Viol ! Statistiques alarmantes !
Tout à l’heure, aux informations, je regardais une manifestation de femmes féministes, ayant eu lieu aujourd’hui dans les rues de Paris. Une mémère aigrie et vindicative, s’adressait à un micro pour dénoncer tout un tas de trucs et réclamer enfin des lois pour protéger les femmes !
J’ai donc appris que dans mon pays, les femmes étaient une espèce menacée, moi qui pensais vivre dans un pays où il existait une égalité, en droit, entre hommes et femmes. Il me semblait même que certaines professions, comme la magistrature, l’enseignement, etc. étaient occupées à plus de soixante pour cent par des femmes ! J’ai même entendu dire que la médecine, serait dans quelques années, aussi envahie par les femmes.
Je connais même un cas où la femme décide seule : dans le cas de l’avortement, le père n’étant dans ce cas qu’un géniteur, un mâle s’étant borné à envoyer une giclée de sperme ! Dès lors, si monsieur veut l’enfant et que madame ne le souhaite pas, c’est elle qui aura le dernier mot ! Par contre, à l’opposé, lorsque madame veut le garder et monsieur non, monsieur sera invité à verser une pension alimentaire ! C’est une sacrée égalité ça non ?
Alors je dois en déduire que, puisque ce qui pour moi est une égalité, ne l’est pas pour ces femmes qui défilaient, c’est que l’égalité qu’elles invoquent, ne sera enfin avérée, que lorsque les femmes domineront, enfin tous les emplois. Peut-être même qu’elles sont assez malignes pour se poser en victimes éternelles afin de nous dominer, parce que c’est la logique non avouée et non avouable de leur combat ? Quel machiavélisme !
Je gage, toutefois, que pour les trucs manuels, peu qualifiés et pénibles, les hommes auront encore quelques privilèges parce que je n’ai jamais vu défiler de femmes désireuses d’être mineur de fond. Mais bon, je suis un homme et j’oublie parfois que je suis ontologiquement un salaud exploiteur.
Finalement, au-delà de la ritournelle féministe qui ne changera jamais, c’est surtout un chiffre qui a retenu mon attention dans le discours de la mémère féministe ! En effet à un moment donné, mémère a expliqué qu’il y aurait 48 000 viols en France, dont seulement 8% feraient l’objet d’une plainte, car les femmes, selon elle, auraient encore honte de porter plainte.
Alors certes, et je ne m’étendrai pas sur le sujet, il est évident que le viol est un drame et une épreuve et qu’il n’est pas facile de se rendre dans un commissariat. Toutefois, on notera que des progrès ont été faits. Par exemple, la présence de personnel féminin dans les commissariats permet notamment aux victimes de pouvoir parler à une autre femme. Et de manière plus générale, les autorités sont mieux formées, ce qui évite donc aujourd’hui dans une écrasante majorité des cas de se retrouver face à une bande de fonctionnaires de police caricaturaux, ivres, dont la moitié ricanera tandis que l’autre moitié mettra en doute le récit de la victime.
Pour définir le viol, l’article L.222-23 du Code pénal dispose que: « Tout acte de pénétration sexuelle, de quelque nature qu’il soit, commis sur la personne d’autrui, par violence, contrainte, menace ou surprise, est un viol ».
J’ai donc appris que dans mon pays, les femmes étaient une espèce menacée, moi qui pensais vivre dans un pays où il existait une égalité, en droit, entre hommes et femmes. Il me semblait même que certaines professions, comme la magistrature, l’enseignement, etc. étaient occupées à plus de soixante pour cent par des femmes ! J’ai même entendu dire que la médecine, serait dans quelques années, aussi envahie par les femmes.
Je connais même un cas où la femme décide seule : dans le cas de l’avortement, le père n’étant dans ce cas qu’un géniteur, un mâle s’étant borné à envoyer une giclée de sperme ! Dès lors, si monsieur veut l’enfant et que madame ne le souhaite pas, c’est elle qui aura le dernier mot ! Par contre, à l’opposé, lorsque madame veut le garder et monsieur non, monsieur sera invité à verser une pension alimentaire ! C’est une sacrée égalité ça non ?
Alors je dois en déduire que, puisque ce qui pour moi est une égalité, ne l’est pas pour ces femmes qui défilaient, c’est que l’égalité qu’elles invoquent, ne sera enfin avérée, que lorsque les femmes domineront, enfin tous les emplois. Peut-être même qu’elles sont assez malignes pour se poser en victimes éternelles afin de nous dominer, parce que c’est la logique non avouée et non avouable de leur combat ? Quel machiavélisme !
Je gage, toutefois, que pour les trucs manuels, peu qualifiés et pénibles, les hommes auront encore quelques privilèges parce que je n’ai jamais vu défiler de femmes désireuses d’être mineur de fond. Mais bon, je suis un homme et j’oublie parfois que je suis ontologiquement un salaud exploiteur.
Finalement, au-delà de la ritournelle féministe qui ne changera jamais, c’est surtout un chiffre qui a retenu mon attention dans le discours de la mémère féministe ! En effet à un moment donné, mémère a expliqué qu’il y aurait 48 000 viols en France, dont seulement 8% feraient l’objet d’une plainte, car les femmes, selon elle, auraient encore honte de porter plainte.
Alors certes, et je ne m’étendrai pas sur le sujet, il est évident que le viol est un drame et une épreuve et qu’il n’est pas facile de se rendre dans un commissariat. Toutefois, on notera que des progrès ont été faits. Par exemple, la présence de personnel féminin dans les commissariats permet notamment aux victimes de pouvoir parler à une autre femme. Et de manière plus générale, les autorités sont mieux formées, ce qui évite donc aujourd’hui dans une écrasante majorité des cas de se retrouver face à une bande de fonctionnaires de police caricaturaux, ivres, dont la moitié ricanera tandis que l’autre moitié mettra en doute le récit de la victime.
Pour définir le viol, l’article L.222-23 du Code pénal dispose que: « Tout acte de pénétration sexuelle, de quelque nature qu’il soit, commis sur la personne d’autrui, par violence, contrainte, menace ou surprise, est un viol ».
- C'est la « pénétration sexuelle » qui distingue le viol des autres agressions sexuelles.
- « de quelque nature qu’il soit » : ceci désigne toute pénétration sexuelle, qu’elle soit vaginale, anale (sodomie) ou orale (fellation), ou par la main ou des objets.
- « commis sur la personne d’autrui » : ceci désigne soit une femme, soit un homme, soit un enfant (fille ou garçon), que la victime soit connue ou inconnue de l’agresseur (ce dernier peut être extérieur à la famille ou lui appartenir).
- « par violence, contrainte, menace ou surprise » : ceci désigne les moyens employés par l’agresseur pour imposer sa volonté, au mépris du refus ou de l’âge de la victime. C’est le non consentement qui caractérise le viol.
Selon l'article article L.222-24 du Code pénal, le viol est aggravé et les peines augmentées dans les cas où il a été commis :
La définition en tant que « pénétration» fait l'objet de contestations de la part de certaines personnes car elle exclut du champ du viol les attouchements et les caresses sans pénétration, qui peuvent constituer pour les victimes une atteinte tout aussi grave. Sans doute peut-on mettre un bémol. Le viol, en tant que violence doit rester circonscrit à ce qu’il décrit, soit la violation de l’intimité, sous peine de perdre de sa valeur. De plus, ce serait la porte ouverte à tout et n’importe quoi !
Depuis 1992, la qualité de conjoint est retenue comme circonstance aggravante en cas de violences conjugales, et la jurisprudence reconnaît le viol conjugal. Cette notion résulte du fait que la notion de « devoir conjugal » n’existe plus depuis 1990. Dès lors, si votre femme vous joue « Hôtel du cul tourné », toutes les nuits, vous n’aurez rien à dire, si ce n’est à acheter des magazines ou à avoir une belle imagination et vous prendre en main vous même.
L’idéal sera donc, avant d’avoir une relation sexuelle de faire signer un contrat que vous mettrez sous clé, afin de ne pas avoir de mauvaises surprises. Car n’oubliez pas, que si les vrais viols existent, et c’est un drame, je le répète, les fausses accusations existent aussi. Un père a ainsi passé plusieurs années en prison avant que sa fille ne se rétracte et avouez avoir menti.
J’ai moi-même reçu voici quelques années, un homme, qui avait passé quatre mois en prison après avoir été accusé de viol par son ancienne petite amie. La juge d’instruction l’a fait extraire de la prison à huit reprises pour l’entendre. Mais les choses étant ce qu’elles sont, bien entendu, le débat en France est totalement dominé par le juge d’instruction (qui est diplômé de l’ENM comme le procureur qui vous poursuit), face auquel vous, et votre défenseur n’avez pas beaucoup de droits. Je ne veux pas m’engager sur le terrain juridique mais, vous qui avez totalement confiance en la justice de votre pays, souvenez-vous d’Outreau et du mirifique juge Burgaud (qui a finalement été promu). Mon cher patient a finalement été relaxé parce que son ex-petite amie a finalement avoué avoir menti parce qu’elle était en colère d’avoir été plaquée !
Croyez-moi, c’est une expérience aussi traumatisante qu’un viol que d’être sincèrement honnête et innocent et de se retrouver en tôle accusé d’une telle horreur sans savoir si l'on va être innocenté ou si l'on va y passer des années. Ce d'autant plus que les violeurs, les pointeurs comme on dit dans l'argot des taulards, sont très mal vus !
Imaginez-vous, avec votre porte enfoncée à six heures du matin, la commission rogatoire qu’on vous présente, votre logement fouillé immédiatement sans aucune précaution, les menottes aux poignets, sorti de chez vous sans ménagement pour être mis en garde à vue, puis passant devant le procureur, et enfin devant un juge d’instruction qui d’une manière totalement discrétionnaire vous collera au trou. Je ne croirai définitivement à la parité que le jour ou les fausses victimes coupables de fausses accusations encourront automatiquement une très grave peine de prison ferme. Je pense que nous aurons alors des statistiques un peu plus fiables concernant les viols.
Et dans ce discours, finalement c’est ce chiffre énorme de 48 000 viols qui me chiffonne voire, me fait gerber. Bien sur, je sais que les viols existent, que c’est une réalité, et j’ai eu des femmes violées dans ma clientèle et c’est un vrai drame. Mais ce chiffre d’où sort-il ? Comment est-il obtenu ?
Pourquoi nous le jette-t-on ainsi à la face puisque la mémère parlant au micro, admet que selon elle, seules 8% des femmes portent plainte ? Dès lors, il s’agit forcément d’une extrapolation à partir des plaintes réelles puisque par nature, on ne peut savoir exactement le nombre de viols n’ayant pas fait l’objet d’une plainte !
Les statistiques ne peuvent rendre compte que de faits objectifs et non supposés ou alors on se retrouve dans les même bidonnages que les sondages politiques (chiffres redressés comme on dit aujourd’hui) qui ne correspondent jamais à la réalité des urnes !
J’ai finalement trouvé la solution, puisque ces chiffres sont donnés par un site au-delà de tout soupçon, puisqu’il s’agit du site des Chiennes de garde. Je vous fais un copier-coller (entre les deux petites chiennes) de la manière dont elles obtiennent ce chiffre :
Plus de deux millions de femmes victimes :
L’Enquête Nationale sur les Violences Envers les Femmes en France, réalisée en 2000 à l’initiative du Secrétariat d’Etat aux Droits des Femmes, a chiffré ce fléau. Au cours des 12 derniers mois, parmi les 6970 femmes interrogées, âgées de 20 à 59 ans, résidant en France métropolitaine et vivant hors institutions :
• 10 % ont été en situation de violence conjugale ;
• 1.2 % des femmes ont été victimes de viol, ce qui ramené à la population de femmes correspondante ne fait pas moins de 48 000 femmes ;
• 8.5 % des femmes se déclarent victimes d’insultes et menaces au travail,
• 4 % de harcèlement moral (qui signe la multiplicité et l’intensité des faits).
Vous admettrez que a méthode est plutôt étrange ! un petit peu comme si je faisais des statistiques dans ma clientèle donnant par exemple :
- Sur 30 patients hebdomadaires, 6 présentent une personnalité pathologique (hystérie, narcissisme, paranoïa, etc.) soit 20% de ma clientèle.
- Donc, si l’on admet qu’il y a 60 millions d’habitants en France, il nous suffit de faire une extrapolation aussi hâtive que hasardeuse, pour définir qu’il y aurait donc 12 000 000 de personnalités pathologiques dans notre beau pays.
- Pourtant, la plupart des études épidémiologiques admettent que seuls 1% à 3% des français seraient atteints de troubles du comportement tels que l’on puisse parler de personnalité pathologique.
- Comme je suis un psy qui veut éclairer le monde, je serai alors obligé de vous dire qu’on vous ment et qu’on vous cache tout ! Aaarghh ! Je hurlerai que les statistiques officielles mentent et diminuent fortement la réalité ! J’accuserai ensuite les labos pharmaceutiques, parce que ce sont, comme nous les hommes, ontologiquement des salauds (imaginez-vous qu’ils osent vendre leurs médicaments au lieu de les donner ?!).
Voilà, comment à base de statistiques truquées, de bonne ou de mauvaise foi, je ne saurai le dire, on transforme un drame vécu par de vraies victimes, en projet politique aboutissant à judiciariser encore plus la société et à enfermer encore et toujours les hommes dans le rôle de salauds !
Ce genre de statistiques hasardeuses finira par produire l’effet inverse que celui que l’on recherche. Sitôt passé le battage médiatique, un jour viendra, ou ce genre d’associations haineuses perdra absolument tout crédit. Sitôt qu’on les entendra parler - jusqu’au jour finalement ou aucun journaliste ne se donnera la peine d’aller les écouter - tout le monde se dira comme à une époque heureusement révolue : « Encore des délires de pétasses hystériques ! ».
Ce jour-là, pour les vraies victimes de viol, sera une date funeste parce qu’on ne les écoutera plus, elles non plus. On reviendra à des époques anciennes où les victimes se taisaient vraiment par peur de ne pas être crues et moquées. Cela s’appelle « crier au loup ». Et justement, pour finir sur une note culturelle, souvenons nous de la fable d’Esope suivante :
L’enfant qui criait au loup
A trop crier au loup, on en voit le museau. Un enfant bâillait comme un pou tout en gardant son troupeau. Il décide de s’amuser.« Au loup ! » hurle-t-il, « Au loup ! ». « Vos troupeaux sont en grand danger ! ». Et il crie si fort qu’il s’enroue. Pour chasser l’animal maudit, les villageois courent, ventre à terre, trouvent les moutons bien en vie, le loup, ma foi, imaginaire.
Le lendemain, même refrain, l’enfant crie encore au loup. Les villageois y croient encore et accourent.
Troisième jour, un vrai loup vint et c’était un fin carnivore.
« Au loup ! » cria l’enfant. Un loup attaque vos troupeaux ! »
« Ah! Le petit impertinent ! Mais il nous prend pour des nigauds ! » s’écrièrent les villageois qui cette fois, lassés, ne prirent même pas la peine de se déplacer !
Le loup, ce jour-là, fit un festin de roi.
« Fables » d’Esope
7 Comments:
J'ai l'impression qu'un des gros problèmes des cas de viol est qu'on peut accuser sans preuve (et souvent il est impossible de fournir des preuves). C'est la parole de l'un contre celle de l'autre. Et il est beaucoup plus facile de se faire passer pour une (fausse) victime que de prouver son innocence quand on est accusé à tort.
Eh oui, c'est tout le problème. C'est pour cela que durant longtemps, on fut suspicieux notamment lors de plaintes déposées longtemps après les faits ! Quel moyen de preuves utiliser ???
Dans ce cas-là, il est plus facile d'être victime.
Je n'ai pas tout lu, mais je tiens juste à dire que lorsqu'une personne est victime d'un viol par l'un des membres de sa famille, il n'est pas facile d'en parler. D'où le fait que toutes les femmes ne portent pas plainte. Il y a aussi le problème du petit ami, ou bien de la drogue du viol.
Je cherche des associations d'aide aux personnes victimes d'accusation à tort d'agression sexuelle. Répondez-moi dès que possible : didierlohnerlopejska@yahoo.fr
Merci.
je cherche moi aussi des associations qui pourraient aider quelqu un accusé a tort de viol.c est tres urgent.voici mon mail:melan715@hotmail.
je suis assez d accord avec vous a force de crier au loup viendra un jour ou personne croira une femme reellement violé.C est scandaleux
Bonsoir,je sais d'une source sure que la femme d'un ex collegue de travail (agée de 45 ans ce jour) va porter plainte contre moi relatant des faits en 2003!J'ai effectivement couché avec elle durant 3 nuits de suite en l'absence de son mari,une fois sur le lieu de travail et 2 fois au F1.
Fin 2004 le mari a quitté le travail(plus possible de s'entendre entre lui et moi)et il a quitté sa femme en 2005 ou 2006.
Il en a connu une autre.Sa femme a été prise en alcoolémie sans permis mi-2008 et est suivie en SME.C'est là qu'elle a décidé de porter plainte!!Connaissant son mari la plainte aurait été déposé le jour même!!Pour expliquer ces nuits d'absences elle disa à sa famille qu'elle était chez une copine mais sans le savoir sa famille avait déja téléphoné à cette copine qui nie l'avoir vu!
Elle a donc avoué à sa famille avoir couché avec moi...Pourquoi porter plainte dans ce cas 5 ans plus tard??Comment prouver mon innocence?car je pourrai dire que je n'est jamais couché avec elle mais je ne veux que relater la vérité!si 3 nuits de suite c'est du viol je ne connais pas bcp de femme violée qui en reveulent!!!
Si je retrouve les relevés de compte de carte bleu pour ces deux nuits de F1 cela m'aiderait ?Je pense qu'elle n'a plus rien à perdre à ce jour et que si je suis reconnu pour les faits de viols elle deviendra victime et réhabilité aux yeux de tous!
Je vous remercie pour vos commentaires à venir et vos conseils. Bon noel à tous...
Je suis très très très choquée par vos propos.
Je peux être à la limite d'accord avec l'idée que l'extremisme (féministe ou autre) puisse rendre compte d'une espèce de "complot" contre l'espèce masculine (qui, elle, n'a ajmais profité des femmes).
Certes.
Moi je suis pour l'égalité des sexes. J'intègre mon conjoint dans ma contraception, il en est "presque tout aussi responsable" que moi, c'est à dire qu'il est au courant et m'aide à ne pas oublier ma pillule, et que l'on sera 2 à vouloir de l'enfant que nous créerons tous les deux, et dont je ne chercherais jamais à le priver des droits de son autorité parentale sous prétexte que "je suis la mère", donc "j'ai l'instinct".
Oui, oui, le sexisme a la vie dure, chez les deux sexes, dans différents niveaux.
PAR CONTRE je ne peux pas vous laisser dire des horreurs pareilles sur ces pauv' hommes accusés à tort. Cela peut être le cas en privé, et ils ont tout à fait le droit de se défendre en faisant appel au délit de diffamation (oui, oui, eux aussi peuvent se défendre).
Mais je rappelle que dans la justice française LE DOUTE PROFITE A L'ACCUSE, toujours.
Pour ma part je songe à porter plainte, et si le procureur estime qu'il n'y a pas asse d'éléments à charge pour constituer une instruction, bien sûr, il me faudra le digérer, mais je préfère ça qu'un innocent en prison dans l'absolu.
Mais oui, mon bon Monsieur, je vous le dis avec toute la condescendance d'une femme de 29 ans qui a déjà subi 2 viols dans sa courte vie, et qui n'a encore jamais crié au loup parce qu'on lui a inculqué à ne pas le faire : IL FAUT BRISER LA LOI DU SILENCE. S'il vous plait.
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