Meilleurs voeux !
Bon, vous commencez à me connaitre, j'avais préparé tout un tas d'articles pour ces vacances de Noël et finalement, j'ai glandouillé et je n'ai rien écrit. Alors les articles sont là bien au chaud, presque terminés et classés dans brouillons sur Blogspot, n'attendant que mon bon vouloir. Tant pis, je les publierai l'an prochain, à partir de demain.
Dieu sait si j'en ai perdu du temps pourtant. J'aurais eu le temps d'écrire une encyclopédie. Au lieu de quoi, le cul calé dans mon canapé, face à mon immense écran plat - chez moi ça ressemble un peu à l'intérieur de Scarface tout en blanc et dorures avec un écran de deux mètres de diagonale - j'ai assisté impavide et l’œil bovin au spectacle navrant des spectacles télévisés. C'était extrêmement dur de sélectionner un bon film parce que la période est propice aux navets américains mettant en scène le Père Noël, resucée ridicule de notre Saint-Nicolas, sous toutes les formes. J'ai zappé successivement entre La fiancée du Père Noël, L'avocat du Père Noël et j'ai du qu'au fait d'éteindre mon écran géant de ne pas assister à al diffusion de Le Père Noël et les extra-terrestres.
J'étais tellement comateux, misérable et englué dans ma déréliction, que je me suis même tapé Amadeus, ce film dont tout ceux qui ne connaissent rien à la musique mais louent le cinéma, disent que c'est un chef d’œuvre. Mon Dieu dire que j'y avais échappé jusque là et que je me le suis tapé en entier. Entre un Mozart complètement hystérique et un Salieri psychorigide, je n'ai pas su lequel était le plus ridicule ni le plus mal joué.
Forman après avoir caricaturé la psychiatrie dans Vol au dessus d'un nid de coucou, nous propose encore sa vision éléphantesque, partiale et son inculture dans ce film grotesque qui n'aura plu qu'aux cuistres. Pourtant c'est bien réalisé, rien à dire mais c'est ridicule. Forman est à la vérité historique ce qu'un entrepreneur en bâtiment est à l'architecture, il entasse du parpaing, ça tient debout mais cela ne ressemble à rien.
Bon, enfin comme dit Mlle C., ce film a le mérite de montrer que le concept de musique classique face à laquelle il faudrait mettre un genoux à terre n'est qu'une escroquerie puisqu'avant d'être classique, elle fut contemporaine. Bref Forman réussit à replacer au XVIIIème siècle la rivalité entre anciens et modernes en montrant une rivalité aussi passionnante que celle opposant actuellement Madonna et Lady Gaga. Milos Forman étant né sous le signe du Verseau (comme Mozart et Michel Delpech), je ne peux le blâmer de n'avoir pas la solide éthique ni l'intransigeance d'un capricorne. Et puis, j'avoue être mauvais juge puisque je n'aime pas trop le cinéma. En plus, en bon psy amateur des causes perdues, je défendrai toujours le pauvre Salieri contre Mozart.
Mais laissons là mes élucubrations pour revenir au cœur de cet article ! Puisque mon but n'était pas de vous entretenir de ce que je pensais de ce film mais de vous présentez mes vœux pour la nouvelle année 2012. Alors, je vous l'écris en gros :
Forman après avoir caricaturé la psychiatrie dans Vol au dessus d'un nid de coucou, nous propose encore sa vision éléphantesque, partiale et son inculture dans ce film grotesque qui n'aura plu qu'aux cuistres. Pourtant c'est bien réalisé, rien à dire mais c'est ridicule. Forman est à la vérité historique ce qu'un entrepreneur en bâtiment est à l'architecture, il entasse du parpaing, ça tient debout mais cela ne ressemble à rien.
Bon, enfin comme dit Mlle C., ce film a le mérite de montrer que le concept de musique classique face à laquelle il faudrait mettre un genoux à terre n'est qu'une escroquerie puisqu'avant d'être classique, elle fut contemporaine. Bref Forman réussit à replacer au XVIIIème siècle la rivalité entre anciens et modernes en montrant une rivalité aussi passionnante que celle opposant actuellement Madonna et Lady Gaga. Milos Forman étant né sous le signe du Verseau (comme Mozart et Michel Delpech), je ne peux le blâmer de n'avoir pas la solide éthique ni l'intransigeance d'un capricorne. Et puis, j'avoue être mauvais juge puisque je n'aime pas trop le cinéma. En plus, en bon psy amateur des causes perdues, je défendrai toujours le pauvre Salieri contre Mozart.
Mais laissons là mes élucubrations pour revenir au cœur de cet article ! Puisque mon but n'était pas de vous entretenir de ce que je pensais de ce film mais de vous présentez mes vœux pour la nouvelle année 2012. Alors, je vous l'écris en gros :
Meilleurs voeux pour 2012, que cette année vous conserve en bonne santé et qu'elle vous apporte bonheur et prospérité !
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