06 juin, 2007

Abattre un chien vicieux !

Chacal

Tous les agriculteurs, vous le diront, quand malheureusement, ils possèdent un chien vicieux, ils sont forcés de l'abattre en lui mettant un coup de fusil. On pourrait imaginer qu'on puisse emmener ce chien vicieux chez un vétérinaire afin qu'il soit piqué. Certes, ce doit même être la procédure légale. Mais pourquoi payer, quand une simple cartouche règle le problème.


Un chien vicieux, qu'est-ce que c'est ? C'est un chien auquel on ne peut se fier. Il semblait dressé et pourtant il a mordu. On lui a pardonné, arguant du fait qu'il avait peut-être été excité par la victime de sa morsure. Mais, on s'est vite aperçu qu'il était mauvais. Il a de nouveau mordu. Il est incontrôlable et vicieux.

C'est un taré, soit qu'il ait bénéficié d'un piètre patrimoine génétique du fait d'une grande consanguinité par exemple, soit que tout petit, il ait subi tant de mauvais traitements, que son caractère s'en soit trouvé altéré à jamais. Qui donc pourrait savoir pourquoi un chien est vicieux ? C'est encore et toujours le débat entre l'inné et l'acquis !

Gérard, le type avec lequel je fais parfois des formations est une sorte de chien vicieux. Quelque soit la manière dont vous le traitiez, gentiment ou durement, il mordra ou tentera de mordre. La seule manière de le gérer, c'est de lui mettre une muselière, un collier étrangleur, et de tenir la laisse serrée, en ayant un nerf de boeuf à la main.

Gérard, est un narcissique, voire pire, sans doute un pervers narcissique. Le psy que je suis a bien sur plein de compassion pour cette personnalité pathologique. L'homme qui se cache derrière le psy, les déteste. D'ailleurs, les narcissiques consultent peu. Pour ma part, si j'ai souvent reçu leurs victimes, je pense que je n'ai du voir qu'un ou deux narcissiques dans toute ma carrière.

Et puis, comme le narcissique déteste rendre les armes, et admettre que sous des abords admirables, il n'est qu'une merde à petite bite, il ira plutôt vers des consultations qui ne le mettent pas en péril. D'ailleurs quand notre narcissique consulte, c'est qu'il est bout du rouleau, mais ce n'est pas pour autant qu'il perdre de sa superbe ! Petite bite peut-être, mais il ne veut surtout pas que cela se sache !

C'est ainsi qu'il verra un neurologue, parce qu'une explication neurologique lui permettrait de ne pas se sentir coupable de sa conduite, ou encore un brillant psychanalyste, auprès de qui, il ira, des années durant se mettre en scène au cours des séances. Si le psychanalyste est un people ou traite des people, c'est encore mieux, cela flattera notre narcissique.

Je déteste les narcissiques pour le mal qu'ils font autour d'eux. Faibles avec les forts, ils seront invariablement forts avec les faibles. Ils ne reculeront devant rien pour asseoir leur pouvoir merdique, ni bassesse, ni manipulation.

Leur grand truc, c'est la communication asymétrique. Dès que vous avez l'impression, quand quelqu'un vous parle, qu'il vous prend de haut, en méprisant votre intégrité, il y a de grandes chances que ce soit un narcissique. Dans ce cas, si vous le pouvez, fuyez immédiatement car vous n'y gagnerez rien, ou bien collez une lui une droite. Niant les besoins d'autrui, et absolument dénués de toute empathie, le narcissique est un prédateur. Il vous volera votre travail, s'arrogera vos succès, méprisera votre gentillesse qui pour lui sera de la faiblesse. Heureusement il n'est guère dangereux, ce n'est qu'une façade derrière laquelle tout est en ruine.

Lorsque je reçois des victimes de narcissiques, encore aux prises avec leur bourreau, j'ai l'habitude de dire que je vais leur apprendre à boxer avec méthode et non avec rage. Et dans tous les cas, notre alliance permet de gagner. Le narcissique n'est qu'un nain qui prend des allures de géant, un nuisible qu'un coup de talon suffit à écraser.

Le narcissique est un salaud qui peut faire des ravages considérables, notamment quand il a en face de lui des gens fragiles. Sachant se mettre en valeur et détecter les failles, il attaquera toujours bassement. J'ai eu de nombreux cas de patients brisés et au bord du suicide, du fait de leur relation avec un narcissique. De plus, je ne suis pas sur que le narcissisme, le vrai, se soigne. Le narcissique, aime jouer les matamores, mais manque par trop de courage pour affronter ses propres angoisses. Alors il les masque, passant sa vie à se réassurer narcissiquement en abusant des plus faibles.

Gérard a exactement ce profil. Je collabore avec lui parce qu'il me produit. Je suis la vedette et lui l'homme de l'ombre. Comme je déteste la paperasse, je suis son sous-traitant dans les formations que l'on fait. Gérard me déteste mais a besoin de moi car quelque soit ses talents d'organisateur, il suffit de voir Gérard pour avoir envie de le baffer.

Gérard n'a aucune parole et tentera toujours de me niquer. Vous avez un accord avec Gérard, et vous êtes sur que sur le papier, il aura recopié scrupuleusement cet accord, mais en insérant ensuite une petite clause vacharde, parce que Gérard veut contrôler et dominer. Gérard pense qu'il oubliera qu'il a une petite bite, en tentant de m'arnaquer. hélas cela ne se passe pas comme cela.

Gérard comme tout bon manipulateur narcissique, adore s'en prendre aux plus faibles, notamment les femmes. Il aime à dire, parce qu'il jalouse mon savoir, qu'il a "suivi des cours en faculté de psychologie". Dans les faits, Gérard connait aussi bien la psycho que moi le repassage, autant vous dire qu'il est inculte. Mais, alors que la connaissance de la psychopathologie devrait être un outil pour aider autrui, chez Gérard, l'embryon de connaissance qu'il en a, se transforme invariablement en outil destiné à manipuler les plus faibles ou à se faire mousser. Quand Gérard joue les psys, j'adore le laisser jouer le beau, se répandre, puis le tacler méchamment, l'air de rien en reprenant ce qu'il vient de dire et en le corrigeant, un peu comme un père blasé reprendrait son fils adolescent un peu bête. Dans ces cas là, surtout s'il y a une femme dans l'assistance, je sais que Gérard a envie de me tuer, et je ne plaisante pas.

Mais comme je suis beaucoup plus grand que Gérard, il reste calme. Je le sens alors bouillir, en proie à une colère intense, une violence inouïe qu'il ne peut que réfréner. Et moi je garde mon calme et je me dis "prends ça dans la gueule connard, pour tous les gens que tu as abusés". Je joue le justicier même si ce n'est pas très déontologique. De toute manière, c'est Gérard qui vient chaque fois me chercher pour travailler, il doit aimer les coups.

Ceci dit, j'avoue que parfois Gérard reste calme et qu'on peut presque bien s'entendre. S'il n'était pas narcissique, il serait même plutôt sympa mais sa pathologie, le rendant rigide, l'empêche d'être de bonne compagnie plus d'une heure. Je ne lui reproche pas sa pathologie d'ailleurs, simplement le fait de ne pas consulter. Ce genre de type, sera toujours plus prompt à abuser des gens pour compenser leurs complexes, plutôt que d'avoir le courage de consulter un psy !

Cafard

La semaine dernière, j'ai emmené Gérard déjeuner avec un client. Le client, que je connais bien, le déteste. Afin de préserver la paix dans les chaumières, j'ai réussi à convaincre ce client, de ne pas faire de remarques désobligeantes pour Gérard. Comme j'ai d'excellents rapports avec ce client, il a accepté et le déjeuner s'est bien passé. Gérard, comme a son habitude a été pénible, verbeux, ne pouvant s'empêcher d'étaler sa pseudo-science en voulant apprendre au client à gérer son entreprise.

Gérard, très à l'aise dans son rôle e patron d'une boîte de formation, est le genre de mec qui se croit indispensable et qui imagine que sans lui, une société ne peut que survivre mais guère prospérer. C'est normal, Gérard est à la fois con et narcissique. Face à la démonstration ridicule de Gérard, le client n'a rien dit, même si j'ai constaté qu'il faisait de gros efforts pour ne pas lui rentrer dans la gueule en le rappelant à plus de simplicité.

Ce qui est drôle, c'est qu'en sortant Gérard m'a dit que le client lui semblait un peu limité et qu'il ne devait pas avoir un salaire élevé. Comme tous les narcissiques, Gérard n'envisage les rapports que sous l'angle de la domination soumission. A aucun moment par contre, Gérard ne s'est aperçu de l'agacement qu'il avait généré chez le client, ni combien ce dernier s'était retenu pour ne pas lui planter sa fourchette dans un oeil !

Gérard bien sur ne m' a pas été reconnaissant de lui avoir sauvé la mise. Alors que le client aurait pu le laminer, Gérard n'a sauvé la face que grâce à mon intervention. Mais perpétuellement satisfait de lui, et infatueux, Gérard s'est trouvé génial s'est même permis de me donner un cours de négociation sur le chemin du retour. Ce n'est pas bien grave, j'ai joué le gentil psy.

Bien sur, rien ne sert d'être gentil avec Gérard car toute gentillesse est immédiatement traitée par son cerveau frelaté pour être transformé en signal de faiblesse. Et montrez vous faible avec Gérard, et vous le verrez foncer sur vous, comme un petit prédateur attiré par une bête malade.

C'est ainsi que trois jours après ce déjeuner, Gérard m'a envoyé un mail dans lequel il remettait en cause nos accords verbaux en usant d'arguties stupides. Il m'a ainsi envoyé un contrat rempli de clauses délirantes que je me suis hâté de forwarder à ceux qui le connaissent. Cela a beaucoup fait rire. Comme il me doit de l'argent et que j'ai présenté ma facture, Gérard fait tout pour ne pas payer. Etant ancien juriste, il va sans dire, que j'ai balayé ses arguments. Et puis, ce n'est pas parce que je me suis montré gentil avec lui lors de ce déjeuner, que j'avais baissé ma garde ; j'ai en main suffisamment d'arguments pour ramener Gérard a de plus saines perspectives. Donc Gérard me paiera, j'en suis sur. Je me suis simplement demandé ce qu'il serait arrivé à quelqu'un de plus fragile que moi ? Gérard en aurait simplement abusé.

Alors, je reprends le début de mon article. Un chien vicieux, qu'est-ce que c'est ? C'est un chien auquel on ne peut se fier. Il semblait dressé et pourtant il a mordu. On lui a pardonné, arguant du fait qu'il avait peut-être été excité par la victime. Mais, on s'est vite aperçu qu'il était mauvais. Il a de nouveau mordu. Il est incontrôlable et vicieux.

Gérard est un chien vicieux, mais tant la morale que le droit m'empêche de lui filer un coup de fusil. Alors je me contente de tenir la laisse courte.

Si une belle âme, venant à me lire, trouvait mes propos révoltants compte-tenu de ma profession, alors c'est que ladite belle âme ne sait vraiment pas les dégâts que peuvent provoquer tous les Gérards de France et de Navarre ! Apprenez toujours à repérer les narcissiques et évitez-les, ils sont toxiques.

Pour en savoir plus, cliquez ici, et lisez l'article de WIKIPEDIA, même si le portrait clinique est très exagéré. Un jour peut-être ferai-je un article sur ce sujet.

Ce pervers narcissique là, au moins je l'ai à l'oeil, et je tiens sa laisse courte.

Scorpion

Enfin, pour finir sur une note de psychopathologie, voici une description du pervers narcissique :

LE PERVERS NARCISSIQUE : Les signes caractéristiques du pervers narcissique apparaissent au fur et à mesure du processus de démolition entamé sur sa victime. Multiples et variés, ils sont le reflet d'un miroir qu'une dévalorisation de lui-même a fait éclater et qu'il compense par un narcissisme censé l'apaiser et le protéger.

La perversion alterne avec la perversité.
Les traits dominants et récurrents chez le pervers narcissique sont : un esprit vindicatif, une tendance à la mythomanie, à la paranoïa, un pouvoir de conviction pouvant entraîner de nombreux dommages collatéraux, des personnes qui se compromettent pour lui, un acharnement comparable à celui d'un jusqu'au-boutiste qui voudrait, en outre, donner l'image de lui d'un martyr, persécuté par la personne qu'il est déterminé à éliminer définitivement des scènes sociale, privée et professionnelle !

Quitte à déployer une énergie démesurée à transgresser les terres de sa victime, à spolier ses jardins secrets, à semer les graines de la discorde, de la suspicion dans son entourage, à pratiquer la politique de la terre brûlée, pour sortir indemne et victorieux.

26 Comments:

Blogger El Gringo said...

sur http://callways.com/pervers-narcissique.shtml
"Dans le cas des pervers sexuels, il y a un déni du sexe de la femme. Les pervers narcissiques, eux, dénient la femme tout entière en tant qu'individu."
Les perverses narcissiques, elles, n'existent pas.

6/6/07 11:49 AM  
Anonymous Anonyme said...

"Les perverses narcissiques, elles, n'existent pas. "

Cette affirmation est basée sur quoi?
(ce n'est pas dans un souci de parité, mais il me semble que les femmes peuvent être aussi lamentables que les hommes).

Tagada.

6/6/07 1:39 PM  
Blogger philippe psy said...

Bien sur qu'elles existent au meme titre que les hommes. Peut etre devrait on les appeler perverses hystériques tout simplement.

J'ai connu des patients victimes de telles femmes.

6/6/07 4:07 PM  
Blogger El Gringo said...

"Cette affirmation est basée sur quoi?"

Cette affirmation était ironique, je pensais que cela se verrait mais peut être étais-je aux fraises, tagada…;-)

6/6/07 5:46 PM  
Anonymous Anonyme said...

SVP, 12 an savec un PN, première séance avec un psychiatre hier que je revois lundi. Les deux prmeières fosi où je suis partie j'ai réussi à ne QUE fuir. Maintenant que je sais ce qu'est un PN (le mien a TOUS les traits), je voudrais lui en envoyer une description car il continue de croire que c'est moi la tarée et mon humiliation est insoutenable. Je me maudis de n'être pas tombée sur ces sites plus tôt. Je me maudis. SVP, le psy me dit de couper TOUT contact pour le moment (j'ai rdv lundi), mais je ne mange plus, je ne dors plus, je ne pense qu'à ça. J'ai réussi à ne pas ouvrir le sdeux derniers mails (mais là aussi je me dis que c'ets trop faciel car il doit croire que je les ai ouvert) mais je voudrais lui dire "tu vois , t'es un PN". SVP, qu'en pensez vous, cela le touchera t'il (si vosu saviez ce que j'ai vécu vous comprendriez pourquoi je veux qu'il lise ça). J en'oserai jamais me venger plus que ça ; la vengeance n'est aps dans mon caractère et en plus je suis terrifiée par la violence de ses réponses que jamais je ne pourrai égaler.
ESt ce une vengeance de faire ça ? ets ce judicieux ?

28/6/07 11:14 AM  
Anonymous Anonyme said...

S'il vous plait, répondez moi. Je sais que ce que j'ai écrit est confus, mal écrit, mais je suis tout au bout du rouleau. En plus je réalise que le psychiatre a basé tout l'entretien sur "pourquoi, moi, je suis une victime" (tout en reconnaissant que je le suis et que je suis très malheureuse), mais je me demande si je ne fais pas fausse route avec lui (c'ets sans doute très intéressant de savoir que j'ai manqué d'attention parce que j'ai une soeur qui a 11 mois de moijs que moi, mais en quoi ça va m'aider ? Ca vous parait logique de comencer par là, c'est normal ? ou il faut que j'aille voir quelqu'un d'autre ? C'est trop uregnt, je ne veux pas réaliser que je le suis plantée dans 5 séances. Pliiiiiiiiiiiiiiiiiiiise.

28/6/07 6:01 PM  
Blogger philippe psy said...

Que puis_je vous répondre ? Si vous pensez être mal suivie, changez de psy. Il y en a es milliers. Une thérapie est avant tout une relation humaine. Si celle-ci ne vous convient pas, ne vous enferrez pas dedans ! Barrez-vous et allez voir quelqu'un avec qui vous vous sentirez en confiance.

En ce qui concerne votre PN, 'st-il ou non? S'il l'est, que vous lui disiez ou aps ne changera rien. Un PN ne s'attaque qu'aux faibles souvenez-vous.

Toutefois votre histoire est bine tropà complexe pour que j'y réponde ici!

De la même manière si vous vous sentez si mal, prenez un traitement, ça aide !!!

29/6/07 2:46 AM  
Anonymous Anonyme said...

Bonjour,
j'ai découvert ce blog par hasard en tapant "face à un narcissique" sur google. Je m'intéresse au sujet car je pense avoir "repéré" dans mon entourage une personne correspondant au profil du narcissique.
En tout cas, j'ai beaucoup ri en lisant votre article et cela fait vraiment du bien.

30/6/07 1:14 PM  
Anonymous Anonyme said...

Bonjour,
Si je suis sur ce site c'est que nous avons une discussion en cours, sur mon site destiné aux bipolaires, certains expliquant l'attitude insupportable d'un conjoint (agressivité, dénigrement, refus d'admettre ses torts, de reconnaitre qu'il "déraille") par de la perversion narcissique et d'autres expliquant que c'est la phase maniaque de la bipolarité qui parle.
Une participante à notre forum a donné des liens vers ce blog que je découvre avec bonheur.
M'sieur Philippe, vous voulez bien nous expliquer quelle est, selon vos connaissances, la différence entre un pervers narcissique et un bipolaire en manie ?
Je pourrai ainsi retransmettre votre info sur notre site, si vous le permettez.

Merci
Marie

19/9/07 12:10 AM  
Blogger stefie said...

Bonjours j'ai vecus 6 ans avec un PN dont la meres et la grands-meres en sont aussi,IL m'on faites vivres des choses pas possible ca ete tres destabilisant .Mais de tout ca est sorti 2 bo ptits anges une de 7 mois et lautre de 3 ans.Je lai quitte mais j'aimerais savoir il dois bien y avoir une maniere de les aider pour moi non pas que j'ai une grosse estime de moi mais le fais davoir chercher le pourquoi du comment dans ce qu'il marrivais ma amener a comprendre que totu ca n'avais rien avoir avec moi mais plutot que le vrai combat ces eu vs eux-memes.A moi au fond ca ne m'enleves rien a ce que je suis reelement.Mais j'aimerais pouvoir l'aider a affronter ce vide pour eviter bcp de souffrance a mes enfants.J'ai de l'amour inconditionnelle pour cette homme un peu comme si cetais mon enfant.je crois qu'il y a tout dmemes une difference entre lhomme et le chien j'ai compris le sens de la comparaisonMais ya des chance avec de bonne technique meme pour des chien vicieux juste en regardant cesars lhomme qui parlent au chien .Il reussis a changer bcp de chien vicieux ,Ca doit etre autant possible chez l'humain.Jattends des reponses

25/3/08 5:00 PM  
Blogger personne said...

Bonsoir, en espérant que vous lirez mon message et que vous êtes encore actif sur ce blog...quel frisson en lisant le contenu au hasard d'une recherche sur les pervers narcissiques. J'ai rencontré un patron d'une boîte de formation ou plutôt de conseils en gestion de personnel, il se prénommait Gérard...une histoire d'amour (??) qui m'a meurtrie, j'ai failli y laisser ma peau. Trois ans après la rupture, rongée par le doute, l'ambiguité du personnage,laminée, 2 ans de thérapie, les questions laissées sans réponse, je m'accroche à cet espoir fou que nous sommes au moins deux humains à voir ce triste sire tel qu'il est,ça me guérirait, ça m'enlèverait de l'esprit que je ne suis ni folle ni parano, j'aimerais tant vous dire merci. Acceptez-vous de me donner un signe, une indication même infime , un détail, un mot, une marque de voiture,quelque chose qui n'aurait de sens que pour nous qui avons approché le diable, pour que je puisse l'identifier (dans quelle département vivez-vous? quel est le nom de ce restau) sans balancer pour autant...je sais c'est compliqué, mais aidez moi, merci.

24/1/09 1:02 AM  
Blogger personne said...

Bonjour…Je me permets d’insister, vous ne me répondez pas…. Peut- être mon numéro de sécu, une consultation ( vous êtes un peu loin, mais pourquoi pas), un numéro de téléphone ? vous enjoindrait-il à m’accorder une réponse ? J’ai créé un blog sur l’art des jardins il y a quelques jours pour partager une de mes passions je suis en train d’en créer un autre avec ma peinture…voici l’adresse du premier blog (en me disant que si je deviens visible à vos yeux peut être me répondrez-vous ? http:// lejardindalbine.blogspirit.com/). Digne retour des choses : le jardin et la peinture ont été les deux hameçons par lesquels je me suis fait attrapée par le monstre aux yeux si clairs. Peut être n’ai-je pas eu votre lucidité et votre force pour le « boxer avec méthode ». Le jardinier en question n’aimait pas mettre les mains dans la terre , trop « sale » à ses yeux : comme le sperme d’ailleurs ( !?), peut-être aurais-je dû comprendre que ce n’est pas parce que l’on a des tableaux de prix et une grande bibliothèque que l’on est passionné par ce que l’on montre ou qu’on prétend avoir lu…une galerie dédiée à sa propre gloriole pour en imposer, les doges vénitiens pratiquaient ça aussi. Cependant, frôlée par la cape des dieux dont Gérard se croit paré, j’ai eu l’impression de vivre. Ensuite, après avoir eu envie de mourir, une psy essaiera de me convaincre que je l’ai bien cherché et que les pervers narcissiques sont des inventions, des scoops délirants de confrères en mal de reconnaissance médiatique…La même psy me posera des lapins (il n’y a pas que les clients qui plantent leur psy vous voyez, les psys le font aussi) elle me proposera même de rencontrer un des ses clients pour me consoler…Le doute et la confusion m’habitent encore, dois-je reconnaître que cela me mine ? En prévision d’un écrit consacré à Picasso, un autre minotaure qu’il serait temps de déboulonner de son piédestal, je suis tombée sur un site (blog ?) de philosophes (mecaniqueuniverselle.net) qui invite les thérapeutes à une vigilance accrue voire au combat…Vous êtes un des rares à manifester une véritable défiance et un cynisme que j’approuve totalement…Puissiez-vous m’entendre et me faire juste un clin d’œil. Bonjour…Je me permets d’insister, vous ne me répondez pas…. Peut- être mon numéro de sécu, une consultation ( vous êtes un peu loin, mais pourquoi pas), un numéro de téléphone ? vous enjoindrait-il à m’accorder une réponse ? J’ai créé un blog sur l’art des jardins il y a quelques jours pour partager une de mes passions je suis en train d’en créer un autre avec ma peinture…voici l’adresse du premier blog (en me disant que si je deviens visible à vos yeux peut être me répondrez-vous ? http:// lejardindalbine.blogspirit.com/). Digne retour des choses : le jardin et la peinture ont été les deux hameçons par lesquels je me suis fait attrapée par le monstre aux yeux si clairs. Peut être n’ai-je pas eu votre lucidité et votre force pour le « boxer avec méthode ». Le jardinier en question n’aimait pas mettre les mains dans la terre , trop « sale » à ses yeux : comme le sperme d’ailleurs ( !?), peut-être aurais-je dû comprendre que ce n’est pas parce que l’on a des tableaux de prix et une grande bibliothèque que l’on est passionné par ce que l’on montre ou qu’on prétend avoir lu…une galerie dédiée à sa propre gloriole pour en imposer, les doges vénitiens pratiquaient ça aussi. Cependant, frôlée par la cape des dieux dont Gérard se croit paré, j’ai eu l’impression de vivre. Ensuite, après avoir eu envie de mourir, une psy essaiera de me convaincre que je l’ai bien cherché et que les pervers narcissiques sont des inventions, des scoops délirants de confrères en mal de reconnaissance médiatique…La même psy me posera des lapins (il n’y a pas que les clients qui plantent leur psy vous voyez, les psys le font aussi) elle me proposera même de rencontrer un des ses clients pour me consoler…Le doute et la confusion m’habitent encore, dois-je reconnaître que cela me mine ? En prévision d’un écrit consacré à Picasso, un autre minotaure qu’il serait temps de déboulonner de son piédestal, je suis tombée sur un site (blog ?) de philosophes (mecaniqueuniverselle.net) qui invite les thérapeutes à une vigilance accrue voire au combat…Vous êtes un des rares à manifester une véritable défiance et un cynisme que j’approuve totalement…Puissiez-vous m’entendre et me faire juste un clin d’œil.

29/1/09 2:17 PM  
Blogger claustra said...

Bonjour,
Je souhaiterais répondre à Albine dont j’admire l’écriture et la façon dont elle utilise les mots pour exprimer son aventure… J’ai moi aussi été victime d’un Gérard, tel que décrit par Philippe, d’une façon tellement réelle, même si elle doit en choquer plus d’un !
J’ai également été victime d’un psy, pourtant bien connu… qui m’a dit, lors de notre première entrevue, alors que j’étais à mille lieues sous terre et que forcément, je geignais sur mon sort… « Mais enfin Madame, réfléchissez plutôt à ce qui vous a poussée à jouer ce rôle (de victime ?) et qui lui a permis de jouer le sien… » J’en suis ressortie un peu plus meurtrie, un peu plus culpabilisée et ne suis jamais retournée le voir ! Les psy n’aiment pas les PN, ils sont leurs pires ennemis parce que peut-être les seules personnes, à mon sens qu’ils ne métrisent pas…. Et d’ailleurs, je ne serais pas surprise qu’ils craignent l’inverse.
Mais, qui peut se venter d’avoir un jour métrisé un PN, à moins de lui avoir donné un coup de fusil, comme le dit si bien Philippe. Ils existent, il y en a même beaucoup, il n’y a qu’à lire tous ces forums sur le net, toutes ces victimes ! Pour ma part, je m’en suis sortie seule, car je n’avais plus confiance en personne ! J’ai d’abord lu « Le harcèlement moral » de M .F. HIRIGOYEN au travers duquel j’ai compris que je n’étais ni coupable ni responsable (en tout cas, pas à part entière) de ce qui m’arrivait. J’ai découvert ce qu’était un PN, je ne connaissais même pas ce terme et ignorais cette pathologie et à partir de là, j’ai remonté peu à peu la pente. J’ai lu bcp d’autres ouvrages, mais je dois dire que celui-ci est très synthétique, à la portée de tous et très explicite. Je m’y suis entièrement retrouvée, d’ailleurs, il est annoté dans tous les sens.
Alors Albine, que voulez-vous de plus ? Vous entendre dire que vous n’êtes pas coupable, pas parano, pas folle, pas responsable de tout ce dont ce Gérard vous accuse ? Bien sûr que vous ne l’êtes pas ! C’est LUI le malade, n’oubliez jamais ça, et même s’il est suffisamment intelligent pour trouver toujours une parade à vos arguments et faire en sorte que SYSTEMATIQUEMENT les choses se retournent contre vous, ne mordez pas à l’hameçon ! C’est une de leurs forces et ils en ont bien d’autres ! Parlez lui de psy, de se faire aider et même d’y aller ensemble… vous allez voir sa réaction. Les PN ne se remettent jamais en question, pour la bonne raison qu’ils sont persuadés de détenir la vérité sur tout. Vous, Albine, vous êtes en train de le faire et c’est déjà un premier pas vers la liberté. Continuez, sortez de son emprise ! Allez foncez, vous avez compris que quelque chose n’allait pas et vous avez des doutes sur sa crédibilité ? N’hésitez pas une seconde !
Le mien m’a harcelée pendant des mois après notre rupture, du chaud /froid sans arrêt, comme ils savent si bien le faire, vous connaissez sûrement……. Vous vous dites…. « il a l’air de revenir à de meilleurs hospices… il a peut-être compris ma souffrance…. » et au moment où vous lui tendez à nouveau la main ou la joue, il vous la foudroie comme un éclair ! Partez, fuyez, coupez le contact, c’est la seule solution, pas de discussion, pas d’ouverture, tournez la page et très vite, vous avez assez perdu de temps ! Regardez devant vous, ne vous retournez pas, JAMAIS, il est là derrière vous à guetter le moindre de vos faux pas, n’oubliez jamais cela ! Même des années après, il peut être encore là, restez vigilante, toujours, jamais de relâchement, jamais d’hésitation, jamais de tentation, telle une cure de désintoxication, c’est à ce point….. Je n’en dirai pas plus, sans doute en ai-je déjà beaucoup dit mais je voudrais tellement faire partager mon expérience, si elle peut aider…. Je m’en suis sortie, enfin je le crois…. Ce sont des cicatrices indélébiles, des égratignures qui vous démangent de temps en temps mais je dirai que je suis sortie plus forte de cette expérience, grandie. J’ai retrouvé mon enthousiasme et ma joie de vivre mais c’est aussi dans mon tempérament. Simplement, je reste toujours sur mes gardes….

8/2/09 10:00 AM  
Blogger personne said...

Bonjour, avant de disparaître sous d'autres cieux et d'y déverser ma prose, je remercie Claustra pour sa réponse et ses conseils qui m'ont fait beaucoup de bien. Je remercie aussi le vengeur masqué, alias Philippe qui tente à sa façon d'éclairer nos lanternes.Je n'"exige" pas de réponse.Mon reflexe de "savoir" est déplacé j'en conviens. je vous livre une dernière bafouille, c'est une lettre de rupture jamais envoyée car je crois que le silence définitif est la seule façon de rompre avec ce type d'individu. Mais j'ai besoin de déposer ces mots ultimes pour que vos regards les balaient, c'est mon coup de fusil pour lui aussi..........Cher G... État des lieux d’une relation. Je me demande s’il existe une sorte de prix Pulitzer pour les consultants. Je postule pour le titre… Ne doute de rien celle-là… non, justement. Tu me diras …si je n’ai pas les qualités requises pour être « celle qui émerge dans ta vie » (faut croire que j’ai rejoint les abysses depuis), au moins me dire si tu m’embaucherais pour cette analyse à froid…? Toi qui aimes « convoquer » et « licencier » tes amours dans ton fauteuil de patron …
De mon amour pour toi il ne reste que des questions. Ça me laisse étonnée de ne plus te trouver idéal .Et d’en sourire. L’altérité de l’autre, ses contours qui nous gênent, ses aspérités, que l’on veut pourtant serrer dans ses bras en pensant qu’il acceptera les nôtres pour enfin créer ce sanctuaire où le privilège serait d’être enfin soi même avec lui, sans nos armures épuisantes… « Une belle relation » dit-il… J’ai eu souvent envie de tester sa congruence…mais renoncer… c’est sans doute cela être adulte.
. « Je remercie le temps de t’avoir permis de m’habiter sans heurts », t’ai-je dit « avec pour seul espoir celui de te savoir heureux quelque part, et tellement là pourtant que je ne me souviens pas de ne pas t’avoir connu…toi l’éternel absent, comme un creux sur un lit » mais j’y ai tant dormi que j’ai retrouvé le sommeil, le sais-tu ?
Et tes impostures que j’avais senties et détectées si vite… je sais que tu es plus bourreau que victime dans ton couple en particulier. Ma vanité à sentir ton regard sur moi m’a aveuglée sur ce qui crevait les yeux : ta femme a l’air dévastée. Ta femme qui parle souvent de toi à voix basse n’est pas vraiment d’accord avec la vision du martyre que tu m’as donnée…lequel des deux pleure, dis moi ?… Je ne serai plus jamais jalouse de celle que tu as sans aucun doute maltraitée et à qui je n’ose pas demander pardon, « ta mégère protestante froide et caractérielle »…Mais comme tout un chacun, il vaut mieux être sorti de l’œuf et passablement malheureux quand on séduit : les femmes adorent consoler… Si on avait pu changer de « registre » d’ailleurs, de temps en temps…tu m’as prise pour une bille, une secrétaire amourachée, mais bon…
Tu as ta part d’ombre comme tout le monde, comme moi aussi. Cependant il y fait tellement noir. L’odieux personnage paraissant sans affect, tour à tour exigeant et cynique, sans doute aussi grand seigneur à ses heures, c’est toi. Ça ne fait pas de toi un pervers.
Et puis, si tu savais comme le monde est petit. J’ai rencontré ces autres qui te connaissent et qui m’ont parlé sans savoir que je te connaissais. Le choc… Tu ne fais pas l’unanimité et le métier « idyllique » dont tu me parles est loin d’être une rose réalité pour ceux qui tu côtoies. Il ne fait pas que des heureux…On m’a raconté comment tu t’y prenais parfois pour évincer de la scène professionnelle ceux qui ont le malheur d’être beaux et talentueux, un peu tarzans…tout ce que tu détestes…Témoignage d’un homme de pouvoir comme toi directeur financier aujourd’hui à la retraite qui t’observe depuis longtemps et que la prédation n’étonne pas bien sûr, ni la guerre dans ce milieu, ni le combat, mais quand même, comment peut on être à ce point mystificateur ?…Sans parler de tes propres collaborateurs ou (ex) dont la haine et l’humour corrosif n’ont d’égal que le mépris qu’ils te portent…Tu parles d’un développeur de talents...Un prédateur, oui, méfiant comme un tigre, mauvais coucheur, mauvais payeur, plus soucieux de niquer tout le monde et de « paraître » du haut de sa pseudo science qu’il utilise à outrance pour abuser les plus faibles. Surtout les femmes, paraît-il. On pourrait tous les croire envieux et jaloux de ta réussite. Ça n’enlève rien à ce que tu es, hélas.
Tu dois bien avoir quelques comptes à régler…ça ne fait pas de toi un pervers.
Je me suis brûlée les ailes dans ce « lien solaire », par la piètre estime dans laquelle je me tenais, à savourer les signes de celui qui manie la rétention, frôle juste ce qu’il faut, effrayant d’ambivalence… « névrosé » dit-il. Il paraît qu’il ne faut surtout pas rechercher l’approbation de ceux qui ne s’apprécient pas eux-mêmes…
L’ambivalence…
Un homme qui me téléphone à 8 heures du matin, passablement énervé et qui me dit , parce que je reste sur mes gardes, « si tu ne désires pas une relation romantique, j’arrête tout de suite.. ». Quelques mois passent…le même me sourira avec une ironie féroce « tu es trop romantique toi, faudrait veiller à gérer tes émotions ». Je veux bien que ta capacité à oublier soit redoutable. Je doute fort cependant que l’on puisse oublier qui on est …Mais c’est ainsi. Avec toi la logique ordinaire ne m’a jamais été d’aucun secours. Tu es un manipulateur. Je l’ai senti ce froid dans le dos, à la minute même où j’ai été un peu plus intime avec toi, tout ce que tu as trouvé à me dire : « tu es une manipulatrice ». Projection hasardeuse ?
J’ai toujours été droite dans mes bottes, je m’en rends compte aujourd’hui.
Il était une fois…Déjà à l’époque, les premiers contacts, les « lâche-toi », contenaient le germe d’une équation impossible…être spontané ne peut pas, par définition, faire l’objet d’une demande. C’est un peu comme s’il y avait un panneau sur l’autoroute où il serait écrit : « ne me lisez pas ».
« Donne-toi » avait-il murmuré juste après un premier baiser. Même constat (avec un autre frisson dans le dos quand même) d’autres que moi se seraient enfuies sans demander leur reste après une telle « invitation »…Je me pardonne aujourd’hui d’avoir été aussi naïve, bas bleue, prétentieuse. Et puis, c’est bien au final cette insupportable confusion et ce « chaud- froid » continuel, le régime des douches écossaises, l’impossible équation dans la relation toute entière qui me font décrocher une première fois. Tout se passe comme si je n’avais jamais eu la réponse adéquate.
« double bind » pour les anglo saxons qui l’ont découvert…terme psy ; définition : injonction contradictoire ou paradoxale : on assortit une demande, d’une attitude qui va dans le sens contraire de manière à bloquer le sujet dans une situation sans issue, exemple : exprimer une demande affective par une attitude de séduction et en même temps, s’en soustraire, la nier par les mots ou par les actes…
On encore encourager l’autre dans une voie et le lui « reprocher ensuite » , directement ( façon douche écossaise) ou de manière plus subtile (silence , froideur)… le but ? devinez…
dit le docteur, disent les tonnes de bouquins où j’ai cherché des réponses, faute d’avoir eu le courage de retendre la main et de faire confiance. Et cette phrase qui m’a réveillée « le contraire de l’amour ce n’est pas la haine, c’est le pouvoir » de je ne sais plus qui.
C’est une posture très courante finalement surtout dans les couples le fameux « tu n’es jamais là tu travailles trop » … mais « je préfère que l’on ait une vie très confortable » le lendemain. C’est un grand classique…mais quand ça devient un mode de fonctionnement… comme avec votre drôle de bonhomme, 2 hypothèses :
1) Certains ont cette certitude que les autres devraient se sentir flattés d’être invités à leur table… Ils pensent que la seule « rétribution » à l’amour qu’on leur porte est de se satisfaire d’avoir l’honneur de les côtoyer. On séduit puis on réanime la flamme histoire de tester son potentiel de séduction auprès de celle qui vous a aimé et qui vous aime encore…ivresse et vanité…on reste un fantôme, un « arlésien » …d’ailleurs vous finirez bien par vous apercevoir qu’il y a des hommes en chair et en os…je vous le souhaite en tout cas mais peut être que cela vous fait peur (aïe pour mon égo)…ou alors…
2) Il n’est pas conscient de la souffrance qu’il provoque…Vous pourriez être miss monde, vous faire teindre en blonde, ça ne changerait rien à son vertige.
-le perdre alors ? plutôt que me perdre moi dans ce dédale de confusions, d’hypothèses, et d’attentes.
-le perdre ? Si tant est que ce lien ait réellement eu lieu…
Effectivement la question mérite d’être posée.
Éternellement condescendant tu me dis que je suis plus « sympa » aujourd’hui, plus dans « l’ici maintenant… »
-oui, bien sûr, c’est l’argument massue de tous ceux qui veulent tout avoir sans discuter et surtout sans se sentir responsable en quoi que ce soit…Carpe diem, et surtout pas de lendemain…ça sous entend aussi que c’est de votre faute si la relation a capoté. Ils sont très forts à ce jeu-là. Ils pointent de l’index pour éviter de se retrouver en face de leur propre laideur.
Ça ne fait pas de toi un pervers.
« Pas de promesse pas d’attente » dit-il, « après » nos ébats un soir de juillet…Si, il s’inquiètera quelques jours après d’une « maladie » que j’aurais pu lui refiler, et me téléphone pour en discuter, pas pour prendre de mes nouvelles…C’est lui qui a un herpès pourtant…tu n’es sans doute pas le seul à te comporter en parfait crétin quand il s’agit de sexe. Ce n’est pas ça qui fait de toi un pervers…
Il me rappelle de nouveau dans les mêmes circonstances quelques mois plus tard...Grand jeu et séduction de l’homme surbooké. Non je n’ai pas de problème particulier avec la pénétration. Face à celui qui ne veut pas me protéger de sa maladie, je n’avais pas d’autre choix que de la refuser. J’aime sucer aussi…j’aime ce qu’on aime faire quand on aime…qu’on n’est pas dans le doute et l’insécurité relationnelle…Ici et maintenant ? Tu parles : ça n’arrange que toi, le grand spécialiste des relations humaines devient muet dès lors qu’il s’agit de partage. Non tu n’es pas un tordu.
Sans ceci sans cela, adverbes privatifs, relation désincarnée. Mais elle n’aime plus les adverbes privatifs. Vampirella comme tu aimes m’appeler parfois a une âme percluse de couleurs, de plus vaste que deux, d’envie de paradis à sa taille, de partage et de paix démesurée. « Que tes jours soient lumineux » pense-t-elle « et sous le même ciel, avec mon petit pinceau, ajouter des étoiles au mien. Pour le reste ma foi, gloire au tout vivant. Champagne Gérard, à ta santé, bise tendre à ton auguste personne et bon vent ». Plus facile à penser qu’à dire et faire…
« Il ne faut rien attendre de cette relation effectivement, écoutez ce que l’on vous dit et quoi qu’il en soit Il n’y a pas d’amour, rien qui ne ressemble à cela. Allez vous consoler dans d’autres bras, quand une envie, un élan n’est pas réciproque, c’est que vous vous faites des idées ou que vous vous faites arnaquer »
Etc…Etc…
Tout cela ne faisait pas de toi un pervers narcissique ?
J’ai bien peur qu’aujourd’hui je doive me rendre à l’évidence. Être dans le déni ne pouvait pas me faire avancer. Or j’avance.
Je t’ai d’abord souhaité ce que je souhaite à Picasso, toi qui l’admires tant… un pervers notoire qui a détruit ceux qui l’ont approché. Il a roulé tout le monde dans la farine et ça commence à se savoir. Je pense que le temps géologique de l’histoire de l’art, l’oubliera comme le prédisent des spécialistes, écœurés de tant d’infamie, mais il est si assorti à l’époque qu’il a traversé, où l’on a encensé tant de minotaures. Des génies sans éthique, des managers sans morale, des avides et des brasseurs de vent… Ce qui se passe aujourd’hui ne fait que le confirmer.
Vampirella a bien failli se faire siphonner par cet amant qui se défile, un vrai vampire celui-là. Heureusement il y a des hommes …ils ont le regard qui pétillent, un peu cons, un peu sublimes, plein de fautes et d’excès, mais …ce sont des arcs tendus de fils de soie dans les chênes qui pulvérisent les ombres des questions inutiles, des gourmands, des ogres tendres, des enlumineurs aux desseins clairs que j’aperçois enfin dans un brouillard encore épais. Heureusement et surtout il y a moi. Je me souviens d’une de tes vacheries : « tu es ingérable » m’as-tu dit, et je n’avais pas apprécié ce terme de gestionnaire désabusé à mon encontre comme si j’étais ton employé. Aujourd’hui, j’en suis presque fière. Et c’est pas fini : Je suis jolie, intelligente, sensible, capable d’amour...SI SI ! Le drame de l’escroc fait le bonheur de l’escroquée. Je ne veux pas être une victime.
C’est l’ultime bras d’honneur que je te fais.
On ne peut passer son temps dans les marais et les eaux grises de l’enfance : à force de coasser près des crapauds avec ma baguette magique de fée donneuse, et voir des princes charmants partout, j’ai bien cru que j’allais rester sur mon nénuphar, mais non… Il faut bien que je tue mes fantômes en les laissant m’habiter.
C’est cela que je te souhaite finalement…
Blanche-Neige a bien failli voir brûler sa robe sur le bûcher des vanités à vouloir te comprendre.
Blanche- Neige a évidemment les ongles acérés parfois, elle est humaine.
Blanche neige est fatiguée.
Blanche-Neige s’en va.
Au fond de tes yeux que je voulais miroir, il y a une trace d’absence, une lueur attentive qui retient son souffle d’une possible souffrance de ne plus être regardé, un air mélancolique et tendre d’une pureté inouïe, intacte, et que rien n’est jamais venu altérer. J’espère que celles qui t’ont aimé l’ont vu, car rien ne peut égaler ce cadeau que tu m’as fait à ton corps défendant, dans la pénombre, sur un oreiller, loin des élans frelatés d’un avenir factice et d’une relation forcément « impossible »…Dans le coffre plein de trucs coupants, dans ce « jardin d’hiver » où je ne verrai jamais tes fleurs naître et mourir, j’ai vu briller sous les soliloques appesantis de celui qui me fait peur aujourd’hui, le pâle trésor caché de ta douce humanité et de ton âme d’enfant blessé…
Tu sais, le chat sauvage que j’ai apprivoisé… n’en est pas mort… comme tu l’as supposé cruellement avec ton venin qui pue la culpabilité. Il est mort, oui, mais très vieux, et de sa propre mort. J’espère que ça t’inquiètera.
Comprenne qui pourra.
Je sais pourquoi le texte de Saint-Exupéry te débecte autant. Il y est question de responsabilités quand on aime ses roses.
Je me fous éperdument d’avoir perdu le prix Pulitzer. Va chasser sur d’autres terres, chat bleu, ou dans d’autres jardins et fais attention à toi : la terre et les feuilles mortes qui la nourrissent ne sont pas aussi sales que tu le prétends, le sperme non plus. Ça pourrait bien t’ensevelir dans ton château où tes arbres tombent curieusement malades.
Et ne te laisse jamais approcher surtout, ça pourrait te faire du bien.

V.

8/2/09 4:15 PM  
Blogger V. said...

en tout cas il vous aura fait couler beaucoup d'encre votre pervers narcissique (petite pointure quand même...)

je vous informe que la taille de la bite n'est pas inversement proportionnelle à la gravité de la dite perversion.
même si finalement le "fondement" de la personnalité perverse narcissique reste peut être la rage d'être (ou pas) à la "mesure" du père..

Et puis copier/coller Hirigoyen qui écrit avec les pieds plutôt qu'Eiguer (la haine de l'amour, c'est pas un chef d'oeuvre littéraire, mais ça a le mérite de ne pas être docte) pour illustrer le sujet, c'est pas brillant pour qui se targue d'être le plus grand psy du monde.

ps : "Gérard comme tout bon manipulateur narcissique, adore s'en prendre aux plus faibles, notamment les femmes."
"Dans les faits, Gérard connait aussi bien la psycho que moi le repassage"

Philippe enfin reprenez vous !!!

19/2/09 6:01 PM  
Blogger V. said...

Putain Albine arrête avec la collection arlequin !!!

19/2/09 6:03 PM  
Blogger personne said...

Tiens tiens …ça ne sent pas la violette ici…Je crois reconnaître le doux parfum délétère de l'homo pervertus…Décidemment !

20/2/09 11:22 AM  
Blogger V. said...

Et non, je suis une fille (mais c'est mieux d'imaginer que je suis un vilain pervers caché sous le masque invisible du net). C'est facile de se lamenter sur son sort et d'accuser l'autre d'avoir tous les torts.
Quand un type vous traite mal et que vous restez, celà relève de votre unique responsabilité.
Je parle en connaissance de cause.
Je trouve lamentable de ne pas assumer son masochisme, de ne pas se regarder en face parce que ça fait moche dans le miroir.
Sous prétexte qu'on est une femme on devrait nécessairement pleurnicher sur la méchanceté de personnalités tordues qu'on a cru, dans un délire tout à fait immature et très féminin, pouvoir changer ?
Essayons déjà de changer nos propres travers, ou à tout le moins de les remettre en phase avec le réel.
Au lieu de se complaire dans la complainte de la princesse en "mâle" de prince charmant.

21/2/09 2:31 PM  
Blogger claustra said...

Si je suis d’accord avec le fait que de rester avec un type qui nous maltraite est de notre responsabilité, je ne vois pas en quoi cela nous empêche de nous regarder dans le miroir et en plus de nous y trouver moche ! Il ne faudrait pas inverser les rôles tout de même… A vous lire, Violetta, on a presque la sensation que vous êtes de l’autre côté de la barrière … En fait, les méchants ont bien raison de l’être face à notre délire tout à fait immature et très féminin de vouloir les changer et à nos propres travers…etc … etc… Non mais, je rêve ! Hirigoyen qui écrit avec les pieds ?! Et vous ? Avec quoi écrivez-vous ? La rage probablement… mais laquelle ? J’ai la sensation que le chien enragé qui est passé par chez vous a bien réussi son coup …. Philippe doit bien se marrer à nous lire…

22/2/09 7:05 PM  
Blogger personne said...

Ne nous fâchons pas….! Allons voir de plus près…C’est une fille donc…Une FILLE !!…c’est pas des coucougnettes alors ? Ah une femme vous voulez dire ?! Curieux ce terme de macho sous la plume d’une femme…Pourquoi j’ai senti le mâle ? (je le sens encore d’ailleurs) pour 2 raisons -maintenant il y en a 3 !- 1) Sur la bafouille de Philippe d’abord qui doit faire quelques dizaines de lignes quand même, vous relevez un détail qui, certes, vaut son pesant de cynisme et de trivialité ( la taille de la bite de Gérard) …mais vous le pointez D’EMBLÉE et j’sais pas pourquoi, je trouve ça trèèèès curieux…Bien sûr que les deux hommes se livrent à un « combat » sous le signe de l’éternelle testostérone…Mais oui mais oui… et puis après ? Qu’est-ce qu’on en à faire de ce style défouloir ? De deux choses l’une ou vous êtes un homme derrière un pseudo de fleur fragile (Gérard, c’est toi mon coeur ? ? arghhh !!!) ou un pervers à gros sexe, ce qui n’est pas incompatible, je vous l’accorde, et vous soulignez par là, la méprise du thérapeute, son erreur… son incompétence ? 2) C’est vrai quoi, qui à part un homme penserait à rétablir ce tort, cette injustice que l’on fait au pervers ? Mais oui il peut avoir un gros sexe… ou alors vous êtes bien une femme et vous avez eu affaire à un pervers à gros sexe…d’une « pointure supérieure », comme vous supposez qu’il en existe. « Vous » bien sûr avez aperçu ou combattu d’autres monstres que ça…noble guerrière. Mais, trêve de bêtises, il y a une troisième hypothèse : il semblerait que la féministe militante prenne sa revanche sur les remarques bassement sexistes du sieur Philippe en question, en soulignant que les femmes ne sont pas des êtres faibles et que les tâches de repassage ne leur sont pas forcément dévolues…remarquez certaines féministes sont si proches des hommes qu’elles deviennent susceptibles dès qu’on s’attaque à leur gros sexe même si elles n’en ont pas…ou encore vous êtes le pervers de ma première hypothèse et votre démonstration perfide est une façon de retourner le supposé machisme latent de Philippe contre lui-même . L’attaque est d’autant plus virulente qu’elle se double d’une remise en question de son niveau de lecture…Mais mon-ma cher(e), Hirigoyen vulgarise voyons, c’est tout à son honneur, Eiguer est beaucoup plus difficile d’accès comme l’est souvent la prose psychanalytique et c’est bien dommage. Vérifiez vos sources quand même quand vous faites des critiques (tsss… tsss…pas sérieux tout ça) ainsi le copier-coller de Philippe est de Martiale O’Briens qui a écrit une sorte de roman (très intéressant) construit autour de la personnalité d’un pervers narcissique. Quant au livre que vous citez « la haine de l’amour ou la perversion du lien », remarquable car il reste lisible et qu’on devrait mettre entre toutes les mains, il n’est pas de Eiguer, mais de M.Hurni et G .Stoll tous deux psychanalystes, spécialistes du couple et sexologues. Ce livre bouleversant (pas par son style ou ses histoires de princesse déchue mais par ce qu’on y découvre sur le genre humain… euh… inhumain en fait ) est d’autant plus passionnant qu’il dépasse largement le cadre de leurs vécus de thérapeutes ; ils étendent leurs réflexions au monde politique, culturel, artistique…(vous l’avez vraiment lu ?? ) au fait, ce livre n’a pas pour vocation d’être un chef d’œuvre littéraire, vous mélangez tout… je m’en fous un peu de la littérature quand je veux de l’information, des analyses et des faits, écrits dans une langue accessible. Quoi d’autre ? Ah oui : dans la foulée, vous ne m’épargnez pas, bien sûr : avec vos airs condescendants, vous m’invitez à changer de peau de toute urgence, le tout agrémenté d’un « putain » impatient et viril (vous voyez que vous le faites exprès !) : merci beaucoup m’dame (ou m’sieur…Je m’y perds moi) mais j’ai pas vraiment besoin de jouer les amazones, ça me fatigue ! et je préfère mon eau de rose à moi plutôt que vos remèdes troubles que je ne boirai pas. Et comme c’est fin de week end, je m’accorde mon quart d’heure délire : M’est avis qu’avec vos airs de donneuse (donneur ?) de leçons et vos grandes tapes dans le dos et vos « moi je sais tout mieux que vous » et j’en ai vu « de plus gros, de plus grosses », comme à un comptoir marseillais et vos « je suis plus forte que vous », Violetta a sans doute des allures d’ogre avec du poil aux pattes et les pieds fourchus …Courage fuyons ces rives sombres, embarquons sur mon nénuphar… dit Blanche-Neige (au cas où vous appréciez le quatrième degré, mais ça j’en doute). Et c’est pas fini, voilà la ritournelle du « y’aurait moins de coupables si y’ avait pas autant de victimes… et de masochistes », sûr que ce genre de raisonnement va faire avancer l’humanité… je l’ai tellement entendu que ses allures de tarte à la crème ont fini par la rendre suspecte, d’autant que (à part la courte parenthèse Gérard bien sûr) je n’ai jamais été maso de ma vie, et que je n’y retournerai pas !! mais vaut mieux pointer du doigt les masos et surtout pas embêter les tordus, et gna gna gna… remarquez certains gros fainéants de psys ont trouvé le bon plan pour s’abstenir de réfléchir en plus de vous laminer et de vous ensevelir sous la culpabilité (ça a marché une fois, pourquoi pas recommencer ?). Picasso disait aussi (dans le même style mais en plus crade quand même) : « il faut bien que la nature existe pour pouvoir la violer »…Ben quoi ? On a les bourreaux qu’on mérite, bandes de princesses à la con…

22/2/09 9:23 PM  
Blogger philippe psy said...

Pff, j'ai enfin retrouvé où vous laissiez vos commentaires Albine.

Je viendrai tout relire à froid et vous ferai une réponse circonstanciée.

Désolé d'avoir tant tardé mais je concours pour la palme du mec le plus négligent de France !

23/2/09 12:53 AM  
Blogger V. said...

Claustra,
Hirigoyen écrit avec les pieds. C'est mon point de vue sur l'écriture. Je ne vois pas en quoi ça vous dérange personnellement que je trouve personnellement qu'elle écrive mal !
J'écris peut être avec ce que vous identifiez comme de la rage et alors ? ça fait pas joli dans le paysage ? C'est pas consensuel ? Une fille n'est pas autorisée à être enragée ? Philippe pourra encore me censurer, comme il en a le droit et le pouvoir ! (il est chez lui et la liberté même d'expression s'arrête où commence celle des autres).
Je ne pense pas être de l'autre côté de la barrière.
En fait, je ne suis d'aucun côté.
Je n'aime pas les présupposés (les filles faibles, les mecs égoïstes etc), ni les clans, ni la fédération.
Je ne supporte pas que les filles soient faibles en face de la cruauté (Je ne dis pas "femmes" parce que, je considère qu'on peut tomber sur un prédateur quand on est encore une fille. la femme s'apparentant à une certaine maturité) .
Rien ne justifie qu'on se lamente sur son sort sans regarder ce qui déplait de soi. C'est ce que je lisais dans les témoignages postés. D'où mon intervention.


Albine, vous avez raison, ayant lu les deux bouquin (celui d'Eiguer (le pn et son complice et celui des deux autres) j'ai interverti. Je n'ai pas pris comme vous la peine d'aller vérifier sur Google.
Je lis les livres, je ne mémorise pas la tranche qu'on voit dans la bibliothèque.
Si vous voulez persister à me voir comme un pervers masqué, aucun problème.
Votre genre auquel j'appartiens me rend ce genre même insupportable.
Pourquoi personne n'apprend il à boxer avec méthode la castratrice déguisée en tendre femme fragile ? Mérite t elle un autre sort que son pendant masculin, le pervers narcissique ?

23/2/09 9:27 PM  
Blogger Unknown said...

http://www.lesblogues.com/psyabuseur/31480/Une+th%E9rapie+qui+fait+plus+de+mal+que+de+bien..html

21/3/11 8:44 PM  
Blogger grgerge said...

BONSOIR
je vois beaucoup d'article sur les pervert narcissique mais pas beaucoup sur les parents pervert narcissique ou pervert tous court pourtant quand on vois tous les degas qu'il entraine chez des gens adultes et un minimum solide psychologiquement que ce passe t il sur des enfants
une fugues, une salle de bain recouverte de rouge et bien sur cesera eux les malheureux personelemnt je trouve que l'auteur n'est pas extreme dans ces propos pour mois le chatiment devrai etre la peine de mort ni plus ni moins comme ça il ne pouront plus faire souffrir les gens.

18/3/18 12:14 AM  
Blogger Unknown said...

Oui je suis tout à fait d accord avec cette image du chien méchant qui mord, c'est ce que je transposais sur ma mère il y a 3 mois : un chien méchant qu il faut tenir de court,
Et oui pour la notion des gentils qu ils abusent, d ailleurs elle n aime que les personnes gentilles car ce sont les seules qu elle dupe, Moi elle me considère méchante car je m opposé à elle et ne me laisse pas faire,
Oui il faut mater ces chiens car on ne peut rien en faire et des qu on baisse la garde ils nous remordent, mais pour autant sans s énerver car si on éclaté car difficile de contrôler sa colère ils nous font passer pour fou ou dangereux et se posent eux en victime, Comme un miroir il faut absorber leur technique et ne pas plier sous notre empathie, Comme eux il faut rester froid ressentir leur non émotion et qu en face on a une personne très malsaine et prête à tout pour satisfaire ses propre désirs se valoriser et se faire plaindre, Pour ma part le combat est pas fini car elle fait un chantage vil et sordide et il est hors de question que je la laisse tout détruire et gagner, pendant des années je l ai laissé manipuler par inconscience ou pour avoir la paix mais la elle est allé trop loin, Je lutte pour me défendre mais sinon je fuirai, Oui quand il y a aucun enjeu il vaut mieux fuir car l énergie dépensée ne vaut pas la chandelle

20/6/20 3:54 AM  
Blogger Unknown said...

Pour moi des phobies et des tocs vers 37 ans

20/6/20 3:56 AM  

Enregistrer un commentaire

<< Home