L'homme au zurna ! 1
Dans son essai intitulé "Cinq psychanalyse", Freud nous a bien gavé avec sa monographie débile connue sous le titre de "l'homme au loup", Sergueï Constantinovitch Pankejeff de son vrai nom, dans laquelle il déploie des trésors d'imagination sans bornes pour des résultats cliniques sans intérêts aucun. Qu'on ai fait psycho ou non, aucune possibilité d'échapper à un de ces cinq psychanalyses, puisque tout prof de philo qui se respecte a bassiné ses élèves avec Freud et consorts.
Je me suis dit que n'étant pas plus con que Freud, et finalement plus carré, j'allais moi aussi laisser ma trace en proposant ma petite monographie rien qu'à moi. En vous livrant ici-même, sur ce très modeste blog, une communication du plus haut intérêt scientifique.
Vous allez donc prendre connaissance ici-même, oui, juste en-dessous, d'un fabuleux texte qui fera date, et que j'ai intitulé modestement et sobrement "L'homme au zurna". La psychanalyse a eu ses gloires, maintenant éteintes ; il était temps que le cognitivisme compte une vedette, et cette vedette, ce sera moi. Mais entrons dans le vis du sujet, asseyez-vous en rond par terre et laissez Onc'Philippe vous contez une histoire !
***
Le sujet pris un rendez-vous sans me dire comment il avait obtenu mes coordonnées. Il resta aimable mais extrêmement discret. Il souhaitait me rencontrer pour débattre d'un problème qui lui gâchait la vie. Je lui donnai rendez-vous, imaginant que cet homme avait sans doute quelque problème d'alcool ou de toxicomanie, voire plus vraisemblablement un TOC. Au téléphone, il m'avait effectivement semblé un peu rigide.
Il se présenta au jour et à l'heure dite avec une ponctualité remarquable. Je le fis entrer, et l'observai tandis qu'il ôtait son manteau, une sorte de curieux duffle-coat à boutons de bois. Sous ce curieux vêtement, il portait une curieuse veste jaunâtre ornée de ce que, de loin je pris pour des pin's, ce que les québécois appellent des épinglettes. Assez grand, environ un mètre quatre-vingt, et très mince, à la limite de la maigreur, il semblait âgé d'une bonne trentaine d'années, voire d'une petite quarantaine.
Je me fis la réflexion que c'était dur de lui donner un âge, car si la manière dont il était vêtu le faisait ressembler à un septuagénaire du seizième arrondissement, ses traits avaient par contre quelque chose de juvénile. Il s'assit enfin face à moi et déclina le café ou le thé que je lui offris. Les mains sagement croisées sur ses jambes maigres, il m'observa lui aussi, semblant chercher ses mots. Son annulaire gauche s'ornait d'une alliance ainsi que d'une chevalière armoriée, dont je ne distinguais pas la couronne. Je me fis la réflexion, que c'était une chance qu'il soit marié.
J'attendis patiemment qu'il trouve la meilleure manière de me communiquer la raison qui le poussait à venir me consulter. Son visage mince surmonté d'une brosse gris fer, ne semblait pas particulièrement aimable. Ce, d'autant plus que ses yeux bleus acier me dévisageaient, tandis que sa bouche mince, sorte de cicatrice barrant son visage, esquissait ce que l'on pouvait prendre pour un demi-sourire. En le regardant ainsi, j'étais presque mal à l'aise et je me fis la réflexion, que si ce type n'était pas juge d'instruction, alors il avait raté sa vocation.
Il me dévisagea ainsi pendant quelques secondes qui parurent des minutes, puis sortant de son mutisme me demanda tout d'abord si je savais ce qu'était un zurna. Un peu interloqué, je lui répondis qu'il me semblait que c'était une sorte de flûte orientale. Il esquissa une sorte de moue, comme un instituteur qui ne serait pas pleinement satisfait d'un élève. Puis, il m'expliqua que j'avais presque raison, en précisant qu'un zurna, était une sorte de hautbois turc. Il rajouta qu'il aimait la précision en toute chose, en lissant les plis de son pantalon de tergal gris.
Je levai les sourcils de manière à lui indiquer combien j'étais satisfait d'apprendre cela et le laissai poursuivre. Il poursuivit donc, en m'expliquant que, bien que turc à l'origine, on retrouvait le zurna dans différents ensembles folkloriques traditionnels du proche orient et qu'en ce sens, effectivement, on pouvait qualifier cet instrument d'oriental. Je ne répondis rien, continuant à offrir mon sourire le plus avenant à ce type étrange.
Dans ma tête, le diagnostique de schizotypie, commençait à poindre. Je ne m'étendrais pas plus longuement sur la schizotypie, il vous suffit de lire cet article, pour parfaire vos connaissances psychopathologiques. Ce retrait affectif à la limite de l'extrême froideur, ce côté maniéré, additionnés à l'incongruité de ses propos, semblaient dénoter chez l'individu assis en face de moi, un côté professeur Tournesol, que l'on observe souvent chez les gens souffrant d'une personnalité schizotypique. Je persistais à lui sourire, en me disant que si je m'apercevais que ce type était vraiment dérangé, je n'aurais qu'à lui communiquer l'adresse d'un confrère psychiatre habilité à lui fournir de bons neuroleptiques.
Il me regarda tout aussi froidement et sans ambages (j'adore cette expression), m'expliqua que je devais le trouver étrange. Je l'assurai que non, mais il sourit avant de me dire, qu'il s'en était rendu compte, et que souvent les gens avaient cette impression la première fois qu'ils le voyaient. Je décidai de me taire, enregistrant juste la manière qu'il avait de parler. Son français était parfait mais en plus, la diction était impeccable. Je me dis qu'il devait être angevin ou tourangeau d'origine, puisque ce sont les régions françaises où l'accent est le plus pur. J'optais cependant pour Angers, car j'avais, dans mon jeune temps, connu une jeune juriste lubrique originaire de cette ville qui proférait les pires insanités avec cette diction parfaite.
Il m'expliqua qu'il était juriste, occupant un poste haut placé dans une grande société immobilière et qu'il venait justement me consulter pour un problème lié au zurna, et que c'était la raison pour laquelle il tenait à ce que je sache ce qu'était un zurna. Ouvrant le cartable de cuir usé posé à ses pieds, il en sorti un petit instrument de bois, me le donna à voir, sans toutefois me permettre de le toucher et m'expliqua que c'était un zurna. Poliment, je lui répondis que c'était décidément un joli zurna, mais que je pensais qu'un zurna était plus grand.
Sans se départir de son étrange sourire, il me répondit péremptoirement qu'il existait différentes tailles de zurna. Il m'expliqua que j'avais du voir un zurna alto, tandis que celui qu'il tenait en main état un zurna piccolo. Il tint l'instrument dans sa main, avant de le reglisser prestement dans son cartable qu'il referma aussitôt comme si ce zurna était une merveille de grand prix.
Il rajouta que si le sujet m'intéressait, il pourrait me communiquer les titres des deux ou trois ouvrages de référence sur le zurna, deux en français et un en turc, malheureusement jamais traduit, bien que ce soit selon lui regrettable, car c'était une somme sur ce sujet. Un peu interloqué, je tentai cependant de n'en rien montrer. L'individu poursuivit en m'expliquant que si par contre, je tombais sur l'ouvrage "Der Schön Zurna" d'un certain Karl von glück, je ne devais en aucun cas l'acquérir, car selon lui, cet ouvrage bénéficiait d'une réputation usurpée. Très sèchement, il rajouta que von Glück n'avait rien compris au zurna !
Je lui promis bien sur de ne jamais acheter "Der hübsch Zurna. Pas joli mais beau, me répondit-il immédiatement. Vous avez utilisé "hübsch", or c'est schön. Il poursuivit en m'expliquant qu'on pouvait trouver de beaux zurnas mais qu'en aucun cas, on ne pourrait qualifier un zurna de joli. J'acquiescai immédiatement en lui présentant mes excuses pour mes lacunes en allemand et, en l'assurant que de toute manière, aucun livre de ce von Glück traitant de zurna ne serait jamais entre mes mains, que j'avais compris que cet auteur était un imposteur, que je me fiais entièrement à son jugement, puisqu'il m'apparaissait digne de confiance en matière de zurna, sujet sur lequel, il s'en était rendu compte, j'avais d'immenses lacunes.
Il sembla satisfait, et continuant à m'observer, il me dit que je devais être étonné par le fait qu'il insiste lourdement sur le zurna. Je faillis lui répondre qu'il n'était pas le premier dingue à franchir la porte de mon cabinet, mais je m'abstins. D'une part parce que je n'emploie jamais ce terme là, et d'autre part pare que cela ne se dit pas, notamment parce que certains dingues peuvent se révéler dangereux, surtout si vous les traitez de dingues.
Je me contentai de lui répondre qu'il avait sans doute d'excellentes raisons pour ainsi me parler de zurna. Et qu'au surplus, j'étais ravi de parfaire mon érudition, tant il est vrai que je savais manquer de connaissance à propos du zurna, comme je venais déjà de lui expliquer. Il opina du chef, ferma les yeux en se pinçant la base du nez entre le pouce et l'index droits avant de me dire qu'il allait entrer dans le vif du sujet mais que ce n'était pas facile. Il m'expliqua que pour son plus grand malheur, le zurna était le bonheur et le malheur de sa vie. Se calant profondément dans le fauteuil, il commença à m'expliquer son problème.
Fin de la première partie (A suivre !)
Il se présenta au jour et à l'heure dite avec une ponctualité remarquable. Je le fis entrer, et l'observai tandis qu'il ôtait son manteau, une sorte de curieux duffle-coat à boutons de bois. Sous ce curieux vêtement, il portait une curieuse veste jaunâtre ornée de ce que, de loin je pris pour des pin's, ce que les québécois appellent des épinglettes. Assez grand, environ un mètre quatre-vingt, et très mince, à la limite de la maigreur, il semblait âgé d'une bonne trentaine d'années, voire d'une petite quarantaine.
Je me fis la réflexion que c'était dur de lui donner un âge, car si la manière dont il était vêtu le faisait ressembler à un septuagénaire du seizième arrondissement, ses traits avaient par contre quelque chose de juvénile. Il s'assit enfin face à moi et déclina le café ou le thé que je lui offris. Les mains sagement croisées sur ses jambes maigres, il m'observa lui aussi, semblant chercher ses mots. Son annulaire gauche s'ornait d'une alliance ainsi que d'une chevalière armoriée, dont je ne distinguais pas la couronne. Je me fis la réflexion, que c'était une chance qu'il soit marié.
J'attendis patiemment qu'il trouve la meilleure manière de me communiquer la raison qui le poussait à venir me consulter. Son visage mince surmonté d'une brosse gris fer, ne semblait pas particulièrement aimable. Ce, d'autant plus que ses yeux bleus acier me dévisageaient, tandis que sa bouche mince, sorte de cicatrice barrant son visage, esquissait ce que l'on pouvait prendre pour un demi-sourire. En le regardant ainsi, j'étais presque mal à l'aise et je me fis la réflexion, que si ce type n'était pas juge d'instruction, alors il avait raté sa vocation.
Il me dévisagea ainsi pendant quelques secondes qui parurent des minutes, puis sortant de son mutisme me demanda tout d'abord si je savais ce qu'était un zurna. Un peu interloqué, je lui répondis qu'il me semblait que c'était une sorte de flûte orientale. Il esquissa une sorte de moue, comme un instituteur qui ne serait pas pleinement satisfait d'un élève. Puis, il m'expliqua que j'avais presque raison, en précisant qu'un zurna, était une sorte de hautbois turc. Il rajouta qu'il aimait la précision en toute chose, en lissant les plis de son pantalon de tergal gris.
Je levai les sourcils de manière à lui indiquer combien j'étais satisfait d'apprendre cela et le laissai poursuivre. Il poursuivit donc, en m'expliquant que, bien que turc à l'origine, on retrouvait le zurna dans différents ensembles folkloriques traditionnels du proche orient et qu'en ce sens, effectivement, on pouvait qualifier cet instrument d'oriental. Je ne répondis rien, continuant à offrir mon sourire le plus avenant à ce type étrange.
Dans ma tête, le diagnostique de schizotypie, commençait à poindre. Je ne m'étendrais pas plus longuement sur la schizotypie, il vous suffit de lire cet article, pour parfaire vos connaissances psychopathologiques. Ce retrait affectif à la limite de l'extrême froideur, ce côté maniéré, additionnés à l'incongruité de ses propos, semblaient dénoter chez l'individu assis en face de moi, un côté professeur Tournesol, que l'on observe souvent chez les gens souffrant d'une personnalité schizotypique. Je persistais à lui sourire, en me disant que si je m'apercevais que ce type était vraiment dérangé, je n'aurais qu'à lui communiquer l'adresse d'un confrère psychiatre habilité à lui fournir de bons neuroleptiques.
Il me regarda tout aussi froidement et sans ambages (j'adore cette expression), m'expliqua que je devais le trouver étrange. Je l'assurai que non, mais il sourit avant de me dire, qu'il s'en était rendu compte, et que souvent les gens avaient cette impression la première fois qu'ils le voyaient. Je décidai de me taire, enregistrant juste la manière qu'il avait de parler. Son français était parfait mais en plus, la diction était impeccable. Je me dis qu'il devait être angevin ou tourangeau d'origine, puisque ce sont les régions françaises où l'accent est le plus pur. J'optais cependant pour Angers, car j'avais, dans mon jeune temps, connu une jeune juriste lubrique originaire de cette ville qui proférait les pires insanités avec cette diction parfaite.
Il m'expliqua qu'il était juriste, occupant un poste haut placé dans une grande société immobilière et qu'il venait justement me consulter pour un problème lié au zurna, et que c'était la raison pour laquelle il tenait à ce que je sache ce qu'était un zurna. Ouvrant le cartable de cuir usé posé à ses pieds, il en sorti un petit instrument de bois, me le donna à voir, sans toutefois me permettre de le toucher et m'expliqua que c'était un zurna. Poliment, je lui répondis que c'était décidément un joli zurna, mais que je pensais qu'un zurna était plus grand.
Sans se départir de son étrange sourire, il me répondit péremptoirement qu'il existait différentes tailles de zurna. Il m'expliqua que j'avais du voir un zurna alto, tandis que celui qu'il tenait en main état un zurna piccolo. Il tint l'instrument dans sa main, avant de le reglisser prestement dans son cartable qu'il referma aussitôt comme si ce zurna était une merveille de grand prix.
Il rajouta que si le sujet m'intéressait, il pourrait me communiquer les titres des deux ou trois ouvrages de référence sur le zurna, deux en français et un en turc, malheureusement jamais traduit, bien que ce soit selon lui regrettable, car c'était une somme sur ce sujet. Un peu interloqué, je tentai cependant de n'en rien montrer. L'individu poursuivit en m'expliquant que si par contre, je tombais sur l'ouvrage "Der Schön Zurna" d'un certain Karl von glück, je ne devais en aucun cas l'acquérir, car selon lui, cet ouvrage bénéficiait d'une réputation usurpée. Très sèchement, il rajouta que von Glück n'avait rien compris au zurna !
Je lui promis bien sur de ne jamais acheter "Der hübsch Zurna. Pas joli mais beau, me répondit-il immédiatement. Vous avez utilisé "hübsch", or c'est schön. Il poursuivit en m'expliquant qu'on pouvait trouver de beaux zurnas mais qu'en aucun cas, on ne pourrait qualifier un zurna de joli. J'acquiescai immédiatement en lui présentant mes excuses pour mes lacunes en allemand et, en l'assurant que de toute manière, aucun livre de ce von Glück traitant de zurna ne serait jamais entre mes mains, que j'avais compris que cet auteur était un imposteur, que je me fiais entièrement à son jugement, puisqu'il m'apparaissait digne de confiance en matière de zurna, sujet sur lequel, il s'en était rendu compte, j'avais d'immenses lacunes.
Il sembla satisfait, et continuant à m'observer, il me dit que je devais être étonné par le fait qu'il insiste lourdement sur le zurna. Je faillis lui répondre qu'il n'était pas le premier dingue à franchir la porte de mon cabinet, mais je m'abstins. D'une part parce que je n'emploie jamais ce terme là, et d'autre part pare que cela ne se dit pas, notamment parce que certains dingues peuvent se révéler dangereux, surtout si vous les traitez de dingues.
Je me contentai de lui répondre qu'il avait sans doute d'excellentes raisons pour ainsi me parler de zurna. Et qu'au surplus, j'étais ravi de parfaire mon érudition, tant il est vrai que je savais manquer de connaissance à propos du zurna, comme je venais déjà de lui expliquer. Il opina du chef, ferma les yeux en se pinçant la base du nez entre le pouce et l'index droits avant de me dire qu'il allait entrer dans le vif du sujet mais que ce n'était pas facile. Il m'expliqua que pour son plus grand malheur, le zurna était le bonheur et le malheur de sa vie. Se calant profondément dans le fauteuil, il commença à m'expliquer son problème.
Fin de la première partie (A suivre !)
10 Comments:
Je lirai ça avec intérêt... Actuellement, je lis l'autobiographie de cette intéressant bonhomme que fut Carl Jung...
TOP SECRET
Opération "premier classé".
J'ai testé zurna, zurnolo, zurnisme, et zurnum sur Google.
Seul zurnisme ne donne aujourd'hui aucune réponse.Pour manipuler Google, "zurnisme" est plus approprié.
Zurna est déjà très chargé.
Oui, je sais, Phiphi, tout sujet de délire est toujours au bout du compte traité par mon cerveau gauche.
Mon cerveau gauche prend toujours le dessus. C'est pourquoi quand j'ai fumé quelques cônes ou que je suis bourré, je ne suis jamais complètement parti.
Toujours est il que je suis admiratif de la puissance de Google, qui est valorisé à 14 milliards de $, par comparaison avec le groupe Carrefour, valorisé à 13 milliards de $.
Google : 6000 salariés
Groupe Carrefour : 400.000 salariés
Toju
(l'homme de droite au cerveau gauche)
Cher Toju
Vous zavez zete deziforme
Google vaut auzoud'hui 225 Milliardz de dollarz
Les zanglots longz ... pleurent
Pourquoi hautbois ? On pourrait aussi bien dire un genre de flute, voire clarinette, turque d'apres la photo ?
Pendant que votre shizotype est dans votre cabinet, peut etre pourriez vous lui demander ?
Cette question anodine est en fait tres importante: qu'est qui definit un hautbois ?
Et puis ca vous permettra de verifier qu'il n'est pas en train de se la jouer expert zurnien, alors qu'il n'y connait rien et qu'en fait il a pique son zurna a Toju par exemple en venant chez vous.
Pascal, ne vous fiez pas çà ce qu'en dit von Glück, c'est bourré d'approximation !
Alors, là j'ai vraiment les boules, et dois un ERRATUM :
Google est valorisé au 23 novembre à 226 milliards de $
Tandis que le groupe Carrefour est valorisé à 37 milliards d'€.
Source : BOURSORAMA
Bon, bref, je bois ma honte et déclare sans ambages que je suis d'autant plus intéressé par la réussite de Google.
Nonobstant tout zurnisme.
Toju.
Oui Sylvain ... Carrefour vaut moins cher que Google.
On a bien compris !
"si ce type n'était pas juge d'instruction, alors il avait raté sa vocation."
En fait, ce type est bientôt juge.
Ou puis je trouver la suite de l'histoire de l'homme au zurna? Je suis psychologue et je meurs d'envie de savoir s'il s'agit bein de schizotypie... HELP
Merci
Catherine
chère consoeur,
L'homme au zurna2 est rédigé mais non encore publié, comme tout un tas d'articles qui attendent dans mon pc !
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