23 février, 2008

Courrier des lecteurs !


Une lectrice fidèle m'envoie le mail suivant :

"Dans votre tableau sur les psychotropes, il n'y a pas mon neuroleptique : l'amisulpride ou SOLIAN. Qu'on m'a aussi donné pour faire face à des angoisses du genre balaize.

Et voilà que ma responsable ("patronne") m'a dit hier que je la tranquilise par mon calme et ma maitrise de moi et qu'elle me fait confiance au point de me laisser seule le plus souvent parce qu'elle sait que j'assure quoi qu'il arrive !!

D'un coté solian et lysanxia (certes à petites doses) et de l'autre, on me renvoit assez souvent que je suis posée, calme, autonome...bref, les doigts dans le nez !

Je n'y comprends rien si ce n'est que mon psy est un magicien de haut niveau ! Il a changé l'image que j'ai de moi et celle que je donne à voir et la psychothérapie est très supérieure aux médocs : elle a réussi à changer mon mode de pensée de manière bien plus durable et forte que ces fichus cachetons.

Qu'est-ce qu'on attend pour orienter les gens vers la thérapie au lieu de les laisser mariner dans leur merde des années ?

Combien d'années perdus me concernant ? et tous les autres : chômeurs professionnels, rmistes sans avis, sans envies...

Les trois quarts sont "récupérables" je pense mais voilà il faut le vouloir.

Qu'en pensez-vous ?"

Déjà je remercie cette lectrice de m'avoir envoyé ce message. Je me souviens que son premier message était bien moins aimable. Elle m'y tutoyait sans vergogne et n'avait pas encore compris que j'avais toujours raison. Je constate que depuis qu'elle a repris un vouvoiement respectueux et qu'elle reconnait ma sagacité et ma capacité à répondre à toute chose, nos rapports se sont largement améliorés.

Ainsi, je prends toujours soin de lui répondre afin de lui faire bénéficier de ma grande clairvoyance. Ce faisant je prends toujours soin de coiffer mon chapeau pointu violet agrémenté de belles étoiles de papier argenté, qui est le couvre-chef de ma secte dont je suis le seul et unique adhérent, n'ayant jamais pu trouver des personnes susceptibles de me plaire suffisamment. Aujourd'hui, le cas soumis par cette lectrice étant de nature à permettre la rédaction d'un article, je le publie.

Alors que répondre à cette lectrice ? C'est finalement simple. D'une part en l'état du droit, je n'ai pas à me prononcer sur le bienfondé d'une prescription médicale au risque de me retrouver accusé de pratiquer l'exercice illégal de la médecine. Comme je l'ai déjà exposé, pratiquant depuis suffisamment d'années, je suis juste devenu VIGILANT, ce qui me permet parfois de conseiller à des patients de consulter un autre médecin afin d'avoir un autre avis.

Ces précautions légales étant clairement établies, je répondrai en trois points à ma lectrice :


  • Certaines pathologies mentales (schizophénies, troubles bipolaires, etc.) nécessitent absolument un traitement médicamenteux pour être "endiguées". D'autres pathologies à priori moins sévères (Dépressions, états anxieux, boulimie, etc.) peuvent nécessiter un traitement médicamenteux afin de limiter les risques à l'acmé de la pathologie.

    Or chacun sait que dans mon métier, le risque ultime reste le suicide aussi appelé autolyse. Comme je le rappelle toujours à mes chers patients récalcitrants à l'idée de prendre ce type de traitements, d'une part ils sont adultes et peuvent choisir mais je dois bien avouer que s'il m'est facile de traiter quelqu'un sous ISRS, cela m'est plus difficile de traiter un suicidé.

    Le traitement médicamenteux est donc utile et à part quelques rares psychanalystes orthodoxes nés avant-guerre, je pense que les psys l'admettent aujourd'hui.


  • Rappelons qu'une psychothérapie est un traitement nécessitant l'engagement et l'investissement du patient. Ainsi, les thérapies que je pratique, appelées thérapies comportementales et cognitives, sont même appelées thérapies de l'action, tant on tente de mobiliser nos patients. Il est en effet hors de question d'imaginer que ce dernier soit inactif.

    Or, certains patients, pour des raisons diverses, ne peuvent ou ne veulent s'investir. Dans ces cas là, le recours au traitement médicamenteux s'avère le seul possible. C'est une solution confortable et tranquille. Vous n'êtes pas sans savoir que pour bon nombre de personnes, la stratégie du moindre effort est celle qui est retenue par défaut. Il m'arrive moi-même d'y recourir.

    Toutefois, pour qui souhaite évoluer et trouver du sens, il est certain que les médicaments ne seront jamais suffisants. La thérapie va s'imposer. Comme je le rappelle à tous mes patients prenant des antidépresseurs, ces produits vous maintiennent à la surface mais ne vous ramènent jamais au rivage. C'est d'ailleurs un grand risque que de ne prendre qu'un antidépresseur.

    Cela fonctionne sur le moment mais le patient confronté par la suite aux mêmes difficultés, n'ayant pas développé de parades psychologiques suffisantes, replongera le plus souvent. Les états anxieux et dépressifs doivent être assimilés à des événements de vie qui nous éclairent sur ce que nous sommes. Bien que ce soit de vraies pathologies, il serait faut de croire qu'ils sont similaires à une simple grippe et ne nécessitent qu'une prise en charge médicamenteuse.Pas plus le Prozac que la cocaïne ne sont des molécules du bonheur.


  • Enfin, on peut aussi allier le traitement médicamenteux et la psychothérapie. C'est souvent ce qui est recommandé. Comme je l'explique dans le paragraphe précédent, une pathologie mentale même aussi courante que l'anxiété ou la dépression n'est jamais neutre et nécessite de comprendre ce qui arrive. L'antidépresseur est une bouée qui maintient à la surface mais ne permet pas de regagner le rivage. Toutefois en libérant l'énergie qui était auparavant consacrée à combattre les symptômes, l'antidépresseur permet de mobiliser des ressources psychiques pour comprendre ce qui arrive. Pour chercher du sens et évoluer, faites plutôt confiance à un psy plutôt qu'aux laboratoires pharmaceutiques.


Je remercie donc cette lectrice de promouvoir ainsi le travail des humbles tâcherons que nous sommes. Toutefois, mon sérieux ainsi que ma modestie légendaires m'incitent à modérer ses propos quant aux médicaments qu'elle juge superflus.

Je conclurai donc cet article magistral par une phrase lourde de sens que vous pourrez méditer :

"Attention, parfois les médicaments c'est utile !"

26 Comments:

Blogger Laurence said...

Puisqu'on parle de médicaments, j'ai moi aussi une question à te vous poser.C'est pas facile à dire et à avouer aussi je compte sur ta votre compréhensivation la plus distinguée.

Voilà... en fait j'ai fait de l'auto-médication (bouh pas bien ! mais au moins je ne creuse pas le trou de la sécu)avec un médicament que je n'ai pas non plus trouvé dans ton graphique... pffff je ne trouve pas les mots... allez je me lance : j'ai sucé un Strepsil à la lidocaine et j'ai la langue toute bleue ! vais-je redevenir normale ? est-ce irréversible ?

23/2/08 6:12 AM  
Blogger Laurence said...

PS : tu remarqueras que j'ai tenté de faire l'effort de te vouvoyer afin de montrer l'exemple ;)

23/2/08 6:13 AM  
Blogger philippe psy said...

Ma chère Laurence,

Sachant que vous êtes promise à Dieu et que vous avez su rester une vraie jeune fille pure, ce problème de langue bleue ne me semble pas dérangrant.

Toutefois eussiez vous souhaité une fois dans votre vie embrasser un garçon sur la bouche en y mettant la langue que tout aurait changé.

En effet une langue bleue n'a rien de ragoutant, personne n'a envie de rouler une pelle à un chow-chow ! Car vous l'ignoriez sans doute mais cette race de chien possède une langue bleue.

Afin d'élever le débat, demandez à Monsieur le Curé s'il vous sera possible de communier dimanche avec cette langue bleue ou c'est un empêchement prévu par le droit canon. Cela mérite d'être approfondi !

Si Monsieur le Curé demande à voir votre langue et exige que vous vous agenouilliez devant lui, changez de confesseur ! Car tout cela ne me dirait rien de bon qui vaille.

23/2/08 6:17 AM  
Blogger Laurence said...

Si ça se trouve, j'ai eu un rapport sessuel avec un Schtroumpf quand j'étais petite et le Strepsil dévoile au grand jour cette dramatique expérience ! je devrais aller voir un psy lacanin, euh lacanien !

23/2/08 6:21 AM  
Blogger philippe psy said...

Ah oui alors il faudrait plus certainement parler de rapports buco-génitaux pour que votre langue ait pris cette belle teinte bleue.

Rassurez-vous cela ne vous mettra pas enceinte. Toutefois j'espère que vous avez pris soin de recracher sinon les de votre oesophage et de votre estomac risquent d'être bleues.

Avouez que vous auriez l'air bête si malencontreusement vous deviez avoir à subit une fibroscopie. Le médecin pourrait vosu regarder d'un drôle d'oeil.

Hélas le Parc Schtroumpf étant en Lorraine et ces petites bêtes étant dotées d'un appétit sexuel immodéré, vous n'êtes pas leur seule victime.

Ecrivez dès maintenant au procureur de la république pour vous plaindre d'avoir été violée par un de ces lutins.

23/2/08 6:27 AM  
Anonymous Anonyme said...

Bon, la psychothérapie est utile, bien évidemment et surtout en association avec un traitement anti-dépresseur, mais de là à dire que sans elle, on ne peut atteindre le "rivage" (lequel d'ailleurs ?), je ne suis pas loin de penser qu'il y a là un abus de pouvoir (ou une illusion de pouvoir).
Par ailleurs, la TCC qui semble être la forme de thérapie que vous pratiquez ne me semble pas nécessairement la plus adaptée dans le cas d'une dépression. En effet, puisqu'elle vise pour le plus souvent à atténuer des symptomes qui sont devenus gênants dans la vie du patient, sans nécessairement s'intéresser à leur cause première.

23/2/08 10:50 AM  
Blogger philippe psy said...

Cher anonyme,

Vous racontez de grosses bêtises, vous avez de graves lacunes, des failles dans vos connaissances et votre arrogance semble sans limites. Ceci dit vous écrivez bien et sans fautes. J'ai donc le plaisir de vous publier.

Continuez à pratiquer le contentement de vous-même. Et merci de m'avoir lu.

23/2/08 12:10 PM  
Anonymous Anonyme said...

Fort belle réponse, mais qui vous évite joliment de répondre sur l'essentiel :
1. Vous surestimez le pouvoir de votre pratique.
2. Je maintiens que la TCC s'occupe pour l'essentiel de la superficialité de l'invidu.
Cela dit je ne suis pas certain que vous ayez la capacité d'appréhender tout cela de façon libre et détachée.
La TCC postule un modèle de fonctionnement du cerveau, si vous pensez qu'il s'agit d'une réalité objective, j'ai peur qu'il s'agisse d'une illusion.

Votre Cher Anonyme

23/2/08 1:49 PM  
Blogger Laurence said...

Bon, je crois que le week-end ne va pas être de tout repos :

1) des schtroumpfs se déguisent en Strepsil à la lidocaïne pour se faire sucer.
2) des psychanalystes ou des idiots qui essaient de jouer les intelligents se déguisent en Anonyme pour raconter de grosses conneries sur le blog d'un psychothérapeute spécialiste des TCC.

Serions-nous à la mi-carême ?

23/2/08 3:57 PM  
Blogger philippe psy said...

Cher anonyme,

Je ne surestime rien du tout. LEs TCC ne sont pas la panacée mais elles fonctionnent bien. Ce sont d'ailleurs les seules thérapies à avoir été évaluées.

De plus, vous mésestimez la partie "strictement humaine de la relation". Les TCC sont assez codifiées mais il n'en reste pas moins que le style du psy compte énormément.

Elles ne traitent pas que les symptômes puisqu'elles comportement une dimension cognitive".

Achetez des livres et lisez les. Vous écrivez bien, vous semblez intelligent. Je reste persuadé qu'avec un minimum de connaissances sur ce sujet, vous pourriez être amené à faire des raisonnements cohérents.

Merci de m'avoir relu.

23/2/08 4:05 PM  
Blogger El Gringo said...

Chèr Lorance,

Esk1 stroumf c com 1 chov p1 en bleu?
Eski ya du parf1 axe ala lidoka ine?

Signé: 1 âne o nim

23/2/08 4:46 PM  
Anonymous Anonyme said...

toujours aussi imbu de lui-même, ce psy de mes fesses : imbu, imbu...vable et sa chienne de garde qui a certainement la rage, puisque quand "ce n'est plus de l'amour, c'est de la rage" !!

23/2/08 7:09 PM  
Blogger philippe psy said...

Non, pas spécialement imbuvable. Disons que j'attendais que vous argumentiez au lieu de m'asséner de pseudo-vérités.

Ce que vous dites n'est ni vrai ni juste, c'est simplement n'importe quoi. Je le répète, vous écrivez bien et vous semblez intelligent. Alors cultivez-vous et revenez me voir.

Nous pourrons débattre des sujets qui vous plaisent. Quand je débat avec des gens, c'est un peu comme l'escrime, je n'imagine pas qu'ils seront forcément d'accord avec moi, mais j'exige un certain niveau.

Je suis sur que dans les sujets que vous maitrisez (nintendo, tektonik, scooter 50cc, etc.) vous êtes comme moi et suffisamment exigent pour ne pas débattre avec le premier venu.

Ceci dit vos commentaires sont toujours les bienvenus si vous avez du temps à perdre. Je les publierai toujours pusique je ne censure jamais.

Si je ne connais pas grand chose à la Nintendo, par contre je connais les TCC. Ce que vous dites est faux, ce fut mille fois dit et démontré.

23/2/08 8:50 PM  
Blogger Laurence said...

pourkoi cète kestion el grinegau ? tu ve k1 nain conu tofre dé fleur ?

24/2/08 1:19 AM  
Blogger Laurence said...

"psy de mes fesses" : en fait, c'est un proctologue qu'il vous faut !!

24/2/08 1:50 AM  
Blogger El Gringo said...

Chère Laurence,

Ayant récemment appris que vous étiez une chienne de garde, j'ai le regret de vous informer que je ne pourrai poursuivre plus avant mes relations épistolaires avec vous.
Recevez, Mademoiselle, mes salutations de circonstance.

Le Gringeot

24/2/08 2:15 AM  
Blogger Laurence said...

Mon cher Gringeot,

Je savais bien que cela arriverait et que vous me renieriez avant l'aube, avant que le coq ne chante... c'était écrit ! je file de ce pas sur le Mont des Oliviers, alea jacta est !

24/2/08 6:12 AM  
Anonymous Anonyme said...

Ah ! Je comprends mieux maintenant, vous m'avez pris pour un autre Anonyme ! Quelle méprise ! Vous êtes décidemment bien illusionné.
Si vous souhaitez sincèrement avoir un débat sur la TCC, il faudra que vous changiez d'attitude, et cessiez les provocations puériles qui sont trop peu dignes de cela.

24/2/08 1:12 PM  
Blogger philippe psy said...

Et vous peut-être faudrait-il que vous changiez de blog. Moi je reste immuable et j'ai toujours raison.

Ma devise : "Chacun mes idées".

Merci de m'avoir lu.

24/2/08 4:48 PM  
Blogger philippe psy said...

Une idylle semble se nouer entre Le Gringeot et Laurence ! Mais cela ne nous regarde pas. Chut !

24/2/08 8:48 PM  
Anonymous Anonyme said...

"Je ne censure jamais".

vs

"La modération des commentaires a été activée. Tous les commentaires doivent être approuvés par l’auteur du blog."

L'incohérence volontaire est une invitation à transcender la logique humaine. Mais ce procédé est très risqué et réservé aux personnalités matures.

Toju

(nonobstant tout zurnisme)

25/2/08 9:59 AM  
Anonymous Anonyme said...

Ciel les chow chow sucent des strepsil à la lidocaïne !! Mais que fait la SPA ?

Philippe : vous avez raison, le style du praticien compte pour beaucoup. je confirme que le port de la mini-jupe et du décolleté profond avait des effets vivifiants sur les dépressifs mâles. Mes techniques thérapeutiques s'améliorent de jour en jour !

25/2/08 11:04 AM  
Blogger philippe psy said...

@Toju : et donc ? cela évite simplement les robots !

@Syl : Ciel ! Nous avons les mêmes techniques ! Ma musculation avantageuse et mon étui pénien surdimensionné ont beaucoup de succès !

25/2/08 2:08 PM  
Anonymous Anonyme said...

...de la part de Toju, nonobstant tout zurnisme.

Pour éviter les robots, ça m'évoque de vieux souvenirs :

TRUST / Antisocial


Tu bosses toute ta vie pour payer ta pierre tombale,
Tu masques ton visage en lisant ton journal,
Tu marches tel un robot dans les couloirs du metro,
Les gens ne te touchent pas, il faut faire le premier pas,
Tu voudrais dialoguer sans renvoyer la balle,
Impossible d'avancer sans ton gilet pare-balle.
Tu voudrais donner des yeux a la justice
Impossible de violer cette femme pleine de vices.

Antisocial, tu perds ton sang froid.
Repense a toutes ces annees de service.
Antisocial, bientot les annees de sevices,
Enfin le temps perdu qu'on ne rattrape plus.

Ecraser les gens est devenu ton passe-temps.
En les eclaboussant, tu deviens genant.
Dans ton desespoir, il reste un peu d'espoir
Celui de voir les gens sans fard et moins batards.
Mais cesse de faire le point, serre plutot les poings,
Bouge de ta retraite, ta conduite est trop parfaite
Releve la gueule, je suis la, t'es pas seul
Ceux qui t'enviaient, aujourd'hui te jugeraient.

Tu bosses toute ta vie pour payer ta pierre tombale,
Tu masques ton visage en lisant ton journal,
Tu marches tel un robot dans les couloirs du metro,
Les gens ne te touchent pas, il faut faire le premier pas,
Tu voudrais dialoguer sans renvoyer la balle,
Impossible d'avancer sans ton gilet pare-balle.
Tu voudrais donner des yeux a la justice
Impossible de violer cette femme pleine de vices.
Antisocial, antisocial, antisocial, antisocial

25/2/08 3:50 PM  
Anonymous Anonyme said...

Affirmer qu'il n'y a aucune censure, et laisser apparaître en même temps que les commentaires doivent être approuvés, est une injonction paradoxale infligée à vous-même.

Plaise à Dieu que vous n'en souffrîtes.

Poil à la bite.

Toju

(Nonobstant tout zurnisme)

25/2/08 4:12 PM  
Blogger Xe"lymphe said...

Et si on veux pas prendre la solution de facilité avec les medicaments et préférer une thérapie, qui sera surement plus longue, mais sans medicaments ?
Ca peut marcher aussi je pense...

Je suis plus ou moins contre, parfois c'est trop facile et beaucoup de medecins prescrivent a tout bout de champ sans forcement faire de suivis derriére...
Mais je suis d'accord que la combinaison medicament+thérapie marche trés bien si le patient décide de prendre les choses en main.

J'ai toujours été contre lorsqu'il s'agissait de moi, masi je me suis surprise a plusieurs reprise de conseiller des amis d'en prendre.
Pour pratiquement toutes les pathologie il faut un traitement, les pathologies mentales c'est la même chose, meme si ca voile la face, ca aide a passé un cap et allé mieux...
Sauf que certain font n'importe quoi avec (medecin par rapport aux prescriptions ou patient qui suivent pas ou arrete d'un coup) et dans ces cas la ca peut faire peur aussi...
Aprés il faut reussir a bien argumenter ...

25/2/08 8:54 PM  

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