Voyage 1 - Sur le départ !
Vendredi 13h00, les bagages sont prêts et nous sommes sur le départ. Juste un bref petit tour ici et nous prendrons la route.
J'en parlais depuis si longtemps que j'avais l'impression d'être un gars du pays. Grâce à ce blog, ce village perdu aux confis de la Meurthe-et-Moselle et de la Meuse, avait acquis une certaine notoriété.
Qu'il s'agisse de son patrimoine culinaire (Gris de Toul, Croutonnade Faouine, etc.), artistique (cendriers artisanaux faits à partir de boîtes de thon, etc.) ou industriel (Usine Pont-à-Mousson), nul n'ignore sur ce blog tout ce que Foug a pu apporter à la France, que dis-je au Monde et je n'exagères pas !
Mais hélas, si j'en parlais savamment, tel Antoine Sfeir traitant du moyen-orient, je n'y avais jamais mis les pieds, ne fisant que vous conter ce que des témoins et des locaux me rapportaient. C'était une grave lacune.
Chacuns ait que de nos jours, il est plus facile de prendre l'avion pour une destination lointaine que sa voiture pour aller dans l'est de la France. Ces dernières années, des contrées exotiques, des villes aux noms imprononçables, des peuplades étonnantes aux coutumes étranges, me virent passer, mais je ne cessai de songer à Foug, insolente cité !
Prenant mon courage à deux mains, je préparai donc fébrilement l'expédition. Des lainages, des chaussures de marche, des présents pour les indigènes, des cartes récentes, et un contact local nous servant de guide (Laurence) et le tour était joué.
D'abord A86, puis direction Nancy par l'A4. Enfin, direction Nancy par la N4, après un court passage par la N104, l'itinéraire était tracé. Paris, Sezanne, Vitry-le-François, Saint-Dizier, puis encore Ligny-en-Barrois et enfin Foug, autant de villes aux noms magiques et évocateurs !
Je vous quitte, j'ai de la route à faire ! L'appel du voyage sourd en moi. Tel un loup sauvage, je me rends compte que mon avenir proche est dans les grandes steppes de l'est !
J'en parlais depuis si longtemps que j'avais l'impression d'être un gars du pays. Grâce à ce blog, ce village perdu aux confis de la Meurthe-et-Moselle et de la Meuse, avait acquis une certaine notoriété.
Qu'il s'agisse de son patrimoine culinaire (Gris de Toul, Croutonnade Faouine, etc.), artistique (cendriers artisanaux faits à partir de boîtes de thon, etc.) ou industriel (Usine Pont-à-Mousson), nul n'ignore sur ce blog tout ce que Foug a pu apporter à la France, que dis-je au Monde et je n'exagères pas !
Mais hélas, si j'en parlais savamment, tel Antoine Sfeir traitant du moyen-orient, je n'y avais jamais mis les pieds, ne fisant que vous conter ce que des témoins et des locaux me rapportaient. C'était une grave lacune.
Chacuns ait que de nos jours, il est plus facile de prendre l'avion pour une destination lointaine que sa voiture pour aller dans l'est de la France. Ces dernières années, des contrées exotiques, des villes aux noms imprononçables, des peuplades étonnantes aux coutumes étranges, me virent passer, mais je ne cessai de songer à Foug, insolente cité !
Prenant mon courage à deux mains, je préparai donc fébrilement l'expédition. Des lainages, des chaussures de marche, des présents pour les indigènes, des cartes récentes, et un contact local nous servant de guide (Laurence) et le tour était joué.
D'abord A86, puis direction Nancy par l'A4. Enfin, direction Nancy par la N4, après un court passage par la N104, l'itinéraire était tracé. Paris, Sezanne, Vitry-le-François, Saint-Dizier, puis encore Ligny-en-Barrois et enfin Foug, autant de villes aux noms magiques et évocateurs !
Je vous quitte, j'ai de la route à faire ! L'appel du voyage sourd en moi. Tel un loup sauvage, je me rends compte que mon avenir proche est dans les grandes steppes de l'est !
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