01 novembre, 2023

Bande de veaux et envie de meurtre !


Lundi soir j'étais avec des amis au restaurant. Rien de fabuleux puisque c'était chez Chartier, le célèbre bouillon, celui de Montparnasse très exactement. Comme ce sont les vacances, il y avait plus de monde qu'à l'accoutumée pour un soir de semaine. Alors on a fait la queue. D'abord elle s'étire sur le trottoir puis enfin on accède à une estrade où l'on vient nous chercher en fonction des places disponibles Chez Chartier ils font le plein et si l'on est deux ou on peut se retrouver à la même table qu'un autre couple. Autant vous dire que ce n'est pas l'endroit pour une soiré entre amoureux. Mais bon, la bouffe est correcte autant que les prix et c'est rapide.

Nous faisions donc la queue sur le trottoir lorsque je m'avisai que celle de l'estrade s'était considérablement réduite. Je demandai alors fort aimablement aux gens devant nos, une gentille famille de quatre, s'ils pouvaient avancer jusque sur ladite estrade. Non, me répondit la dame, parce qu'on ne nous a pas dit d’avancer. Je lui expliquai alors que le monsieur qui nous octroyait les tables était l'employé d'une société commerciale et non un dépositaire d'une autorité quelconque à qui il était risque de désobéir !

Rien n'y fit, la famille de mongolitos ne bougea pas. Je leur demandai alors s'ils avaient leurs vaccins à jour et qils avaient été satisfaits du passe sanitaire. Aucun mouvement jusqu'à ce qu'on nous dise d'avancer. Les quatre veaux consentirent enfin à monter sur l'estrade. 

Ce genre de comportement golémique me fait toujours sourire parce que je pense toujours aux héros actuels qui vous disent qu’en 40, ben croyez-les, les boches auraient vu de quels bois ils se chauffaient passke ils auraient été résistants !

Dans les faits, ce ne sont que des golems insupportables avec qui il faut vivre, qu'il faut même aimer et eut être plaindre que Dieu ne leur eu pas donné une âme mieux trempée. Ce sont des médiocres, des couards : des cirons insignifiants qu'il faut côtoyer et à cause de qui un état policier et fascistoïde nous a brimés en nous confinant puis en nous imposant un passe sanitaire pour un vaccin merdiques.

Dieu comme je les hais et comme, me souvenant de mes lectures de Marc Aurèle, je me force à les aimer. Comme l'écrivais un jeune sous-officiers à sa mère, la veille de sa mort à la bataille des Ardennes :

"Nous sommes quarante mille fous qui nous battons pour quarante millions de salauds"