Boxe !
J'ai toujours adoré la boxe, tout en ne sachant pas très bien ce que j'aurais donné sur un ring. A vrai dire, je ne suis pas très agressif et taper un mec qui ne m'a rien fait juste pour une coupe me semble bizarre.
Je fais partie de l'espèce des gros ruminants, qui passent leur temps à bouffer, dormir et contempler la bêtise du monde d'un œil morne. J'aime bien les buffles à cause de cela. C'est gros, c'est calme et cela ne charge que quand vous les faites chier.
J'ai déjà été confronté à ce genre de situations, être dans une telle colère qu'il me faut des heures et des heures pour redescendre. C'est très rare que je me mette en colère. Je suis comme les midinettes, ce qui me fout en rage, c'est l'injustice. C'est à dire soit qu'on s'en prenne à quelqu'un ou à moi sans raison ni justification.
Depuis une semaine, il y en a deux qui m'ont bien fait chier : un confrère et un architecte. J'ai rarement envie de tuer, mais là je crois que j'aurais pu. Tiens heureusement que je n'étais pas imbibé de mirabelle du pays de Laurence, sinon je me retrouvais menotté face à un procureur.
A vrai dire, le confrère ne méritait que quelques paires de claques que je me suis donné un plaisir d'asséner mais je crois que finalement on pourra être bons potes.
L'architecte, c'est différent. Lui, je pense que je l'aurais tué avec plaisir au cours d'une réunion de copro. Alors, je me suis tu et j'ai cessé de boxer. J'étais à deux doigts de lui dire que ce n'était qu'un gros fils de pute doublé d'un escroc et que je serais ravi d'aller en discuter entre hommes dans la rue. C'est fou comme les réunions de copropriété peuvent mal tourner parfois.
Je déteste les personnalités narcissiques. Les autres, paranos, hystériques, sociopathes, etc., je m'en fous, j'en fais mon affaire et j'arrive à gérer en bon psy que je suis. Mais les narcissiques, ces grosses outres pleines de vent, je les hais. Je déteste leur style comportemental, cette manière de déformer les faits, de vous prendre de haut en pratiquant la communication asymétrique, de vous instrumentaliser.
En plus, expérience clinique aidant, je sais qu'à moins de leur savater la gueule, ils ne changent pas. Quand un narcissique vous met une claque, il faut lui mettre une droite où vous êtes mort.
J'ai beau tout connaitre d'eux, leurs tactiques pourries, me dire que je devrais rester calme, je n'y arrive pas : je les déteste. Cet archi est un gros con, un incapable doublé d'un escroc à la petite semaine qui pratique l'entube main dans la main avec le syndic depuis qu'il a été nommé.
Je sais qu'il nous la met bien profond parce que mon cabinet est dans une copropriété de grands vieillards qui votent ce que le syndic leur dit de voter. Depuis quelques mois qu'il est là, cet archi de mes deux nous vole en pratiquant l'escroquerie, en faisant peur. Il fait passer des travaux en prétextant que l'immeuble risque de s'écrouler.
Alors moi, pour les faire chier, archi et syndic, je fais de la procédure, et je fais annuler les réunions. Et on se retrouve, eux moi autour d'une table et on se castagne. Dès que je le vois, je ne le loupe pas.
La dernière fois, c'était dans la cour de l'immeuble. J'ai vu sa sale gueule et tel une mouche attirée par un étron gluant, je me suis jeté sur lui pour le faire chier, pour le sport. Je lui ai dit que je n'avais jamais vu un chantier aussi sale et mal tenu que le sien, que c'était une honte.
Bien sûr, il m'a mal répondu parce qu'il était excédé. Je voyais briller des envies de meurtre dans ses yeux. Alors j'ai été mille fois plus arrogant que lui. Je lui ai dit "eh oh, mon grand, faut faire dégonfler votre grosse tête. Vous vous prenez peut-être pour un prix de Rome mais moi je ne vois qu'un pauvre type qui survit en faisant des ravalements". J'ai cru que là, il allait se jeter sur moi.
Je n'attendais que ça. Je l'ai regardé et lui ai dit "je suis sûr que vous avez envie de me frapper, et moi je n'attends que ça. Allez frappez moi, juste un coup. Faites moi plaisir et dans deux heures vous vous retrouvez menotté à un radiateur et en garde à vue pour coups et blessures". Il n'a rien dit et est parti. J'aurais bien continué à le faire chier mais moi aussi, j'avais envie de taper.
Là, on s'est vu à une réunion de copro. Le syndic est un voleur mais la pauvre conne qui le représentait n'était pas une proie intéressante. Avec les procédures qu'elle a au cul, de toute manière elle est cuite. Il me restait mon archi, ma grosse tête de con rien qu'à moi, mon narcissique que je déteste.
Et j'ai allumé, allumé avec plaisir. C'était stupide et vain et je savais que les copropriétaires ne me suivraient pas. C'était juste mon baroud d'honneur. Je lui en ai mis plein la tête. J'ai mis en doute ses compétences techniques et ça il a détesté il m'a dit qu'il ne me permettait pas, il m'a jeté ses titres à la face, m'a dit qu'il était DPLG. Moi, je lui ai répondu que tous les jours des médecins tuaient leurs patients mais qu'eux aussi étaient diplômés d'état.
J'ai senti qu'il était fou de rage alors comme il n'est pas con, il a voulu nous diviser, me faire passer pour un vilain procédurier et les autres étaient un peu de son avis. Il a réussi à les retourner tous contre moi en me présentant comme un vilain monsieur. Il a insulté une pauvre femme âgée qui osait lui demander des comptes en lui disant "madame payez déjà vos charges et vous pourrez parler !". Alors là, je l'ai traité de grossier personnage et de goujat.
Et puis malgré tout cela, j'ai vu les autres copropriétaires, alors qu'une bonne partie est de mon avis quand je les croise, voter pour le syndic et cet archi de merde, parce qu'ils en ont marre des procédures et veulent que tout rentre dans l'ordre. C'est un vrai syndrome de Stockholm en direct que de voir ces victimes se ranger du côté de leur bourreau. Mais moi, non, je ne me rendrai pas ! De toute manière, après je me taisais, parce que juridiquement je le tiens tellement par les couilles, qu'il n'a plus aucune chance. Je l'ai juste laissé faire le beau.
Moi, je m'en fous, j'étais le seul à voter non avec cette pauvre femme qu'il avait insultée, et je ferai encore annuler cette assemblée. Je le ferai chaque fois, rien que pour le faire chier, pour lui dire que moi, il ne m'aura jamais. Pourtant à la fin, soucieux d'apaiser atmosphère, il a proposé plein d'autres trucs, plutôt intelligent et moi, je ne pensais qu'au moyen de lui baiser la gueule.
Il veut par exemple contrôler s'il n'existe pas de fuite d'eau dans nos appartements et se propose de nous rendre visite accompagné d'un plombier dans nos appartements. J'imaginais déjà la scène. Je ferai rentrer le plombier et lui dirai de rester dehors en lui rappelant que j'ai toujours de grandes réserves sur ses compétences professionnelles et que de plus je ne reçois pas les rustres chez moi. Hmmm, quel plaisir de lui faire perdre la face devant un simple plombier ; je m'en délecte d'avance.
Je lui ai d'ailleurs dit qu'il se battait pour rien parce que l'assemblée étant convoquée illégalement, elle sera de nouveau invalidée. Mais aveuglé par sa rage, il s'en fout et moi aussi. Je ne lui paierai pas un rond d'honoraires à cette raclure. Plutôt crever !
D'ailleurs, comme je suis au moins deux fois plus orgueilleux que lui, j'aime bien l'idée d'être seul contre tous. Ça me rappelle la dernière lettre qu'un petit troufion envoya à sa mère avant de se faire buter à la bataille des Ardennes durant l'hiver 44-45. Il écrivait "nous sommes vingt pour cent de fous qui nous battons pour quatre-vingt pour cent de salauds".
Pendant que je me prenais la tête avec ce gros con, je me disais que je donnais une drôle d'image des psys. Dire que nous sommes sensés être mesurés, calmes et apaisés. Putain, ce n'est pas vraiment l'image que j'ai donné. Mais je m'en fous. De toutes manières, à de rares exceptions, près, je ne fréquente jamais de confrères.
Je me remémorais aussi Epictète en me disant que le stoïcien est un lutteur. Je ne cherche ni argent ni gloire ni rien du tout qui ne dépende pas de moi. J'ai simplement décidé que ce gros con d'architecte ne me baisera jamais la gueule. Et je ne désarmerai pas.
Putain, j'y pense encore et je m'en veux de m'être énervé. Je me repasse le combat dans ma tête. J'ai beau savoir que face à ce gros con, il faut être super technique, j'ai mal boxé. J'ai été puissant mais brouillon. Je lui ai bien latté la gueule deux ou trois fois mais j'aurais pu être meilleur. J'aurais du me rappeler qu'en boxe, il ne faut pas de la rage mais de la technique. Il aurait fallu que je tourne autour, souple et tranquille et que je lui assène de petits coups vifs et précis, des trucs qui font mal, vous savez comme Mitterand face à Chirac. Des petites phrases assassines et justes, des trucs précis. Mais je ne suis pas sûr que cela aurait marché tellement ce mec se permet tout. Putain de secondarité, j'aurais préféré ne plus y penser du tout et passer à autre chose !
Dès demain, après le fracas de la bataille, je reprends le bâton de pèlerin pour expliquer encore et encore à ces chers copropriétaires, pourquoi il faut virer ce tas de merde d'architecte.
Quel plaisir que de latter la gueule d'un narcissique ! J'ai tellement reçu les victimes de ces odieux personnages que maintenant que j'en tiens un, je ne le lâche plus.
Je fais partie de l'espèce des gros ruminants, qui passent leur temps à bouffer, dormir et contempler la bêtise du monde d'un œil morne. J'aime bien les buffles à cause de cela. C'est gros, c'est calme et cela ne charge que quand vous les faites chier.
J'ai déjà été confronté à ce genre de situations, être dans une telle colère qu'il me faut des heures et des heures pour redescendre. C'est très rare que je me mette en colère. Je suis comme les midinettes, ce qui me fout en rage, c'est l'injustice. C'est à dire soit qu'on s'en prenne à quelqu'un ou à moi sans raison ni justification.
Depuis une semaine, il y en a deux qui m'ont bien fait chier : un confrère et un architecte. J'ai rarement envie de tuer, mais là je crois que j'aurais pu. Tiens heureusement que je n'étais pas imbibé de mirabelle du pays de Laurence, sinon je me retrouvais menotté face à un procureur.
A vrai dire, le confrère ne méritait que quelques paires de claques que je me suis donné un plaisir d'asséner mais je crois que finalement on pourra être bons potes.
L'architecte, c'est différent. Lui, je pense que je l'aurais tué avec plaisir au cours d'une réunion de copro. Alors, je me suis tu et j'ai cessé de boxer. J'étais à deux doigts de lui dire que ce n'était qu'un gros fils de pute doublé d'un escroc et que je serais ravi d'aller en discuter entre hommes dans la rue. C'est fou comme les réunions de copropriété peuvent mal tourner parfois.
Je déteste les personnalités narcissiques. Les autres, paranos, hystériques, sociopathes, etc., je m'en fous, j'en fais mon affaire et j'arrive à gérer en bon psy que je suis. Mais les narcissiques, ces grosses outres pleines de vent, je les hais. Je déteste leur style comportemental, cette manière de déformer les faits, de vous prendre de haut en pratiquant la communication asymétrique, de vous instrumentaliser.
En plus, expérience clinique aidant, je sais qu'à moins de leur savater la gueule, ils ne changent pas. Quand un narcissique vous met une claque, il faut lui mettre une droite où vous êtes mort.
J'ai beau tout connaitre d'eux, leurs tactiques pourries, me dire que je devrais rester calme, je n'y arrive pas : je les déteste. Cet archi est un gros con, un incapable doublé d'un escroc à la petite semaine qui pratique l'entube main dans la main avec le syndic depuis qu'il a été nommé.
Je sais qu'il nous la met bien profond parce que mon cabinet est dans une copropriété de grands vieillards qui votent ce que le syndic leur dit de voter. Depuis quelques mois qu'il est là, cet archi de mes deux nous vole en pratiquant l'escroquerie, en faisant peur. Il fait passer des travaux en prétextant que l'immeuble risque de s'écrouler.
Alors moi, pour les faire chier, archi et syndic, je fais de la procédure, et je fais annuler les réunions. Et on se retrouve, eux moi autour d'une table et on se castagne. Dès que je le vois, je ne le loupe pas.
La dernière fois, c'était dans la cour de l'immeuble. J'ai vu sa sale gueule et tel une mouche attirée par un étron gluant, je me suis jeté sur lui pour le faire chier, pour le sport. Je lui ai dit que je n'avais jamais vu un chantier aussi sale et mal tenu que le sien, que c'était une honte.
Bien sûr, il m'a mal répondu parce qu'il était excédé. Je voyais briller des envies de meurtre dans ses yeux. Alors j'ai été mille fois plus arrogant que lui. Je lui ai dit "eh oh, mon grand, faut faire dégonfler votre grosse tête. Vous vous prenez peut-être pour un prix de Rome mais moi je ne vois qu'un pauvre type qui survit en faisant des ravalements". J'ai cru que là, il allait se jeter sur moi.
Je n'attendais que ça. Je l'ai regardé et lui ai dit "je suis sûr que vous avez envie de me frapper, et moi je n'attends que ça. Allez frappez moi, juste un coup. Faites moi plaisir et dans deux heures vous vous retrouvez menotté à un radiateur et en garde à vue pour coups et blessures". Il n'a rien dit et est parti. J'aurais bien continué à le faire chier mais moi aussi, j'avais envie de taper.
Là, on s'est vu à une réunion de copro. Le syndic est un voleur mais la pauvre conne qui le représentait n'était pas une proie intéressante. Avec les procédures qu'elle a au cul, de toute manière elle est cuite. Il me restait mon archi, ma grosse tête de con rien qu'à moi, mon narcissique que je déteste.
Et j'ai allumé, allumé avec plaisir. C'était stupide et vain et je savais que les copropriétaires ne me suivraient pas. C'était juste mon baroud d'honneur. Je lui en ai mis plein la tête. J'ai mis en doute ses compétences techniques et ça il a détesté il m'a dit qu'il ne me permettait pas, il m'a jeté ses titres à la face, m'a dit qu'il était DPLG. Moi, je lui ai répondu que tous les jours des médecins tuaient leurs patients mais qu'eux aussi étaient diplômés d'état.
J'ai senti qu'il était fou de rage alors comme il n'est pas con, il a voulu nous diviser, me faire passer pour un vilain procédurier et les autres étaient un peu de son avis. Il a réussi à les retourner tous contre moi en me présentant comme un vilain monsieur. Il a insulté une pauvre femme âgée qui osait lui demander des comptes en lui disant "madame payez déjà vos charges et vous pourrez parler !". Alors là, je l'ai traité de grossier personnage et de goujat.
Et puis malgré tout cela, j'ai vu les autres copropriétaires, alors qu'une bonne partie est de mon avis quand je les croise, voter pour le syndic et cet archi de merde, parce qu'ils en ont marre des procédures et veulent que tout rentre dans l'ordre. C'est un vrai syndrome de Stockholm en direct que de voir ces victimes se ranger du côté de leur bourreau. Mais moi, non, je ne me rendrai pas ! De toute manière, après je me taisais, parce que juridiquement je le tiens tellement par les couilles, qu'il n'a plus aucune chance. Je l'ai juste laissé faire le beau.
Moi, je m'en fous, j'étais le seul à voter non avec cette pauvre femme qu'il avait insultée, et je ferai encore annuler cette assemblée. Je le ferai chaque fois, rien que pour le faire chier, pour lui dire que moi, il ne m'aura jamais. Pourtant à la fin, soucieux d'apaiser atmosphère, il a proposé plein d'autres trucs, plutôt intelligent et moi, je ne pensais qu'au moyen de lui baiser la gueule.
Il veut par exemple contrôler s'il n'existe pas de fuite d'eau dans nos appartements et se propose de nous rendre visite accompagné d'un plombier dans nos appartements. J'imaginais déjà la scène. Je ferai rentrer le plombier et lui dirai de rester dehors en lui rappelant que j'ai toujours de grandes réserves sur ses compétences professionnelles et que de plus je ne reçois pas les rustres chez moi. Hmmm, quel plaisir de lui faire perdre la face devant un simple plombier ; je m'en délecte d'avance.
Je lui ai d'ailleurs dit qu'il se battait pour rien parce que l'assemblée étant convoquée illégalement, elle sera de nouveau invalidée. Mais aveuglé par sa rage, il s'en fout et moi aussi. Je ne lui paierai pas un rond d'honoraires à cette raclure. Plutôt crever !
D'ailleurs, comme je suis au moins deux fois plus orgueilleux que lui, j'aime bien l'idée d'être seul contre tous. Ça me rappelle la dernière lettre qu'un petit troufion envoya à sa mère avant de se faire buter à la bataille des Ardennes durant l'hiver 44-45. Il écrivait "nous sommes vingt pour cent de fous qui nous battons pour quatre-vingt pour cent de salauds".
Pendant que je me prenais la tête avec ce gros con, je me disais que je donnais une drôle d'image des psys. Dire que nous sommes sensés être mesurés, calmes et apaisés. Putain, ce n'est pas vraiment l'image que j'ai donné. Mais je m'en fous. De toutes manières, à de rares exceptions, près, je ne fréquente jamais de confrères.
Je me remémorais aussi Epictète en me disant que le stoïcien est un lutteur. Je ne cherche ni argent ni gloire ni rien du tout qui ne dépende pas de moi. J'ai simplement décidé que ce gros con d'architecte ne me baisera jamais la gueule. Et je ne désarmerai pas.
Putain, j'y pense encore et je m'en veux de m'être énervé. Je me repasse le combat dans ma tête. J'ai beau savoir que face à ce gros con, il faut être super technique, j'ai mal boxé. J'ai été puissant mais brouillon. Je lui ai bien latté la gueule deux ou trois fois mais j'aurais pu être meilleur. J'aurais du me rappeler qu'en boxe, il ne faut pas de la rage mais de la technique. Il aurait fallu que je tourne autour, souple et tranquille et que je lui assène de petits coups vifs et précis, des trucs qui font mal, vous savez comme Mitterand face à Chirac. Des petites phrases assassines et justes, des trucs précis. Mais je ne suis pas sûr que cela aurait marché tellement ce mec se permet tout. Putain de secondarité, j'aurais préféré ne plus y penser du tout et passer à autre chose !
Dès demain, après le fracas de la bataille, je reprends le bâton de pèlerin pour expliquer encore et encore à ces chers copropriétaires, pourquoi il faut virer ce tas de merde d'architecte.
Quel plaisir que de latter la gueule d'un narcissique ! J'ai tellement reçu les victimes de ces odieux personnages que maintenant que j'en tiens un, je ne le lâche plus.
12 Comments:
Moi je pensais que vous vouliez qu'il vous tape en 1er pour pouvoir lui en coller plusieurs et qu'il aille pleurer chez sa mere, tout narcissique qu'il est!
Si c'est pour aller cherhcer les flics, ca m'impressionne moins...
L'idée d'une garde à vue et d'une condamnation pénale me semblait bien plus sympa encore !
Revenir à l'objectif principal!! lui taper sur la gueule n'est qu'une diversion, il s'y prend bien le bougre! chez les avocats, on en trouve aussi des comme ça! bon courage...
Je découvre ce blog avec régal. Moi j'ai mal avec les histrioniques ( tamère ) aussi.. Mais oui les narcissiques, t'as raison, une bonne droite, ou un aller retour au minimum.
Merci pour ce coup de gueule de le part des victimes des narcissiques. ça redonne du courage pour ne pas se laisser faire !
Je compatis. J'en ai un aussi (un voisin) sauf que c'est lui qui assène de procédures attendu que c'est sa spécialité à lui (il est pas architecte)
Moi j'ai posé un totem fait avec un vieux tronc d'arbre abattu par la dernière tempête avec un système de mains qui balancent des baffes quand je le déclenche. C'est efficace et c'est juste devant ma porte.
Mais j'aurais du baffer fort et vite tout de suite.
Enfin bon, ce genre de batailles ca me fait penser à l'histoire de Paf le chien^^
Cher Philippe, voilà un plaisir que nous partageons...mais avant...je me faisais avoir par ces trous du cul !
Dis moi Phillipe, toi qui parle anglais conaîs-tu
Albert Ellis, Michael Edelstein, Paul Hauck?
J'ai eu une curieuse expérience avec ce dernier et son bouquin que l'on m'a donné tu devines pourquoi) Overcoming Frustration and Anger.
Tu t'en es payé une bonne tranche!
Jusqu'au trois quarts du livre j'ai pensé : foutaise! et à la fin déclic. Ça a marché. Ça tient depuis des mois. Le calme. Pas celui de la cocotte-minute bien verrouillée.
Il n'y a plus de pression. Pas de retrait du monde. Beaucoup plus efficace pour faire ce que l'on veut faire et dire ce que l'on veut dire.
Étrange.
Ce n'est pas une recommandation. C'est sans doute très personnel du genre "quand l'élève est prêt le maître apparaît".
Mais c'est une expérience très surprenante, et agréable.
Merci pour ce témoignage qui m'a fait un bien extraordinaire. J'ai passé vingt ans avec un pervers narcissique manipulateur, j'ai des enfants avec lui :-(, et mes ruminations au sortir de cette épreuve était "mais personne ne va donc jamais l'arrêter !!!" J'ai savouré vos échanges, j'espère que votre blog va durer longtemps.
bonjour philippe,
je me suis délecté à lire cette histoire tout en étant tiraillé entre le fait d'être étudiant en archi et copropriétaire.
je rédige un mémoire sur le narcissisme des architectes , pour faire court, et dans ce but je souhaiterais entrer en contact avec toi. Je souhaiterais faire usage de la petite histoire que tu nous relattes et éventuellement procéder à une petite interview. J'espère recevoir une réponse de ta part. Merci d'avance.
Xavier Noel
étudiant en 2ème Master à l'institut Victor Horta.
xavier.noel@hotmail.com
Vous qui détestez les narcissiques, vous en seriez pas un justement ? C'est juste une idée comme ça...
Hein, vous, avec votre petit égo qui s'expose, et s'adore en public ? vos jugements à l'emporte pièce, souvent méprisants ? vos "pétasses",
"trouducs", "crétins", distillés à longueur de texte, et ce sentiment de supériorité morale ou psychologique qui avance masqué ? Et encore cette petite cour que vous avez réussi à rassembler autour de vous ?
C'est peut être pour cela que vous détestez les narcissiques : vous craignez qu'ils ne vous fassent de l'ombre...
J'ai adoré. Trop bien.
Enregistrer un commentaire
<< Home