Euthanasie : moi aussi !
Mon titre est ambigu. Non, je ne demande pas l'euthanasie même si j'ai perdu aux élections. Ca va je survivrai. Je voulais dire que moi aussi, je commets mon texte sur ce sujet grave.
La justice a été saisie mercredi d'une "demande exceptionnelle mais néanmoins légitime" d'euthanasie de la part d'une mère de famille de 52 ans, Chantal Sébire, défigurée par une maladie orpheline, incurable et évolutive, a-t-on appris auprès de son avocat, Me Gilles Antonowicz.
"Nous demandons simplement au magistrat de l'autoriser à s'endormir dans l'affection des siens" et de faire ainsi preuve "d'humanité", a conclu Me Antonowicz. Chantal Sébire avait confié vendredi son dossier à l'Association pour le Droit de mourir dans la dignité (ADMD), dix jours après un appel au secours devant les medias pour "qu'on l'accompagne dignement dans la mort". Cette ancienne professeur des écoles de 52 ans, domiciliée à Plombières-les-Dijon (Côte-d'Or) et mère de trois enfants, a appris en 2002 qu'elle était atteinte d'une "Esthesioneuroblastome", une tumeur évolutive des sinus et de la cavité nasale.
François Fillon a réagi jeudi matin sur RTL à la supplique de Mme Sébire : "C'est une demande qui provoque beaucoup d'émotion. On est aux limites de l'intime. Un texte a été voté il y a deux ans, le juge doit maintenant interpréter ce texte", a déclaré le Premier ministre. Sur France Inter, la ministre de la justice Rachida Dati s'est elle opposée à une loi qui légaliserait l'euthanasie active en France. "Cette dame demande à la justice de pouvoir exonérer de la responsabilité pénale le médecin pour lui administrer une substance létale, pour l'aider à mourir", a dit la ministre. "Ce n'est pas notre droit. Nous avons fondé notre droit, et aussi bien la Convention européenne des droits de l'homme, sur le droit à la vie", a-t-elle jugée.
Bien qu'un jeune homme trouve son texte bourré de poncifs, je suis d'accord avec Laure Allibert. Il ne s'agit pas de légaliser le meurtre mais d'admettre qu'un individu sain d'esprit doit pouvoir demander lui-même à ce que l'on mette à sa disposition les moyens lui permettant d'en finir lorsqu'il est confronté à la souffrance provoquée par une maladie jugée incurable.
Il ne s'agit pas de légaliser le meurtre et encore moins de justifier le recours à des moyens expéditifs pour se débarrasser de ceux dont on ne veut plus. Il s'agit simplement de permettre à ceux qui savent l'issue inéluctable d'échapper à la souffrance intolérable et à la déchéance programmée. Cette femme semble condamnée et elle pourrait donc bénéficier d'une telle mesure.
Dans les faits, je ne comprends pas ce que demande cette femme. Depuis une loi dite Leonetti, du nom du député UMp et d'ailleurs cardiologue, une personne dans la situation de Chantal Sebire peut bénéficier de mesures destinées à accompagner sa fin de vie. Cedernier explique d'ailleurs que la demande d'euthanasie de Chantal Sébire, une mère de famille de 52 ans défigurée par une maladie orpheline, "n'entre pas dans le cadre de la loi" de 2005 sur la fin de vie. C'est une demande de suicide assistée, pas une demande d'accompagnement de fin de vie", a déclaré à l'AFP le député des Alpes-Maritimes.
La loi sur la fin de vie du 22 avril 2005 tend à instaurer un droit au "laisser mourir", sans permettre aux médecins de pratiquer une euthanasie active. "La loi autorise l'utilisation de sédatifs, de calmants et d'antalgiques à des doses nécessaires pour supprimer toutes douleurs physiques ou morales, même si l'utilisation de ces médicaments abrègent la vie. Or Mme Sébire refuse les sédatifs. Elle demande qu'on lui donne la mort", souligne M. Léonetti.
Le député estime que cette demande "confine à une impasse, car en réalité elle rompt le dialogue entre le corps médical et le malade". "Le débat sur le suicide assisté est beaucoup plus complexe et large. Le suicide est une liberté, pas un droit revendiqué", ajoute-t-il. Je comprends et adhère totalement à ce point de vue. Personnellement, je suis oppose à la légalisation du suicide assisté.
Je trouve que la demande de cette femme est aberrante et illustre bien le lien pernicieux liant les gens à l'état. Elle souffre, je le comprends et ne la blâme de vouloir en finir. L'état lui propose alors une solution consistant à lui administrer des produits lui permettant de ne plus souffrir quitte à ce que sa vie soit abrégée.
C'est une solution que je trouve admirablement bien négociée, dans la mesure où elle prend en compte aussi bien le caractère "sacré" de la vie, le rôle du médecin qui est de sauver et non de tuer, mais tient compte aussi de la finitude de nos existences et des limites qu'un être humain peut opposer à la souffrance.
Je comprends que cette dame refuse cette solution et qu'elle souhaite non pas être plongée dans un coma artificiel qui la "tuerait" en quinze jours mais mourir dans des délais brefs. D'après ce que j'ai pu comprendre, cette dame souhaiterait théatraliser son décès, comme le fit Socrate voici deux mille ans. Elle passerait une dernière soirée entourée de ses proches, puis irait s'allonger sur son lit et avalerait une dose de produits de toxiques la tuant immédiatement.
Pourquoi pas, chacun peut souhaiter la mort qu'il désire. Ce que je ne compreds pas, c'est la raison qui la pousse à faire endosser à la collectivité, une décision privée qui ne regarde qu'elle. Pourquoi tient-elle tant à rendre responsable de sa mort un médecin ayant choisit sa profession afin de sauver des vies ?
Les plus sagaces d'entre vous ayant lu que cette dame était "professeure des écoles" estimeront qu'en tant que membre de l'éducation nationale, il s'agit sans doute d'une collectiviste forcenée qui souhaite voir cette sacro-sainte collectivité convoquée à tous moments et même dans les actes les plus intimes de l'existence.
Pour ma part, et sans forcément totalement adhérer à ce que dit Laure dans son billet, je pense que de la même manière que l'état ne peut pas forcer un individu à se reproduire, malgré les charges qu'il fait peser sur les célibataires et les couples sans enfants, il n'a pas non plus de droits à vous aider à mourir. Naissance et mort sont des actes qui échapperont toujours à la toute-puissance de l'état. La Suisse à légiféré ? Grand bien lui fasse, je ne suis pas suisse et j'en suis ravi.
Il reste que j'ai de la compassion pour cette femme même si je ne saisis cependant pas où elle veut en venir.Est-elle instrumentalisée par quelques vieux franc-maçons voyant dans le suicide assisté le triomphe absolu de l'humanité et la preuve éclatante de la mort d e Dieu ? On peut se poser la question dans la mesure où l'association "Mourir dans la dignité" est à ses côtés. Et pourtant, c'est bien ce que propose l'état, en lui expliquant que si ses souffrances étaient trop importantes, elle pourrait intégrer une unité de soins palliatifs. Le désaccord porte sur le délai.
Voici deux ans, un de mes patients atteint d'un cancer incurable a été admis dans une unité de ce type. C'est un type pour qui j'avais beaucoup d'affection, une sorte de dandy qui mit autant d'élégance à vivre qu'à mourir, un de ces types réfractaires à toute thérapie mais qui venait me consulter simplement parce que je n'essayais même pas de le convaincre de quoi que ce soit. J'avais écrit un de mes premiers articles sur ce sujet.
Je suis passé trois fois lui rendre visite, lui apportant à sa demande, bières et cigarettes, étant entendu que ce n'est pas quinze jours avant de mourir qu'il faut arrêter ces bons produits. Il était si faible que je devais le prendre dans mes bras pour l'emmener dans la salle prévue pour les libations. J'ouvrais alors la fenêtre et nous sortions nous asseoir sur la toiture terrasse profiter du temps clément du début d'automne.
Je passais toujours le soir car l'unité était accessible 24h/24h. J'arrivais à la fin de mes consultations et passais quelques heures en sa compagnie. Il fut très bien traité et mourut quinze jours après avoir été admis. Les deux derniers jours, la souffrance étant telle, on lui administra des doses massives d'antalgiques qui le plongèrent dans le coma. Il s'endormit au milieux des siens et pu voir un prêtre durant tout le temps qu'il resta là-bas. Le personnel soignant, volontaire, était admirable et j'ai été frappé par la dignité des lieux et de l'accompagnement offert à ces malades en fin de vie.
J'ai toujours trouvé que cette solution était la meilleure puisqu'elle offrait un compromis entre le respect de la vie et l'interdiction de tout acharnement thérapeutique inutile. Je comprends que Madame Sebire veuille prendre une autre voie. Ne vivant pas le calvaire qui est le sien, je me garderai bien de la juger. Toutefois, on ne peut que s'interroger sur cette intimité sans cesse surexposée qui fait que ce qui ressort du fait divers devienne cause nationale.
Toutefois, je ne comprends pas qu'elle veuille entrainer la collectivité dans son choix. En quoi, moi qui suis opposé à cette pratique, faudrait-il que je sois associé à son choix ? Mourir dans la dignité ce n'est pas forcément en finir vite, c'est essentiellement admettre que l'on est arrivé au terme d'une vie et accepter que celle ci se finisse sans souffrance inutile.
Si cette dame n'est pas d'accord avec ce qu'on lui offre, il ne lui est pas défendu de choisir elle-même sa propre voie. Auquel cas, il lui reste à utiliser les moyens à sa disposition pour en finir rapidement. Ce n'est pas ce qui manque. Chacun sait que même des produits apparemment anodins peuvent vous tuer en quelques heures.
Chaque année, pour des raisons qui les concernent, des individus mettent fin à leurs jours, sans demander l'aide de l'état. Socrate n'a sans doute même pas demandé aux autorités athéniennes qui l'avaient condamné de lui fournir sa cigüe, pas plus que Sénèque n'exigea de Rome qu'on lui fournisse la lame avec laquelle il s'ouvrit les veines.
La justice a été saisie mercredi d'une "demande exceptionnelle mais néanmoins légitime" d'euthanasie de la part d'une mère de famille de 52 ans, Chantal Sébire, défigurée par une maladie orpheline, incurable et évolutive, a-t-on appris auprès de son avocat, Me Gilles Antonowicz.
"Nous demandons simplement au magistrat de l'autoriser à s'endormir dans l'affection des siens" et de faire ainsi preuve "d'humanité", a conclu Me Antonowicz. Chantal Sébire avait confié vendredi son dossier à l'Association pour le Droit de mourir dans la dignité (ADMD), dix jours après un appel au secours devant les medias pour "qu'on l'accompagne dignement dans la mort". Cette ancienne professeur des écoles de 52 ans, domiciliée à Plombières-les-Dijon (Côte-d'Or) et mère de trois enfants, a appris en 2002 qu'elle était atteinte d'une "Esthesioneuroblastome", une tumeur évolutive des sinus et de la cavité nasale.
François Fillon a réagi jeudi matin sur RTL à la supplique de Mme Sébire : "C'est une demande qui provoque beaucoup d'émotion. On est aux limites de l'intime. Un texte a été voté il y a deux ans, le juge doit maintenant interpréter ce texte", a déclaré le Premier ministre. Sur France Inter, la ministre de la justice Rachida Dati s'est elle opposée à une loi qui légaliserait l'euthanasie active en France. "Cette dame demande à la justice de pouvoir exonérer de la responsabilité pénale le médecin pour lui administrer une substance létale, pour l'aider à mourir", a dit la ministre. "Ce n'est pas notre droit. Nous avons fondé notre droit, et aussi bien la Convention européenne des droits de l'homme, sur le droit à la vie", a-t-elle jugée.
Bien qu'un jeune homme trouve son texte bourré de poncifs, je suis d'accord avec Laure Allibert. Il ne s'agit pas de légaliser le meurtre mais d'admettre qu'un individu sain d'esprit doit pouvoir demander lui-même à ce que l'on mette à sa disposition les moyens lui permettant d'en finir lorsqu'il est confronté à la souffrance provoquée par une maladie jugée incurable.
Il ne s'agit pas de légaliser le meurtre et encore moins de justifier le recours à des moyens expéditifs pour se débarrasser de ceux dont on ne veut plus. Il s'agit simplement de permettre à ceux qui savent l'issue inéluctable d'échapper à la souffrance intolérable et à la déchéance programmée. Cette femme semble condamnée et elle pourrait donc bénéficier d'une telle mesure.
Dans les faits, je ne comprends pas ce que demande cette femme. Depuis une loi dite Leonetti, du nom du député UMp et d'ailleurs cardiologue, une personne dans la situation de Chantal Sebire peut bénéficier de mesures destinées à accompagner sa fin de vie. Cedernier explique d'ailleurs que la demande d'euthanasie de Chantal Sébire, une mère de famille de 52 ans défigurée par une maladie orpheline, "n'entre pas dans le cadre de la loi" de 2005 sur la fin de vie. C'est une demande de suicide assistée, pas une demande d'accompagnement de fin de vie", a déclaré à l'AFP le député des Alpes-Maritimes.
La loi sur la fin de vie du 22 avril 2005 tend à instaurer un droit au "laisser mourir", sans permettre aux médecins de pratiquer une euthanasie active. "La loi autorise l'utilisation de sédatifs, de calmants et d'antalgiques à des doses nécessaires pour supprimer toutes douleurs physiques ou morales, même si l'utilisation de ces médicaments abrègent la vie. Or Mme Sébire refuse les sédatifs. Elle demande qu'on lui donne la mort", souligne M. Léonetti.
Le député estime que cette demande "confine à une impasse, car en réalité elle rompt le dialogue entre le corps médical et le malade". "Le débat sur le suicide assisté est beaucoup plus complexe et large. Le suicide est une liberté, pas un droit revendiqué", ajoute-t-il. Je comprends et adhère totalement à ce point de vue. Personnellement, je suis oppose à la légalisation du suicide assisté.
Je trouve que la demande de cette femme est aberrante et illustre bien le lien pernicieux liant les gens à l'état. Elle souffre, je le comprends et ne la blâme de vouloir en finir. L'état lui propose alors une solution consistant à lui administrer des produits lui permettant de ne plus souffrir quitte à ce que sa vie soit abrégée.
C'est une solution que je trouve admirablement bien négociée, dans la mesure où elle prend en compte aussi bien le caractère "sacré" de la vie, le rôle du médecin qui est de sauver et non de tuer, mais tient compte aussi de la finitude de nos existences et des limites qu'un être humain peut opposer à la souffrance.
Je comprends que cette dame refuse cette solution et qu'elle souhaite non pas être plongée dans un coma artificiel qui la "tuerait" en quinze jours mais mourir dans des délais brefs. D'après ce que j'ai pu comprendre, cette dame souhaiterait théatraliser son décès, comme le fit Socrate voici deux mille ans. Elle passerait une dernière soirée entourée de ses proches, puis irait s'allonger sur son lit et avalerait une dose de produits de toxiques la tuant immédiatement.
Pourquoi pas, chacun peut souhaiter la mort qu'il désire. Ce que je ne compreds pas, c'est la raison qui la pousse à faire endosser à la collectivité, une décision privée qui ne regarde qu'elle. Pourquoi tient-elle tant à rendre responsable de sa mort
Les plus sagaces d'entre vous ayant lu que cette dame était "professeure des écoles" estimeront qu'en tant que membre de l'éducation nationale, il s'agit sans doute d'une collectiviste forcenée qui souhaite voir cette sacro-sainte collectivité convoquée à tous moments et même dans les actes les plus intimes de l'existence.
Pour ma part, et sans forcément totalement adhérer à ce que dit Laure dans son billet, je pense que de la même manière que l'état ne peut pas forcer un individu à se reproduire, malgré les charges qu'il fait peser sur les célibataires et les couples sans enfants, il n'a pas non plus de droits à vous aider à mourir. Naissance et mort sont des actes qui échapperont toujours à la toute-puissance de l'état. La Suisse à légiféré ? Grand bien lui fasse, je ne suis pas suisse et j'en suis ravi.
Il reste que j'ai de la compassion pour cette femme même si je ne saisis cependant pas où elle veut en venir.Est-elle instrumentalisée par quelques vieux franc-maçons voyant dans le suicide assisté le triomphe absolu de l'humanité et la preuve éclatante de la mort d
Voici deux ans, un de mes patients atteint d'un cancer incurable a été admis dans une unité de ce type. C'est un type pour qui j'avais beaucoup d'affection, une sorte de dandy qui mit autant d'élégance à vivre qu'à mourir, un de ces types réfractaires à toute thérapie mais qui venait me consulter simplement parce que je n'essayais même pas de le convaincre de quoi que ce soit. J'avais écrit un de mes premiers articles sur ce sujet.
Je suis passé trois fois lui rendre visite, lui apportant à sa demande, bières et cigarettes, étant entendu que ce n'est pas quinze jours avant de mourir qu'il faut arrêter ces bons produits. Il était si faible que je devais le prendre dans mes bras pour l'emmener dans la salle prévue pour les libations. J'ouvrais alors la fenêtre et nous sortions nous asseoir sur la toiture terrasse profiter du temps clément du début d'automne.
Je passais toujours le soir car l'unité était accessible 24h/24h. J'arrivais à la fin de mes consultations et passais quelques heures en sa compagnie. Il fut très bien traité et mourut quinze jours après avoir été admis. Les deux derniers jours, la souffrance étant telle, on lui administra des doses massives d'antalgiques qui le plongèrent dans le coma. Il s'endormit au milieux des siens et pu voir un prêtre durant tout le temps qu'il resta là-bas. Le personnel soignant, volontaire, était admirable et j'ai été frappé par la dignité des lieux et de l'accompagnement offert à ces malades en fin de vie.
J'ai toujours trouvé que cette solution était la meilleure puisqu'elle offrait un compromis entre le respect de la vie et l'interdiction de tout acharnement thérapeutique inutile. Je comprends que Madame Sebire veuille prendre une autre voie. Ne vivant pas le calvaire qui est le sien, je me garderai bien de la juger. Toutefois, on ne peut que s'interroger sur cette intimité sans cesse surexposée qui fait que ce qui ressort du fait divers devienne cause nationale.
Toutefois, je ne comprends pas qu'elle veuille entrainer la collectivité dans son choix. En quoi, moi qui suis opposé à cette pratique, faudrait-il que je sois associé à son choix ? Mourir dans la dignité ce n'est pas forcément en finir vite, c'est essentiellement admettre que l'on est arrivé au terme d'une vie et accepter que celle ci se finisse sans souffrance inutile.
Si cette dame n'est pas d'accord avec ce qu'on lui offre, il ne lui est pas défendu de choisir elle-même sa propre voie. Auquel cas, il lui reste à utiliser les moyens à sa disposition pour en finir rapidement. Ce n'est pas ce qui manque. Chacun sait que même des produits apparemment anodins peuvent vous tuer en quelques heures.
Chaque année, pour des raisons qui les concernent, des individus mettent fin à leurs jours, sans demander l'aide de l'état. Socrate
1 Comments:
Totalement d'accord avec vous. Je vois que vous avez repris mes exemples de Socrate et Sénèque...
Pour ce qui est de la Suisse, justement il n'y a pas de loi (à ma connaissance). Si l'euthanasie y est interdite, l'assistance au suicide n'y est pas réprimée, alors qu'elle l'est dans les autres pays.
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