L'horreur !
Quelqu’un qui m’est très proche vient d’avoir un enfant. Enfin, plus exactement, la compagne, de quelqu’un qui m’est très proche, vient de donner naissance à une petite fille. Félicitations !
Je passerai outre le fait qu’ils ne soient pas mariés mais aient tout de même fait un enfant alors qu'il me parle souvent de sa rencontre avec Dieu. C’est une pratique qui me semblera toujours bizarre mais bon, soyons large d’esprit, même si j’ai finalement plus de facilités à défendre mes libertés que celles d’autrui. Avoir un enfant sans être marié, me semble être étonnant et choquant. Mais, étant né sous de Gaulle, je suis encore imprégné de principes surannés. Après tout, ma grand-mère trouvait bien que le rock était une musique de singes alors que j’adorais cela ! Autre temps, autres mœurs. Ce doit être mon éducation victorienne. Mais, la véritable horreur n’est pas là. Non !
Le pire, c’est que cette personne qui m’est très proche ait assisté à l’accouchement. Moi qui avais la plus grande estime pour lui, crac, elle vient de voler en éclats. C’est l’horreur totale. Cédant tant à la mode qu’aux caprices éventuels de sa dulcinée, il a commis l’irréparable, il a joué la fiotte ! Il a troqué sa virilité de chasseur contre la quiétude du faux devoir accompli.
Que les hommes assistent aux accouchements est devenue une pratique récente qui m’a toujours semblé bizarre. Après tout, en tant que libéral, je peux comprendre qu’un homme ait ce désir. Pourquoi pas ? Ce qui me trouble, c’est surtout que ce qui aurait pu être des cas isolés, devienne soudainement un raz de marée comme s’il fallait absolument assister à l’accouchement. Je me dédie toujours de ces modes soudaines, me demandant toujours qui en est à l’origine.
D’ailleurs, à quoi peut bien servir le père durant ce moment ? Sauf bien sûr s’il est gynécologue-obstétricien ou si Madame, ou Mademoiselle en l’occurrence, ait décidé d’accoucher en plein désert et qu’elle n’ait que lui sous la main. Mais dans ces cas là, on est dans des circonstances exceptionnelles. Non, je vous parle d’un quidam moyen habitant en milieu urbain où tout est programmé.
Il paraît que le fait que les hommes assistent à l’accouchement est le signe que la société évolue. Oui, mais dans quel sens ?
Pendant longtemps, les hommes ne furent pas admis dans les salles de travail et on les imaginait poireautant au café en face ou faisant les cent pas dans la salle d’attente en grillant cigarette sur cigarette.
Pour examiner un peu cette curieuse mode, je me suis promené sur le net afin de voir ce que des sites "spécialisés", en pensaient. Selon un site traitant du sujet, il semblerait que les pères aient fait leur entrée dans la salle d’accouchement pour les raisons suivantes :
• La présence du père à l’enfantement apporterait une sécurité affective éclipsée par la déshumanisation de l’accouchement technique et médical ;
• Le rétrécissement de la cellule familiale pousserait le père à s’impliquer davantage;
• Ce serait une suite logique à l’évolution du rapport homme/femme.
Sont-ce des femmes qui accouchent ou des petites filles, pour qu’elles aient tant besoin de sécurité affective. L’aspect technique et médical devrait plutôt être rassurant, même si accoucher chez soi peut être sécurisant. D’ailleurs, il me semble qu’aux Pays-Bas, une écrasante majorité des femmes accouchent chez elles. Enfin, quoiqu’il en soit, la mortalité des mères et des enfants lors des accouchements a incomparablement baissé et la douleur est de mieux en mieux prise en charge, personne ne peut le nier. Certes, l’accouchement ne doit pas être une partie de plaisir mais bon, en attendant des utérus artificiels, difficile de faire autrement. Faut en chier les filles ! Le plaisir de pouponner est à ce prix. Et toutes les femelles mammifères en font les frais ! Et ce n’est pas de notre faute.
Chaque sexe a ses obligations ! Pauvres petites choupinettes qui ont besoin d’un homme à leurs côtés parce qu’entre le plaisir de la grossesse et celui de pouponner, il y a un sale moment à passer. Croyez-moi, ramener sa mob à pieds sous la pluie, parce qu’on vient de serrer son moteur préalablement gonflé, n’est non plus une partie de plaisir. Je n ‘ai pas le souvenir non plus, que les poilus de Verdun aient exigé la présence de leurs femmes, même s’ils ont pu y penser dans les moments les plus durs.
Alors un peu de sérieux mesdames, on serre les dents, on endure et on ne met pas les hommes à contribution. Surtout, s'ils viennent de se taper le papier peint et la peinture de la chambre du bébé, et qu'en plus durant neuf mois, ils ont du se taper les conséquences liées à vos modifications hormonales ... et physiques !
Le rétrécissement de la cellule familiale a certes du favoriser aussi cette pratique. Avant l’avènement des méthodes contraceptives, la conception de l’enfant roi dont la venue est programmée, n’était pas à l’ordre du jour. Dès lors, on tirait son coup et on avait le cadeau au bout de neuf mois. Il est certain que le couple n’était pas forcément soudé en vue de la venue du petit prince.
Aujourd’hui, faire un enfant, est un évènement aussi programmé que faire construire sa maison ou acheter un appartement, alors le père est sans doute plus impliqué. Toutes les voies de recours ayant été épuisées (je suis trop jeune, on n’a pas assez d’argent, l’appartement est trop petit, etc.), l’homme finit par céder à sa femme et de capitulation en capitulation, il finit parfois par se retrouver habillé comme un guignol dans une salle d’accouchement.
Dans les faits, et je parle de statistiques et donc de chiffres, il semble que le désir d’enfant soit plus féminin, l’homme désirant surtout une descendance, et notamment un héritier mâle portant ses gênes et son nom. Bien sur, on a tous connu des hommes préférant avoir une fille, et des femmes préférant élever un garçon. Les statistiques ont des limites. Ceci dit, nul ne peut nier, que même si beaucoup de jeunes hommes souhaitent un jour être père, ce désir, soit finalement plus ténu, plus difficilement exprimable, que pour une jeune femme.
Enfin, cette pratique serait aussi la suite d’une évolution logique des rapports entre les hommes et les femmes. C’est je pense l’axe le plus important de cette curieuse pratique, consistant à coller des hommes qui n’ont rien à y faire, dans des salles d’accouchement. Chaque fois que j’ai entendu quelqu’un encourager cette pratique, l’argument était le fait qu’un enfant se faisait à deux. Oui et donc ? Gamètes mâles et gamètes femelles, et hop fécondation et le tour est joué. Par la suite, dans notre espèce, seule la femelle étant dotée d’un utérus, le processus se poursuit. L’enfant s’est bien fait à deux, il n’y a aucun doute, chacun, femme et homme, ayant collaboré en fonction des moyens que la nature lui a octroyés.
Il y a donc une raison évidente de culpabiliser les pères, en leur rappelant sans cesse, que la condition féminine, serait quelque chose d’atroce ! La misandrie étant tellement prégnante dans notre société féminisée, il faut sans cesse rappeler que l’homme est ontologiquement un salaud, un exploiteur, un jouisseur, et dès lors, tout est bon pour lui faire payer sa condition. Alors, l’homme coupable se retrouve comme un con dans une salle d’accouchement pour se faire pardonner de n’être qu’un homme. Et la manipulation est si parfaite, qu’au fil du temps, le père se retrouve en salle d’accouchement, en étant persuadé qu’il a quelque chose à y faire.
Selon ce site, on a constaté que les familles dont le père avait délibérément assisté à la naissance des enfants en retiraient plusieurs bienfaits. Voici quelques observations faites par ces papas :
• Couper le cordon et sortir le bébé procurent des émotions uniques ;
• Voir la maman accoucher solidifie l’amour et fait grandir à jamais le respect que l’homme voue à sa conjointe ;
• Assister à l’accouchement contribue à l’éveil de la paternité ;
• Le papa peut raconter les phases de l’accouchement que la mère a vécues « inconsciemment » ;
• L’arrivée du bébé en la présence du père donne l’impression que le cercle familial est agrandi, non pas brisé.
En termes de bienfaits, il serait bon d’avoir des statistiques fiables et non ce galimatias psychologisant. Car j’ai aussi connu des pères, dégoûtés à jamais par cette expérience. Alors certes l’homme a le choix d’assister ou non à l’accouchement, pourvu qu’on ne le culpabilise pas. Alors, quid du « on a constaté » ? Qui, où, comment ? On aimerait des études chiffrées.
Admettons que couper le cordon soit une émotion unique. Il est certain que si l’on n’est pas du métier, on a rarement l’occasion de couper des cordons ombilicaux. Pour ma part, je trouve que cela a un côté grotesque, un peu comme un simulacre d’inauguration. On coupe le cordon comme l’édile coupe le ruban ! Cela sent la mise en scène à la petite semaine, une sorte de sous-rituel expédié à la va-vite ne reposant sur aucune tradition. Mais bon, il est certain que si l’on n’est pas obstétricien, couper un cordon ombilical doit procurer une certaine forme d’émotion car on ne le fait pas tous jours. Alors, pourrait-on dire que cela serait pareil si on nous demandait de couper l’appendice lors d’une appendicite ? Ce qui est surtout amusant, c’est qu’avec ce simulacre ridicule, on fait prendre conscience au père, à coup de talon dans la tête, qu’en couchant avec sa femme, et en lui donnant ses spermatozoïdes, il n’avait pas fait tout le boulot et que la société consensuelle exigeait plus !
Voir la mère accoucher solidifie l’amour ? Ah bon ? Cela signifie quoi ? Que dans le cas contraire, on aime moins son épouse ? On est encore dans de la pseudo-psy, digne de Psychologie-Magazine ou de Elle, dans une conte de fée gnangnan destiné aux connes immatures un peu mièvres. De plus, pourquoi voir son épouse accoucher renforcerait le respect qu’on lui porte ? Accoucher serait donc une épreuve forçant l’admiration ? Alors une femme stérile n’ayant pas accouché ne mérite pas le respect ou moins de respect ? On est toujours dans le n’importe quoi, dans de la psycho de bazar. On imagine presque l’apprentie psy vous débiter ce genre de conneries avec un sourire sucré du bout de sa petite bouche en cul de poule. Bienvenue dans un monde doux, tout doux où on joue au papa et à la maman. On a beau dire que la psychanalyse perd chaque jour de son influence : chassez la par la porte, et elle rentrera pr la fenêtre.
Participer à l’accouchement éveillerait aussi le père à la paternité. Certes, l’homme étant un peu con, il n’a pas compris, durant les neuf mois de grossesse de sa compagne, qu’elle attendait un enfant. Il était persuadé qu’elle avait grossi ou faisait de l’aérophagie. De plus, à une époque où l’enfant est un choix, on peut imaginer que le « projet parental » comme on dit aujourd’hui, a été généralement mûrement réfléchi. Il serait intéressant d’étudier cette paternité dont on nous parle ! D’autres sites parlent de parentalité. Elle existe forcément mais quelle place lui donner ? Dans les faits, cela me semble ténu. Important et ténu puisque biologiquement, après avoir mis sa petite graine dans le ventre de la maman, le père n’est pas physiologiquement indispensable.
Il a un rôle éducatif par la suite mais est-il utile de l’impliquer fortement dès les premiers âges de la vie ? Certes, il peut aider la mère, il ne s’agit pas d’être un mufle, mais de là à se transformer en mère bis, il y a un pas qu’on souhaite toujours nous faire franchir. Dans tous les cas, faire de la paternité le corollaire de la maternité, me semble délirant, à moins de transformer le père en mère. Encore et toujours la culpabilisation : être un père ne suffit plus, il faut donc être un père agissant comme une mère, une sorte de gros con donnant son petit pot à bébé en le regardant d’un air niais ! J’ai vu une fois ce genre de type à une table de café. Il avait manifestement emmené sa fille se balader et lui donnait à manger. Jusque là, rien à dire, comme je le précise plus haut, à moins d’être un salaud et un mufle il est normal d’aider sa femme ou sa compagne. Ce qui m’avait choqué, c’était cet air bête et mièvre qu’il portait sur le visage, comme s’il tentait de clamer qu’il était devenu un père moderne et que cet acte à priori banal (donner un petit pot à une enfant de deux ans), relevait d’une incommensurable humanité ! Autant, l’air ravi de la jeune accouchée est compréhensible, autant celui de ce guignol était consternant.
Le papa peut raconter des trucs à maman qu’elle aurait vécue inconsciemment. Toujours et encore la même psycho de bazar vaguement freudienne. C’est d’ailleurs amusant, que le site emploie les termes de « papa » et « maman », cela reste révélateur de la profonde immaturité qui anime la rédactrice de l’article. Effectivement, on joue au « papa et à la maman » et accessoirement, cela permet à la rédactrice de jouer à « la psy » en prenant une place qu’elle ne mérite pas. La naissance est un acte naturel qu’on a su gérer sans psy depuis des siècles. Comment s’étonner que notre profession ait cette image déplorable ! On se croirait dans des émissions de TF1 comme "C'est quoi l'amour" ou "Confessions intimes". C'est navrant de mièvrerie, confondant de stupidité.
Enfin, dernier argument concernant le cercle agrandi et non plus brisé, là je ne saisis pas. Je ne commenterai donc pas. S’agit-il du lien entre le père et la mère qui risquerait d’être brisé ? Doit on dès lors imaginer que la présence du père dans la salle d’accouchement permet à ce dernier de prendre une place plus importante dans le couple mère-enfant ? Peut-être, je ne comprends pas ce que ma consoeur a voulu dire.
Vous aurez compris que je trouve la présence des pères dans les salles d’accouchement généralement grotesque et malvenue. Pourtant, rassurez-vous je suis pour la liberté. Que ceux qui en ont envie, y aillent, ce n’est pas mon affaire. Je peux même tout à fait comprendre, que certains aient réellement envie d'y aller pour des motifs qui les regardent.
Dans les faits, ce qui me dérange vraiment, c'est avant tout qu'on puisse assister à une énième entreprise de culpabilisation des hommes, au cours de laquelle, on tenterait encore une fois de leur imposer une réparation symbolique d'une prétendue souffrance infligée aux femmes, souffrance qui n'est pourtant qu'inhérente au sexe biologique et non à une quelconque mainmise de l'homme sur la femme. De la même manière, je trouve préjudiciable à l'évolution psychologique de notre espèce, que l'on joue encore sur la confusion des rôles. Il y a des femmes, il y a des hommes, appartenir à l'un ou l'autre de ces deux groupes, n'est ni bien ni mal. La survalorisation du féminin n'est pas une bonne chose, comme la survalorisation du masculin ne le serait pas non plus. Qu'un homme puisse admettre et canaliser sa sensibilité est une chose extraordinaire, qu'il se dévirilise pour y parvenir est grave. Le contraire du macho mufle, n'est pas la lopette. C’est un point de la théorie jungienne, dans la canalisation de son anima, qui m’a toujours plu.
Ce qui me gêne, c’est la manière dont on considère cette pratique. On sent une tendance très nette à culpabiliser les pères qui ne voudraient pas assister à l’accouchement. D’ailleurs il est amusant de noter les raisons invoquées pour « excuser » le père de ne pas se prêter à cette ridicule mise en scène.
Généralement, toujours sur le même ton doucereux, qu’emploient les psys à deux balles, on excuse le « papa » lorsqu’il a peur de l’hôpital, lorsqu’il craint de ne plus avoir envie de sa femme par la suite, lorsqu’il est phobique du sang, etc. Finalement, l’homme faible est excusé de ne pas participer à la venue du gniard. On lui explique qu’on est d’accord pour qu’il ne vienne pas, mais on le prévient qu’on lui apposera une étiquette de pauvre type. Il sera en quelque sorte perdu pour la bonne cause, exempté pour raisons médicales ou psychologiques comme à la grande époque du service militaire.
Qu’en est-il du père qui n’a pas peur, ni du sang, ni d’une salle d’opération ? Lui, on n’en parle pas. J’ai passé en revue une vingtaine de sites consacrés à ce sujet, tous ayant des noms plus concons et mièvres les uns que les autres à base de Maman, Bébé, etc., on n’y parle que du père phobique et peureux.
J’aurais pourtant aimé qu’on prenne d’autres avis, du type : « biologiquement et médicalement, l’accouchement est l’affaire des femmes et de spécialistes, je n’ai rien à y foutre ». J'ai par exemple un ami à qui l'on avait proposé cela qui avait décliné poliment mais qui me raconte que la gynéco de son épouse avait lourdement insisté. Heureusement il teint bon. Dans la même veine, on aurait pu aussi prendre en compte l’avis de ces femmes qui pensent que : « ce n’est pas la place de mon mari de me tenir la main, je suis une femme pas une petite fille ». Elles ne sont pas rares à considérer comme totalement incongrue la présence du géniteur pendant la mise-bas. La mienne par exemple est de cette espèce là. Et rassurez-vous, ce n’est pas un monstre.
Mais bon, puisque la mode est de culpabiliser l’homme dans tous les actes de la vie, cette présence masculine devient la règle, ne pas assister devenant donc l’aveu d’un désintérêt ou d’une faiblesse. Emasculer, lisser l’homme, en faire une femme comme les autres, semblent être une entreprise ayant de beaux jours devant elle.
Pourtant, là ou l’homme aurait pu jouer un rôle lui permettant de s’investir, c’est en se chargeant des déclarations d’état-civil, de manière à proclamer la naissance de son enfant au monde en lui donnant un nom, une identité. Mais non, les maternités lui ont ôté ce rôle, en se chargeant de ce qu’elles appellent des formalités administratives. Alors oui, au père déburné tenant la mimine de bobonne, mais non, au guerrier victorieux, fier d’annoncer à la face du monde, qu’il a réussi à transmettre son patrimoine génétique et qu’il a une lignée !
Pour ma part, ayant 80% de clientèle féminine, je reste stupéfait d’entendre mes patients quotidiennement se plaindre de leur solitude et de l’inconséquence des hommes. Mesdames, si vous voulez de vrais hommes auprès de vous, et non des lopettes, alors cessez de vouloir en faire des femmes.
Avant d’être des hommes, nous avons été vos fils, souvenez-vous-en ? A moins que vous soyez si sottes, qu’il faille finalement et heureusement des pères pour nous arracher à vos jupes protectrices et nous montrer comme le monde est grand et dangereux.
Finalement, ce doit être cela la paternité, permettre aux enfants d’échapper à l’influence néfaste à long terme de leurs mères pour leur montrer le vaste monde et leur inculquer le sens de la loi et de l’atérité
30 Comments:
Bravo ! Votre article est dérangeant mais il pose de bonnes questions !
excellent ! bien que femme, je suis d'accord avec vous. cette technique s'appelle jouer sur les deux tableaux : etre feministe et vouloir une parité homme femme, tout en exigeant qu'on nous tienne la main parce qu'on reste le sexe faible et que cela a des avantages.
Pas du tout d'accord ! participer à l'accouchement responsabilise les hommes !
@magali
Drôle d'idée. Pourquoi les hommes ont-ils spécialement besoin d'être responsabilisés ?
On sent une vague envie de les punir ou de leur donner une leçon.
Vous me faites penser à ma grand-mère (qui datait, au point de vue sexuel, de l'ancien régime), qui m'a dit un jour que c'était très bien que les hommes assistent à l'accouchement, parce que ça leur ôtait l'envie de recommencer.
Excellent commentaire Claire ! Quant à Magali, trouvez-vous un soumis et soyez heureuse.
Merci pour cet article. Je regrette que mon mari ait assisté à mon accouchement. Il y a des situations bien plus appropriées pour construire un couple qu'une salle de travail, avec tout s'y rapporte (cris, sang, et autres...). Je suis convaincue que c'est un moment qui n'appartient qu'à la mère. Un joli texte dans Mont Oriol de Maupassant résume assez bien la chose. Et je suis d'accord, inutile d'affubler un homme de bonnet, chaussons et autres tabliers jetables pour le responsabiliser. Le prochain naîtra sans son père dans la salle, c'est sûr.
bravo ! vous avez raison !
tu es vraiment un sale con et un pauvre mysogyne fini. Tu as sans doute des frustrations d'être un homme et de ne pas avoir de rôle clé dans la genèse des bébés.
Non je suis complètement contre vous tous vous etes débile?? Un enfant se fait a deux! S'élève a deux etc.. donc l'accouchement aussi et mon homme c'est un homme alors au diable ton sexisme d'homme insatisfait!Complètement dégradant pour la femme voir si la reparation d'un moteur ce compare à la vie ... hahaha
À chacun ses opinions mais je fortement en la présence des hommes ou de mon homme dans toutes les sphères de ma vie...Un enfant ça se fait à deux et je crois que de permettre à mon conjoint d'assister à mon accouchement, c'est de lui permettre de vivre l'arrivée de NOTRE enfant à lui aussi...Et l'accouchement ne se compare à rien d'autre sur cette terre...Que ce soit pour la douleur que pour le bonheur que l'arrivée peut procurer dans la vie d'un couple...
Je ne crois que pas que ce sont des caprices de "bonne femme" que de voiloir avoir ton conjoint avec toi dans la salle d'accouchement mais une pure implication des deux partis dans la vie familiale....Car comme je le dis plus haut....UN ENFANT ÇA SE FAIT À DEUX !!!
Ce n'est pas dans mes habitudes de juger, loin de là.
Mais d'apprendre qu'en 2007, quelqu'un puisse encore penser de cette façon me dépasse.
D'où sors-tu, veux-tu bien me dire?
Je suis bouche bée. Et révoltée. Complètement.
Quand on contrarie une femme, on est qualifié de misogyne, quand on contrarie un étranger, on est qualifié de raciste...
Mesdames les anonymes du forum mamanpourlavie, nous ne sommes pas venus vous provoquer sur votre forum, alors cessez vos insultes gratuites !
Vous avez entièrement le droit d'exiger la présence de votre conjoint lors de votre accouchement, mais pas de trainer plus bas que terre les hommes qui estiment qu'ils n'ont pas leur place dans une salle de travail.
Avant de bondir comme des hyènes, prenez quelques minutes pour comprendre le ton de ce blog ! si vous disposez de peu de temps, lisez simplement la présentation qui figure dans l'entête !
Connaissant Philippe depuis plusieurs années, je peux vous certifier qu'il est bien loin d'être misogyne, sexiste, frustré, bourrin etc ! son franc parler, son humour et son aversion pour la mièvrerie vous dérangent, passez votre chemin...
Ah merci ma Lolo de me défendre ! Tu es adorable ! Une vraie femme !!!
Bon les filles du Québec, ne serait il pas temps de préparer la soupe au lieu de perdre votre temps ici ? De toute manière vous ne comprenez rien à rien, vous dénaturez mes propos !
Vous me prêtez des intentions que je n'ai pas et vous refusez de vous interrogez !
Si vous étiez plus intelligentes je vous dirais bien de lire Philippe Muray, "Lrempîre du bien", mais bon...
Québécoise mais loin d'être prête à préparer la soupe (après tout, il n'est que 15h!) je trouve que votre billet manque de.. finesse.
Je n'ai pas encore d'enfant, mais le jour il je devrai accoucher, je voudrai avoir mon conjoint à mes côtés... mais sans qu'il regarde, par pudeur, parce qu'il faut l'avouer, un accouchement n'est pas très agréable à regarder, géniteur ou pas.
Mais dire d'une femme qui craint les douleurs de l'enfantement et désire le support de son mari (ou son chum, qu'importe le sacrement!!)qu'elle n'est "qu'une fillette" franchement, ça enlève de la crédibilité à vos arguments. Vous qui semblez préconiser le mariage, ai-je vraiment besoin de vous rappeler le voeu qui se termine par : Pour le meilleur et pour le pire ? Si la femme doit supporter son conjoint dans ses problèmes, déboires et maladies, pourquoi l'homme l'abandonnerait-il devant l'expérience la plus douloureuse que puisse vivre une femme ?
Donc les filles du Québec sont bêtes et seulement bonnes à faire la soupe?
Soit dit en passant, je ne suis même pas maman moi-même.
Je ne refuse pas non plus de m'interroger.
Nous dénaturons? Alors explique-toi autrement qu'avec des arguments de cromagnon.
Je suis outrée, et comme ce blog est public, je l'exprime. Tu as quelque chose contre?
(Wow. Une fille bête du Québec qui est capable d'écrire sans faire de fautes... J'espère que tu n'es pas trop étonné!)
Plutôt paradoxal, soit dit en passant :
"Le pire, c’est que cette personne qui m’est très proche ait assisté à l’accouchement. Moi qui avais la plus grande estime pour lui, crac, elle vient de voler en éclats. C’est l’horreur totale. Cédant tant à la mode qu’aux caprices éventuels de sa dulcinée, il a commis l’irréparable, il a joué la fiotte ! Il a troqué sa virilité de chasseur contre la quiétude du faux devoir accompli."
"Vous aurez compris que je trouve la présence des pères dans les salles d’accouchement grotesque et malvenue. Pourtant, rassurez-vous je suis pour la liberté. Que ceux qui en ont envie, y aillent, ce n’est pas mon affaire. Je peux même tout à fait comprendre, que certains aient réellement envie d'y aller pour des motifs qui les regardent."
Je serais bien curieuse de savoir comment vous définissez la paternité.
Encore une chose... Vous n'avez pas pensez que peut-être votre copain TENAIT à assister à l'accouchement? Que pour lui, peut-être, c'était fondamental, important?
À lire votre texte, ce que je perçois, c'est que vous considérez les femmes comme étant manipulatrices, plaignardes, geignardes, border-nunuches et j'en passe.
Qu'elle relation avez-vous donc eu avec votre mère, monsieur le psy?
Chouette, un débat... J'ai bien fait de rentrer de vacances.
Et j'ai du mérite, d'avoir réussi à retrouver ce billet.
Bon, moi qui ai l'expérience, je vais dire à mes jeunes cousines du Canada ("je n'ai pas encore de bébé, mais je vais vous expliquer..." Comme c'est mignon !) que si elles souhaitent se faire soutenir par leur compagnon lors des douleurs de l'accouchement, elles vont au devant de bien des déceptions.
Le plus clair de l'affaire, c'est qu'au lieu de pouvoir se concentrer sur le travail en cours, elles vont être obligées, en plus, de réconforter le monsieur qui est très perturbé, vu qu'il n'est pas construit pour ça et qu'il est dans la position incommode du spectateur.
Dans le meilleur des cas, comme il faut qu'il s'occupe, il vous donne des conseils...
Allez-y, les filles, essayez. Moi j'ai testé pour le premier bébé, et pour les autres, j'ai adroitement réussi à envoyer le compagnon de ma vie acheter le journal au bon moment.
Après expérience comparative, ça ne fait pas de différence dans la paternité, ça n'est pas si simple..
Ce qui est très vrai, dans ce que dit Philippe, c'est que cette pseudo-norme pseudo-morale empêche les hommes qui ne veulent pas assister à l'accouchement de le dire ...et empêche aussi les femmes qui n'y tiennent pas de s'exprimer franchement.
En plus, le blog de Philippe est génial, drôle, libre, intéressant, intelligent. Et vos commentaires ne le sont pas.
J'ai été surprise de voir que les commentaires ont dévié vers le pays d'appartenance, mais bon... Passons.
Je suis profondément désolée que vous ayiez perdu de l'estime pour votre ami parce qu'il a assisté à la naissance de sa fille (ou à l'accouchement de sa femme, c'est selon)... Vraiment, pour quelqu'un qui se dit «pour la liberté», ça frappe!
Vous condamnez la validité des sites et des articles d'où vous tenez les arguments pro-présence de l'homme lors de l'accouchement. Pourtant, vous n'apportez aucun fait, aucune donnée qui soutient votre opinion. «On aimerait des études chiffrées»
Et puis, pourquoi critiquer la «psycho de bazar vaguement freudienne» si vous concluez votre billet en insinuant une quelconque influence néfaste de la mère?
Il y a une partie du travail que l'on choisit de faire ou non...
Je ne suis pas québécois.
J'ai eu une fille avant d'être marié, puis une autre après (avec la même femme).... Je ne vois pas ce qui a de choquant.
Je n'ai pas pu assister aux accouchements de mon épouse car ce fût deux césariennes programmées et je le déplore ; je ne me définis pas comme un faible.
En lisant votre texte, parfois, et je dis bien parfois, vous pouvez poser les bonnes questions, mais la quasi totalité de ce que vous dites, excusez moi, est une grosse connerie monumentale, surtout la comparaison avec les pilus --> vraiment n'importe quoi !!
Pour finir, avec tout le respect en votre encontre, je ne souhaite pas avoir un ami vous ressemblant, vous êtes trop con et indigne de votre ami.
Achetez vous vite un cerveau mon bon Christophe ou cessez de me lire !
Je suis passé sur votre blog. Le moins que l'on puisse dire, est qu'à part des baillements d'ennui, il ne risque pas de provoquer de grandes réactions ni de faire avancer quoique ce soit.
Vous devriez faire un herbier et ensuite mettre les photos en ligne sur un nouveau blog, ce serait aussi passionnant !
au fait, avant de traiter les gens de cons, méfiez-vous, l'injure est passible de poursuites pénales en France (art. 29 de la loi du 29 juillet 1881)et Internet n'est pas un endroit sans foi ni loi ! ;)
Poursuivez-moi ! j'espère ne pas écoper de la prison à perpet !! C'est votre texte qui m'a fait réagir.... Je pense ne pas vous avoir choqué ? Si c'est la cas, veuillez accepter mes plus plates excuses !
Je n'ai pas fait un blog pour faire évoluer la nature humaine. Je vous renvoie l'ascenseur, vous n'êtes pas obligé de me lire.
mon cerveau me satisfait pleinement. Il est vrai que mon niveau d'instruction n'égalera jamais le votre...
J'ai naïvement cru pendant toutes ces années que les hommes avaient envie d'assister à la mise au monde de leur enfant, qu'ils avaient envie de le voir pousser son premier cri, entendre son premier respire. Vivre avec leur conjointe la joie d'accueillir un enfant, leur enfant, dans le monde.
Mais c'est sur que la vue du sang et de toute cette douleur doit être traumatisante... Voir le sexe étiré au maximum de sa bien-aimée aussi..
J'avais juste l'impression que c'était pour l'après que les papas étaient là.
Et s'ils sont trop cons pour ne pas pouvoir passer par-dessus les désagréments du travail, je ne crois pas qu'ils aient le droit de se proclâmer papa..
Mon cher Christophe, entre réagir, ce qui est légitime et me traiter de con, il y a un pas que je réprouve.
Concernant votre blog, j'aurais pu y tomber par hasard et me serais abstenu de tout commentaire. En tant que libéral, vous pouvez écrire ce que vous voudrez, peu me chaud. Par contre, venir me lire et en plus m'insulter, ca je ne le supporte pas ! Argumentez et dites moi que ce que je dis est con mais évitez de me traiter de con.
Rassurez-vous vous n'auriez pas risqué la prison à perpète, mais l'euro de dommage et intéret symbolique et des frais d'avocat !
Méfiez vous les corses sont réactifs ! ;)
Philippe psy, vous dites :
"au fait, avant de traiter les gens de cons, méfiez-vous, l'injure est passible de poursuites pénales en France"
Je n'en reviens juste pas que vous montiez aux barricades après quelqu'un qui vous traite de con alors que vous venez de cracher et de vômir sur les femmes, leur culture, leur croyance... Si vraiment l'injure est passible de poursuites pénales dans votre pays, attention à vos fesses, votre texte vous fera finir vos jours en prison!
Je répète ce que j'ai déjà dit comme commentaire sur un autre de vos textes (et c'est bizarre, on dirait que vos "fans" ne s'aperçoivent pas de cela) : que vous ayiez une opinion, c'est une chose, mais que vous la lanciez aux yeux du monde avec tant de vulgarité et d'irrespect, c'est impardonnable. Si vous voulez vraiment que les gens soient capables de réfléchir à vos questionnements et de réagir correctement à vos opinions, nettoyez-les de toutes vos insanités. Vos propos en seront ainsi mieux mis en évidence et nos réflexions et réactions pourront enfin trouver leur chemin.
MC
J'avais 6 ans lorsque j'ai assisté à la naissance de mon frère et je n'ai rien perçu de traumatisant.
Je suis en accord avec philippe psy qui demande que le père ait le choix d’assister ou pas à l’accouchement, sans culpabilité et sans craindre d’être traité de mauviette ou de sans coeur.
Par contre, je n’aime pas que des femmes de culture occidentale se présentent encore comme des victimes de la suprématie mâle. Je déteste tout autant l’idéologie de ces hommes victimes d’un complot féministe. Par conséquent, je n’aime pas la finale du texte de philippe psy qui émet l’idée que la paternité doit être ce qui permet aux enfants d’échapper à l’influence néfaste de leur mère à long terme. Les femmes ne sont pas les seules à avoir une influence sur les enfants et elles n’ont pas l’exclusivité de la névrose. Tout ce qui va de travers chez l’homme n’est pas la faute de la femme et tout ce qui va de travers chez la femme n’est pas la faute de l’homme. Les relations entre les individus sont complexes. Lorsqu’un problème survient, il y a rarement une cause unique et unidirectionnelle.
D'ailleurs, des hommes aussi ont participé à l'élaboration de ces arguments que philippe psy associe aux magazines féminins. Des hommes qui voulaient approfondir le rôle du père. On ne pourrait donc pas attribuer le changement de mentalité à l'influence des femmes seulement.
Selon moi, le texte porte sur la culpabilité employée comme outil de manipulation, ce qui n'est pas l'apanage de la femme.
C'est assez spécial de faire un tel débat pour ce qui est, au final, un simple choix. Vous avez du temps à perdre ma foi lolll (et moi j'en ai à répondre dit donc haha)
Que d'énergies dépensées en répondant à cet article... ne donnons pas à l'auteur le plaisir de la réaction qu'il a voulu provoquée et de l'importance qu'il a voulu se donner. Crédibilité? De toute évidence, il n'en a pas!
Que de manque de professionnalisme dans vos réponses m. le thérapeute!
2)Même si vous admettez qu'au nom de la liberté un homme fait ce qu'il veut, vous semblez tout de même assez sectaire. Les hommes ne peuvent ils donc pas être interesser par l'accouchement ? C'est contre nature ? N'est il pas possible qu'ils s'interessent à cela non pas par devoir, pas culpabilité, ni même par amour, mais juste parce qu'ils sont des êtres humains curieux, et que l'accouchement réalisée par une femme est un acte comme un autre. Devrions nous se limiter constamment à ce que nous obligent les étiquettes? Cela me rappelle, le bleu pour les garçons et le rose pour les filles. Sexe faible contre sexe fort. Pire j'ai lu dans le marianne de cette semaine, que certains hommes jugés le corps des femmes comme un "sac d'immondices" mais celui des hommes alors? Partie pris toujours. J'avoue que le votre est original, "les femmes suffisamment fortes" lorsque d'autres ne voyent en elle que des petites choses.
J'admets qu'il y a un certain phénomène de mode hélas. Mais je ne pense pas que la manipulation soit exclusivement féminime mais sociale. Il semble qu'il soit plus important de paraitre moderne, "un père moderne", ces temps çi, que de paraitre un "père modèle". Le "moderne" ne suppose en rien le "modèle".
Je n'ai évidemment pas d'enfant, et honnètement je crois que je n'aimerai pas assister à mon propre accouchement. Les bébés m'indifférent et ne m'apparaissent interessant que lorsqu'ils commencent à découvrir la vie et qu'ils s'interrogent.
Pour m'attendrir sur un être vivant mignon à souhait mais très peu bavard j'ai mon chat et ceux des voisins.
Comme je m'ennuie particulièrement ces temps çi, ou est ce une addiction ?? ,"L" dans les commmentaires de votre dernier billet à laisser un lien. Je l'ai repris. Et j'ai eu envi de lire cet article et les commentaires s'y rattachant. C'est bien évidemment drôle et je reprendrais une phrase de Marie Drucker, "le femminisme c'est déjà de l'intégrisme." et sur ce point vous avez raison.Les québécoises n'ont pas apprècié c'est certain et à raison quelques fois car vous chargez (style littéraire?)de manières assez discriminantes.
Je ne reviendrais pas sur vos paradoxes mais j'objecterai deux points :
1)Ce qui est étonnant dans ce billet c'est votre partie pris selon VOTRE conception de la Femme, et l'absence totale de nuance à cet égard. Et cela est particulièrement génant étrange vous qui pratiquez l'âme humaine, vous n'arrivez pas à dissocier le GENRE de la personne que vous avez en face de vous (fille ou garçon)et à ne retenir que l'humain ? (est ce dissociable par ailleurs? ny a t il de genre humain définissable et indépendant du sexe auquel nous appartenons ou sommes nous constament en proie à nos hormones nous distinguant ce qui nous empèche d'etre objectif?)
Il semblerait que vous aimez les femmes à fort caractères, aussi vous n'admettez pas qu'il puisse exister des femmes moins dominantes, et cela sans qu'il y ait une manipulation derrière comme le suggère Anne. Certaines femmes resteront enfant comme d'autres seront des femmes-maitresses. Certaines seront carrièristes comme d'autres correspondront totalement aux préjugés sexistes ou catholiques de la femme-mère sans nécessaire de complots, ou une envie de culpabilisation de leur part.
Selon vous donc, si une femme ne souhaite pas se retrouver seule au moment de l'accouchement (elle pourrait parfaitement mourir. C'est assez glauque de mourir seule dans une chambre d'hopital, non?) c'est parce qu'elle n'est qu'un bébé manipulateur?
Dans un article je ne sais plus le titre, vous expliquiez très bien la psychologie des rapport hommes-hommes, et vous faisiez apparaitre "ce diktat social" qui est érigé en vérité absolue par les médias,et selon lequel les Hommes aiment nécessairement les femmes à forte poitrines, blondes etc...Pourquoi ici à l'égard de cet évenement anodin certes, vous ressortez préjuger et coutume sociale qui veut que jusqu'à présent parce que durant des années les femmes ont accouché seules,il faudrait que cela continue au motif de la parité des sexes (vous mélangez un peu tout d'ailleurs !)
(Il est possible que vous ayez reçu ce com plusieurs fois, une erreur de connexion internet exploreur, copier coller.Fidel à vous même, vous réiterez mon erreur due à mon ignorance autant de fois que je l'ai faite. Merci : ) Mais je ne m'offusquerai plus de ces humiliations que vous infligez à vos lecteurs lorsqu'ils ne vous brossent pas dans le sens du poil. ; ))
En coupant le cordon, l'homme commence deja a emanciper l'enfant de la mere et l'aide a echapper a l'influence de sa mere... Il est donc dans ce role non?
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