Pédophilie !
La pédophilie est le tabou absolu. Rien que l'évocation de cet acte doit nous faire dresser les cheveux sur la tête. Peu importe que cette pratique monstrueuse soit rarissime, il suffit qu'on sache que cela existe pour légitimiser toutes les atteintes aux libertés publiques. On vous fliquera, on espionnera vos disques durs, vos connections internet, mais ce n'est pas grave, c'est simplement pour éradiquer cette monstrueuse pratique.
Voici quelques jours, je lis dans le Parisien qu'un homme, qualifié de pédophile, aurait séquestré et violé une jeune fille de quatorze ans. Je lis l'article qui est suivi d'exemples de cas récents de "pédophilie". Dans chacune des affaires, bien sûr internet est mis en cause. Toutefois, une chose m'étonne.
Il s'agit de la qualification immédiate en "pédophilie" d'un acte qui semble plutôt relever du détournement de mineur. Rappelons que la pédophilie est, en psychiatrie, l'attirance sexuelle d'un adulte envers les personnes impubères.
Rappelons aussi qu'est dite impubère, toute personne n'ayant pas atteint la puberté. La puberté se définissant elle-même comme une étape du développement humain marquant la transition de l'enfance à l'adolescence (fertilité). Elle se signale notamment par une croissance rapide et le développement des caractères sexuels primaires et secondaires, avec de notables changements comportementaux. Le mot provient du latin pubertas, issu d'une famille de mots qui comporte à la fois des mots relatifs au passage à l'âge adulte et à la pousse du poil (cf. pubescent).
On peut, s'agissant d'une jeune fille de quatorze ans, parler d'immaturité psycho-affective, mais sans doute pas parler de personne impubère. En bref, on peut avoir quatorze ans, un cerveau de poule mais le feu au cul parce que les hormones travaillent. D'ailleurs, à la puberté, les jeunes demoiselles n'attendent pas l'autorisation de papa, de maman ou des pouvoirs publics pour "fantasmer" sur les acteurs ou chanteurs.
Lorsque j'étais adolescent, j'ai bien connu ce genre de petites nanas, parfaitement formées, très sûres de leurs atout, qui nous ignoraient, nous et nos mobs, pour se tourner vers des types plus âgés détenteurs du permis de conduire et de la voiture qui allait avec. Généralement, ces demoiselles avaient ce type de relations à l'insu de leurs parents, et savaient parfaitement ce qu'elles faisaient. Il va sans dire, que nous autre, pauvre branlotins, détestions ces types plus âgés qui nous ôtaient ainsi les proies.
Mais à l'époque, personne n'en faisait une maladie. C'était des choses qui arrivaient. Peut-être en ces temps anciens se souvenait-on que l'histoire de notre beau pays regorgaient de demoiselles mariées très jeunes.
Ainsi, le 23 mais 1200, âgée de seulement douze ans, Blanche de Castille épousa Louis VIII alors âgé de treize ans. Le 16 décembre 1490, Anne de Bretagne alors âgée de 13 ans épouse Maximilien Ier de Habsbourg âgé de 31 ans, avant d'épouser Charles VIII un an plus tard au château de Langeais. Plus prés de nous, le 16 mai 1770, c'est la célèbre Marie-Antoinette de Habsbourg-Lorraine, qui épousa Louis XVI à l'âge de seulement quatorze ans.
Je me souviens aussi, d'avoir reçu à la demande d'une mère, pour une évaluation, sa fille seulement âgée de quatorze ans. La belle savait déjà parfaitement séduire et aurait pu en remontrer à des femmes nettement plus âgées qu'elle. C'est d'ailleurs ce qui faisait très peur à la mère : avoir chez elle une fille qu'elle n'avait pas vu grandir et qui savait manipuler les hommes comme ne le sauront jamais certaines femmes d'âge mûr.
D'autres jeunes filles, bien qu'encore très jeunes, peuvent aussi avoir un désir de maternité qui ne s'explique pas psychologiquement. Dès lors, elles seront attirées par des hommes plus mûrs et aptes à les satisfaire. Encore une fois, la loi aura du mal à réglementer les hormones de ces jeunes filles.
Dans toutes ces histoires, une chose est sûre, est que nous ne sommes pas dans de la pédophilie mais simplement dans de la biologie, qui fait que les femelles nubiles sont attirées par les hommes matures.
Quant à ceux que l'on traite hâtivement de pédophile, certes ils tombent sous le coupe de la loi, pour détournement de mineur. Leur seul malheur est d'être attiré par des filles jeunes. Si leur intelligence leur permettait d'envisager les risques judiciaires de ce type de pratique, ils auraient fait comme Eddy Barclay, Johnny Hallyday ou Serge Gainsbourg et auraient attendu que la belle soit majeure.
Cette curieuse histoire relatée par la presse, nous montre en plus que la demoiselle certifie ne pas avoir subi de pression et avoir eu des relations sexuelles de plein gré. Le procureur de la république n'a d'ailleurs retenu aucune charge de violence ou de séquestration à l'égard de cet homme.
Toutefois, l'article s'obstine à traiter l'individu de pédophile, ce qu'il n'est techniquement pas. Qu'il ait un "petit grain", nul ne le dément. Mais, cessons de voir des pédophiles partout. Ils existent mais sont très rares parce que chacun concevra qu'il faut vraiment être barré pour être excité par des gamin(e)s prépubères. Or statistiquement, les gens vraiment barrés sont rares. Cette histoires me donne à penser que :
Et internet dans tout cela ? C'est une jungle qui n'est pas prête d'être réglementée à moins d'employer les moyens mis en place en Chine. Il appartient donc aux parents d'être vigilants. Sous prétexte que la montagne est dangereuse, il me semble qu'on n'a pas pris le parti d'araser les alpes pour transformer la Haute-Savoie en plaines de Beauce ? Alors, laissons internet tranquille et réservons-le à ceux qui savent en évaluer les risques.
Ainsi, l'idée de chats pour enfants et adolescents me semble totalement aberrante dans la mesure où il est impossible de contrôler les accès à ces sites. Laisser son enfant discuter sur ces médias, c'est prendre le risque que celui qu'on prenait pour le petit Kevin âgé de treize ans, soit en réalité Robert, un moustachu ventripotent quinquagénaire. Laisser son gosse naviguer sur ce genre de sites, c'est le laisser en liberté parmi les prédateurs. Il en va sans doute de même pour les blogs destinés à un très jeune public. Il ne s'agit pas de priver les enfants des progrès technologiques mais simplement d'être des parents responsables.
Suite à cette affaire, la secrétaire d'État à la Famille Nadine Morano a lancé une mise en garde. "Je n'ai de cesse de rappeler aux parents les dangers d'Internet et notamment des jeunes qui se retrouvent devant leur écran sans information, sans prévention, et donc en contact avec des pédophiles potentiels. Nous allons mener une grande campagne audiovisuelle vers la fin de l'année, avant la période de Noël, pour sensibiliser les parents aux dangers d'Internet", a-t-elle promis jeudi sur RTL.
La ministre a donc insisté sur la nécessaire responsabilisation des parents quant à l'usage que leurs enfants font d'Internet. "Il faut parler avec ses enfants, communiquer. Il y a des phénomènes d'addiction, des jeunes qui passent des heures devant leurs écrans, mais aussi de nouveaux phénomènes que nous avons constatés au niveau international, comme des jeunes qui se déshabillent devant la webcam, transmettent des photos".
Pour une fois, que je suis d'accord avec un membre du gouvernement !
Voici quelques jours, je lis dans le Parisien qu'un homme, qualifié de pédophile, aurait séquestré et violé une jeune fille de quatorze ans. Je lis l'article qui est suivi d'exemples de cas récents de "pédophilie". Dans chacune des affaires, bien sûr internet est mis en cause. Toutefois, une chose m'étonne.
Il s'agit de la qualification immédiate en "pédophilie" d'un acte qui semble plutôt relever du détournement de mineur. Rappelons que la pédophilie est, en psychiatrie, l'attirance sexuelle d'un adulte envers les personnes impubères.
Rappelons aussi qu'est dite impubère, toute personne n'ayant pas atteint la puberté. La puberté se définissant elle-même comme une étape du développement humain marquant la transition de l'enfance à l'adolescence (fertilité). Elle se signale notamment par une croissance rapide et le développement des caractères sexuels primaires et secondaires, avec de notables changements comportementaux. Le mot provient du latin pubertas, issu d'une famille de mots qui comporte à la fois des mots relatifs au passage à l'âge adulte et à la pousse du poil (cf. pubescent).
On peut, s'agissant d'une jeune fille de quatorze ans, parler d'immaturité psycho-affective, mais sans doute pas parler de personne impubère. En bref, on peut avoir quatorze ans, un cerveau de poule mais le feu au cul parce que les hormones travaillent. D'ailleurs, à la puberté, les jeunes demoiselles n'attendent pas l'autorisation de papa, de maman ou des pouvoirs publics pour "fantasmer" sur les acteurs ou chanteurs.
Lorsque j'étais adolescent, j'ai bien connu ce genre de petites nanas, parfaitement formées, très sûres de leurs atout, qui nous ignoraient, nous et nos mobs, pour se tourner vers des types plus âgés détenteurs du permis de conduire et de la voiture qui allait avec. Généralement, ces demoiselles avaient ce type de relations à l'insu de leurs parents, et savaient parfaitement ce qu'elles faisaient. Il va sans dire, que nous autre, pauvre branlotins, détestions ces types plus âgés qui nous ôtaient ainsi les proies.
Mais à l'époque, personne n'en faisait une maladie. C'était des choses qui arrivaient. Peut-être en ces temps anciens se souvenait-on que l'histoire de notre beau pays regorgaient de demoiselles mariées très jeunes.
Ainsi, le 23 mais 1200, âgée de seulement douze ans, Blanche de Castille épousa Louis VIII alors âgé de treize ans. Le 16 décembre 1490, Anne de Bretagne alors âgée de 13 ans épouse Maximilien Ier de Habsbourg âgé de 31 ans, avant d'épouser Charles VIII un an plus tard au château de Langeais. Plus prés de nous, le 16 mai 1770, c'est la célèbre Marie-Antoinette de Habsbourg-Lorraine, qui épousa Louis XVI à l'âge de seulement quatorze ans.
Je me souviens aussi, d'avoir reçu à la demande d'une mère, pour une évaluation, sa fille seulement âgée de quatorze ans. La belle savait déjà parfaitement séduire et aurait pu en remontrer à des femmes nettement plus âgées qu'elle. C'est d'ailleurs ce qui faisait très peur à la mère : avoir chez elle une fille qu'elle n'avait pas vu grandir et qui savait manipuler les hommes comme ne le sauront jamais certaines femmes d'âge mûr.
D'autres jeunes filles, bien qu'encore très jeunes, peuvent aussi avoir un désir de maternité qui ne s'explique pas psychologiquement. Dès lors, elles seront attirées par des hommes plus mûrs et aptes à les satisfaire. Encore une fois, la loi aura du mal à réglementer les hormones de ces jeunes filles.
Dans toutes ces histoires, une chose est sûre, est que nous ne sommes pas dans de la pédophilie mais simplement dans de la biologie, qui fait que les femelles nubiles sont attirées par les hommes matures.
Quant à ceux que l'on traite hâtivement de pédophile, certes ils tombent sous le coupe de la loi, pour détournement de mineur. Leur seul malheur est d'être attiré par des filles jeunes. Si leur intelligence leur permettait d'envisager les risques judiciaires de ce type de pratique, ils auraient fait comme Eddy Barclay, Johnny Hallyday ou Serge Gainsbourg et auraient attendu que la belle soit majeure.
Cette curieuse histoire relatée par la presse, nous montre en plus que la demoiselle certifie ne pas avoir subi de pression et avoir eu des relations sexuelles de plein gré. Le procureur de la république n'a d'ailleurs retenu aucune charge de violence ou de séquestration à l'égard de cet homme.
Toutefois, l'article s'obstine à traiter l'individu de pédophile, ce qu'il n'est techniquement pas. Qu'il ait un "petit grain", nul ne le dément. Mais, cessons de voir des pédophiles partout. Ils existent mais sont très rares parce que chacun concevra qu'il faut vraiment être barré pour être excité par des gamin(e)s prépubères. Or statistiquement, les gens vraiment barrés sont rares. Cette histoires me donne à penser que :
- Lorsqu'on élève un garçon, vient le jour où l'on est anxieux à l'idée qu'il vous demande de lui acheter un scooter, sachant qu'il ira faire le con avec ses petits amis, malgré toutes les promesses de prudences qu'il aurait faites.
- Lorsqu'on élève une fille, on s'alarme le jour où elle commence à se maquiller et à s'habiller en petite femme parce que l'on sait que quelque chose a changé et qu'il faudra redoubler d'attention pour qu'elle ne revienne pas avec un polichinelle dans le tiroir.
Et internet dans tout cela ? C'est une jungle qui n'est pas prête d'être réglementée à moins d'employer les moyens mis en place en Chine. Il appartient donc aux parents d'être vigilants. Sous prétexte que la montagne est dangereuse, il me semble qu'on n'a pas pris le parti d'araser les alpes pour transformer la Haute-Savoie en plaines de Beauce ? Alors, laissons internet tranquille et réservons-le à ceux qui savent en évaluer les risques.
Ainsi, l'idée de chats pour enfants et adolescents me semble totalement aberrante dans la mesure où il est impossible de contrôler les accès à ces sites. Laisser son enfant discuter sur ces médias, c'est prendre le risque que celui qu'on prenait pour le petit Kevin âgé de treize ans, soit en réalité Robert, un moustachu ventripotent quinquagénaire. Laisser son gosse naviguer sur ce genre de sites, c'est le laisser en liberté parmi les prédateurs. Il en va sans doute de même pour les blogs destinés à un très jeune public. Il ne s'agit pas de priver les enfants des progrès technologiques mais simplement d'être des parents responsables.
Suite à cette affaire, la secrétaire d'État à la Famille Nadine Morano a lancé une mise en garde. "Je n'ai de cesse de rappeler aux parents les dangers d'Internet et notamment des jeunes qui se retrouvent devant leur écran sans information, sans prévention, et donc en contact avec des pédophiles potentiels. Nous allons mener une grande campagne audiovisuelle vers la fin de l'année, avant la période de Noël, pour sensibiliser les parents aux dangers d'Internet", a-t-elle promis jeudi sur RTL.
La ministre a donc insisté sur la nécessaire responsabilisation des parents quant à l'usage que leurs enfants font d'Internet. "Il faut parler avec ses enfants, communiquer. Il y a des phénomènes d'addiction, des jeunes qui passent des heures devant leurs écrans, mais aussi de nouveaux phénomènes que nous avons constatés au niveau international, comme des jeunes qui se déshabillent devant la webcam, transmettent des photos".
Pour une fois, que je suis d'accord avec un membre du gouvernement !
7 Comments:
Il y a beaucoup de vrai dans ce que vous écrivez mais il manque énormément.
1-la "pédophilie" est une de ces notions " attrape-tout qui n' attrape quasiment rien du tout, sauf l'argent des con-tribuables, et les libertés de tous. Elle fournit énormément de travail inutile aux juges, vendre des kilomètres d’âneries aux médias, tout en faisant gaspiller beaucoup de salive aux ignorants.
2-vous oubliez au moins 50% du phénomène: la "pédophilie" vers les jeunes garçons, et l'attirance vers les ados mâles des hommes et des femmes mûrs.
3-vous oubliez la pédophilie intra-mineurs (pubères ou non) qui est un phénomène en explosion à croissance exponentielle. Les relations sexuelles entre ados et pré-ados, homosexuelles ou non, crèvent tous les plafonds connus. Jamais dans l’histoire de l’humanité les enfants ne se sont autant tripotés entre eux. Ceci est une conséquence directe :
A - de ce qu’ils voient sur internet (ils savent très bien trouver les sites que vous ne connaissez sans doute pas). Ces photos et vidéos ont un effet décuplé sur les jeunes hormones, surtout si d’autres enfants se mettent eux-mêmes en scène, sans aucune contrainte, avec exhibitionnisme complet, seuls ou en groupe.
B – de l’impunité parfaite dont jouissent les enfants tant au plan légal qu’au plan familial (laisser-aller des parents qui démissionnent, ignorance des parents sur les fréquentations dangereuses de leur progéniture (lesquelles sont en fait d’autres enfants qui viennent les « violer » psychologiquement ou physiquement).
C – de la frustration énorme de certains enfants « chauds » qui autrefois se défoulaient avec des adultes (aujourd’hui claquemurés et terrorisés par les conséquences pénales ridiculement sévères des actes dits à tort « pédophiles ») et aujourd’hui doivent se tourner vers leurs pairs, soudain très disponibles et ultra-accessibles.
Il n’est certainement pas exagéré de dire que la pédophilie et l’adophilie étaient des phénomènes marginaux et assez innocents, contre l’extension desquels les parents étaient les plus efficaces remparts et qui laissaient parfois de beaux souvenirs émus à tout le monde. Depuis que la guerre à été juridiquement déclarée à ces phénomènes par des autorités cherchant à étendre leur rôle et à justifier une présence trop en recul sur d’autres fronts, la pédophilie et l’adophilie intra-mineurs bat tous les records.
4- Les enfants sont conditionnés dès la maternelle et voient des prédateurs sexuels partout. Il est devenu rigoureusement impossible à un adulte d’engager une conversation de pure courtoisie avec un être humain ayant entre 3 et 17 ans, de quelque sexe que ce soit, sans passer pour un « pédophile » potentiel. Les métiers de professeur, d’entraineur sportif, de porteur de bonne parole religieuse, de surveillant de baignade etc... peuvent devenir à très haut-risque. La parade pour leurs titulaires, comme toujours face à un totalitarisme, est de jouer la carte de la lâcheté et de pratiquer la collaboration zélée en se faisant les gardiens de l’intégrité des jeunes (pendant que ceux-ci partouzent ensemble). Les cassures inter-générations se creusent et les incompréhensions et rejets mutuels se radicalisent.
5- Les lobbys homosexuels grassement financés par le con-tribuable poussent leurs pions toujours plus loin, jouant sur l’arrivée massive chaque année dans leurs rangs de post-ados de 18 ans complètement détraqués par une jeunesse de permissivité "pédophile" débridée.
Luc SEMBOUR
cleanmaxi-lucsembour1@yahoo.com
Fichtre Ls, vous balancez sacrément. J'ai publié votre commentaire car je ne censure jamais. Toutefois, permettez moi de le relire par la suite.
Un pédophile rôde en Lotus. Pour arriver à ses fins, il est prêt à fracasser son bolide à chaque virage. Je vous aurai prévenu...
Ah il me semble le connaitre. Planque ta fille Manu !!! Enfin, rassure toi, mon filleul a l'œil sur elle.
Je vous merde.
Les lois se durcissent, on n'a plus le droit de diffuser une photo d'enfant dans le journal local, relatant les activités associatives, sans avoir l'autorisation parentale.
Je viens d'en faire l'expérience, en tant que responsable, j'ai dû demander l'autorisation aux parents pour diffuser une photo d'une gamine qui joue du piano afin de pouvoir la diffuser dans le bulletin municipal. Méfiance, méfiance, et tout cela à cause des pédophiles !
LS, même si votre commentaire est parfois pertinent, la partie C du paragraphe 3 pue la justification de l'inceste pédophile intra-familial ! Pour éviter la sexualité des très jeunes entre eux ? Il en résultera "de beaux souvenirs émus" ou des TRAUMATISMES TRES GRAVES ?
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