soudainement cette saloperie de Blogger s'est mis en rideau en me perdant mon texte prodigieux.
Tout ceci m'a foutu dans une colère noire. Comme je n'avais pas d'informaticien de chez Blogger sous la main pour le pendre et ainsi apaiser ma colère, il m'a fallu un certain temps pour me calmer. J'ai attendu un jour ou deux avant de revenir ici et finalement, il m'aura fallu plusieurs semaines pour avoir envie de rebloguer.
J'aurais pu passer mettre un petit mot et je ne l'ai pas fait. Je me sens terriblement coupable. Pourtant l'expérience est enrichissante. Cela m'a prouvé que quelque soit l'importance que l'on attache à son blog, et quelque soit son succès, et Dieu sait si le mien en a, le proverbe qui vaut pour l'être aimé vaut pour son blog :
Dans les faits, j'avais commencé à écrire un superbe article concernant le projet complètement idiot tendant à obliger les entreprises du CAC 40 à compter un certain pourcentage de femmes dans leurs conseils d'administration. Que des élus puissent ainsi s'attaquer à la gestion d'entreprise privée et pire encore à la propriété privée m'avait semblé absolument monstrueux. J'étais très content de moi quand soudainement cette saloperie de Blogger s'est mis en rideau en me perdant mon texte prodigieux.
Tout ceci m'a foutu dans une colère noire. Comme je n'avais pas d'informaticien de chez Blogger sous la main pour le pendre et ainsi apaiser ma colère, il m'a fallu un certain temps pour me calmer. J'ai attendu un jour ou deux avant de revenir ici et finalement, il m'aura fallu plusieurs semaines pour avoir envie de rebloguer.
J'aurais pu passer mettre un petit mot et je ne l'ai pas fait. Je me sens terriblement coupable. Pourtant l'expérience est enrichissante. Cela m'a prouvé que quelque soit l'importance que l'on attache à son blog, et quelque soit son succès, et Dieu sait si le mien en a, le proverbe qui vaut pour l'être aimé vaut pour son blog :
"Loin des yeux, loin du cœur".
10 Comments:
Ouf !
"Suis et l'on te fuira, fuis et l'on te suivra".
Vous aussi, vous étiez aux Antilles, à buller sous les cocotiers !!!
Je comprends maintenant pourquoi l'attente des articles du blog s'est fait attendre aussi longtemps !
"Fuis et l'on te colmatera" (merci TENA )
Pfff dire qu'on a raté un article sur le Cac 40 !! suis déçuuuuue !! en échange, je t'aurais donné la recette du cac aux fruits confits !
Fuis, et on te mettra dans une maison de retraite avec une couche
et un déambulateur...
et des pilules de toutes les couleurs...
et tu te feras violer par le surveillant de nuit...
(Non, je ne rêve pas d'être surveillant de nuit dans une maison de retraite)
Oui, je suis en très grande forme !
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