27 janvier, 2009

Attention feignant !


Une de mes lectrice m'a adressé un commentaire qu'elle ne souhaitait pas que je publie. Elle semble soumettre à ma sagacité légendaire un problème quelconque et souhaitait que je lui réponde. Pour ce faire, elle m'a laissé un mail.

Eussè-je été organisé et diligent, que j'aurais immédiatement noté ce mail et que je lui aurais écrit. Mais tel n'est pas mon cas. Bordélique et cossard comme je suis, je n'ai rien fait de tout cela.

Je me contente donc de rédiger ce court article pour préciser qu'on peut m'écrire en cliquant simplement sur mon profil. Ce profil se trouve à droite du blog sous nos photos, sous la rubrique "contributeurs". Une fois ma fiche devant vos yeux ébahis, vous cliquez sur le lien "Email" et laissez la magie opérer... En vérité je vous le dis, vous êtes alors sur le point d'envoyer un email au meilleur psychothérapeute du monde qui possède le meilleur blog de l'univers !

Cependant, les mails n'étant pas encore dotés de répondeurs automatiques, ne vous attendez pas à une réponse immédiate. Il se trouve que je consulte rarement mes mails. Je trouve cela pénible. Je pense que si quelqu'un a quelque chose d'important à me dire, il peut me téléphoner. Je ne paye pas SFR pour rien.

Et si cette personne tient absolument à m'adresser un mail, il vaut mieux qu'elle me prévienne par téléphone qu'elle vient de m'écrire. Je pense même qu'il faudra qu'elle me rappelle deux ou trois fois, parce que sincèrement, j'ai toujours mieux à faire qu'à lire mes mails.

Mais, promis, je ferai ce que je peux pour répondre dans les délais les plus brefs. Je m'y engage solennellement ! Tenez, je promets que tout mail reçu avant la fin de ce mois, obtiendra une réponse avant la fin de l'année ! Si ça c'est pas de l'efficacité !

Enfin bon, il n'est pas dit que je bosserai gratos tout de même. Rendre service ponctuellement, OK. Mais bosser à l'œil non. Hors de question que je fasse des thérapies par mail. Non mais ! Pour tout savoir, offrez-vous des livres ou prenez rendez-vous avec moi. Je suis cher mais comme on dit : le prix s'oublie mais la qualité reste !

J'ai tout un tas de petits artisans cupides à payer moi. Et puis un jour, il va bien falloir que je remplace mon vieux scoot' !