Quand le rationnel est irrationnel !
Je n'ai jamais pensé que Nicolas S., notre bienaimé président de la république, nous sauverait. Comme le dit la bible (Mathieu 7, 15-21) : "on reconnait l'arbre à ses fruits". Et je pense que Nicolas S. porte finalement peu de fruits, ou du moins que ceux qu'ils portent, ne sont pas les plus adaptés à la mission que les français lui ont confiée.
Nicolas S. est pourtant un bon, un type très doué, même ses opposants l'admettent. Je l'ai toujours comparé à un excellent boxeur, un bon mi-moyen. Il sait canaliser sa rage pour adopter une technique sans faille, technique, qui l'aura conduit des bancs de la fac de droit jusqu'à la magistrature suprême. C'est bon, il a sa ceinture de champion de France mis ensuite ? Est-ce qu'un bon boxeur est forcément un bon gestionnaire ?
J'ai le sentiment aujourd'hui, qu'une fois la ceinture obtenue, Nicolas S., se retrouve comme tous ces sportifs de haut niveau, qui une fois les plus hautes distinctions obtenues, médailles d'or et titres divers, perdent toute efficacité dans dans la vraie vie, le quotidien de millions de gens. L'histoire du sport regorge de ces sportifs de très haut niveau, à l'incomparable talent, qui une fois sortis du circuit, se font escroquer par le premier financier venu, ou font des investissements calamiteux. Parce que si le sport de haut niveau, réclame des qualités précises, la vie quotidienne en exige d'autres, qui ne sont pas tout à fait les mêmes.
Qu'est-ce qui a bien pu passer par la tête de notre président, lorsqu'il a décidé de s'augmenter de plus de 140%, à une époque ou le niveau de vie des citoyens baisse de manière inquiétante ! Sa décision était pourtant rationnelle, car ce type est rationnel. Certes, il n'y avait aucune raison, qu'il soit le seul président à gagner aussi mal sa vie, et il n'y avait pas non plus de raisons que son premier ministre gagne deux fois plus que lui. En outre, l'argument selon lequel, en augmentant son salaire, les choses deviendront plus transparentes, en faisant par exemple moins appel à des fonds secrets, tient le coup.
Nicolas S. a bien préparé son match et il l'a gagné. Toutefois, n'est-ce pas le combat de trop . Celui que connaissent tous les boxeurs qui présument à un moment donné de leurs forces ? Etait-il judicieux de proposer cela à un, moment où on ne peut pas dire que tout aille bien en France ?
Ce matin, mes deux premiers rendez-vous m'ont parlé de cela. Deux femmes ayant des professions libérales, qui s'y accrochent coûte que coûte. La seconde, ancienne grande toxicomane, que j'ai suivi voici bien des années, est quelqu'un de courageux, qui aura su triompher de tout. Elle s'est sortie de la came, a monté son business, s'est lancée dans la création d'entreprise et s'accroche. C'est, comme la plupart des héroïnomanes, quelqu'un de dur à la tâche, et certainement pas une pauvre petite chose. Un jour, tout a changé, simplement parce qu'elle a décidé que plutôt que se détruire, elle mettrait le même acharnement à se construire, et cela a marché. Comme toutes les personnes dépendantes, elle est restée dépendante, mais aujourd'hui, c'est de son travail. Elle est douée et réussit plutôt bien.
Nous avons parlé de l'augmentation de Nicolas S., qu'elle jugeait pourtant bien, malgré son parcours d'ex gauchiste rebelle. Elle n'a pas eu de mots trop durs pour lui. Elle ne comprenait pas comment il avait pu faire ça, comment au niveau qui est le sien, on pouvait manquer autant d'empathie, ou bien être assez con, pour s'augmenter de 140% tandis que le pays s'enfonce. Comme elle me le disait, qu'il s'augmente, elle s'en tape. S'il fait du bon boulot, pourquoi pas, parce que finalement, elle est libérale et qu'elle sait que le talent est toujours récompensé. Là, elle a simplement constaté qu'une injustice s'était produite et elle en souffre.
Je sais, pour en avoir suivi beaucoup, que les héroïnomanes, sont un mélange étonnant entre une dureté terrible et une hypersensibilité exceptionnelle et cette patiente, bien qu'elle ne se came plus me le démontre encore. Pourtant, ce type de raisonnement, est partagé par d'autres personnes. Croire que parce que vos actes sont rationnels, seront jugés rationnellement par les autres, est le fait d'un esprit un peu simple. Il suffit de se pencher sur une discipline, dénommée psychosociologie des organisations, pour comprendre que la rationnalité d'un individu est finalement limitée. Moi-même je ne comprends pas ce qui est passé par la tête de Nicolas S. pour avoir ainsi agi.
Compte-tenu de mon métier, rien ne m'étonne plus vraiment. Je pense connaître les gens, et je m'énerve rarement après eux. Mon métier m'aura appris qu'il est idiot d'attendre la moindre rationalité des individus. Etre rationnel, uniquement rationnel, ce serait être stoïcien comme Epictète et encore ! Or pourtant, lui même, réputé dur parmi les durs, après une vie entière d'études doutait encore de ses compétences, en admettant être resté parfois trop irrationnel.
Nicolas S. a été rationnel et je ne doute pas qu'il devait être agumenté. Mais sa rationnalité est finalement limitée, puisqu'elle n'a pas tenu compte de l'irrationalité de ses concitoyens. Il faut être bien naïf pour imaginer que le quidam moyen allait comprendre son geste, que le type qui compte les centimes d'euros, allait comprendre le geste rationnel de Nicolas S.
Notre président a maladroitement agi. Un peu comme si je recevais une mère venant de perdre son enfant unique d'un cancer. Rationnellement, face à un tel cas, je devrais simplement dire : "Madame, les gens naissent et meurent. Votre enfant était mortel et si vous souffrez aujourd'hui, c'est parce que vous l'aviez oublié. Vous êtes donc responsable de votre souffrance". En plus, je crois exactement ce que je viens d'écrire mais jamais je ne me serais permis de le dire aussi brutalement, parce qu'il aurait fallu que je sois fou, dans le sens, où il aurait fallu que je me mue en une sorte de monstre froid et rationnel pour agir aussi rationnellement. En balançant une telle vérité à la face de la pauvre femme, j'aurais provoqué une décompensation et j'aurais tout raté.
Les rapports humains pour être harmonieux nécessitent que les rouages soient bien graissés. La psychologie comme le management ou la politique, exigent une solide dose d'humanité pour fonctionner correctement. Il faut toujours se souvenir que nous ne disposons pas que d'un néocortex qui traiterait les informations d'une manière rationnelle mais aussi d'un système limbique qui génère des émotions et que celles-ci sont complexes. Même si en dernier ressort, il est louable que le néocortex prenne le dessus, il faut toujours en passer par le système limbique.
Par exemple, en écrivant, je suis en train de fumer, ce que je sais être de manière rationnelle une très mauvaise habitude. Le sachant je n'en continue pas moins à fumer et j'en veux à mort au gros Xavier Bertrand qui grâce à son texte débile, va m'empêcher de fumer ma clope en buvant mon petit noir le matin dans mon rade favori. Ma rationalité est limitée et je l'admets. Ce n'est pas une question d'intelligence, mais de neurobiologie : je ne suis pas qu'un être uniquement rationnel, une machine pensante, je suis aussi un être de passion. J'en veux à Xavier Bertrand parce qu'il m'oblige à adopter un comportement rationnel sans que je lui aie rien demandé.
Finalement, être véritablement rationnel, revient toujours à admettre une dose d'irrationalité dans sa démarche intellectuelle, simplement parce que l'irrationnel, encore appelé émotionnel, est une composante de la vie.
Nicolas S. vient donc de commettre sa première bourde, qui à mon sens le fait apparaître pour ce qu'il est : un bateleur adroit mais ayant sans doute plus de talent pour vendre que pour gérer. a manière brute de s'augmenter me fait penser à un commercial basique qui aurait été négocier avec son directeur commercial, au motif que son collègue a des commissions plus importantes que les siennes. Je trouve que ce qui est normal d'un commercial, est intolérable de la part de quelqu'un qui a choisi d'occuper la magistrature suprême.
Et puis, je dois dire que cela ne m'aide pas dans mon travail. Comment jour après jour, amener les gens a plus de recul, de patience, et de maturité, quand au sommet, on me propose un tel exemple ? Les gens sont certes irrationnels mais pas idiots non plus. Une des théories de la motivation, s'appelle la Théorie de l'équité. Les gens ont toujours tendance à comparer leur rapport contribution/bénéfice, avec celui de leurs voisins. Et force est de constater, qu'aujourd'hui encore, ce sont les mêmes qui rament et les mêmes qui ramassent le paquet. Du moins, est-ce ce que pensent la plupart des gens. Ont-ils raison ou tort ? Je n'en sais rien, ce que je sais, c'est que la rationalité des individus est limitée.
Etre rationnel finalement, c'est admettre l'irrationalité et l'intégrer dans nos raisonnements. Au plus haut niveau de l'état, faire l'impasse là-dessus, c'est se montrer indigne de ses fonctions, pour ne pas dire complètement crétin. Dans ce cas là, on se fait du fric vend des photocopieurs chez Rank Xerox, mais on n'a pas la prétention de présider un pays.
Nicolas S. est pourtant un bon, un type très doué, même ses opposants l'admettent. Je l'ai toujours comparé à un excellent boxeur, un bon mi-moyen. Il sait canaliser sa rage pour adopter une technique sans faille, technique, qui l'aura conduit des bancs de la fac de droit jusqu'à la magistrature suprême. C'est bon, il a sa ceinture de champion de France mis ensuite ? Est-ce qu'un bon boxeur est forcément un bon gestionnaire ?
J'ai le sentiment aujourd'hui, qu'une fois la ceinture obtenue, Nicolas S., se retrouve comme tous ces sportifs de haut niveau, qui une fois les plus hautes distinctions obtenues, médailles d'or et titres divers, perdent toute efficacité dans dans la vraie vie, le quotidien de millions de gens. L'histoire du sport regorge de ces sportifs de très haut niveau, à l'incomparable talent, qui une fois sortis du circuit, se font escroquer par le premier financier venu, ou font des investissements calamiteux. Parce que si le sport de haut niveau, réclame des qualités précises, la vie quotidienne en exige d'autres, qui ne sont pas tout à fait les mêmes.
Qu'est-ce qui a bien pu passer par la tête de notre président, lorsqu'il a décidé de s'augmenter de plus de 140%, à une époque ou le niveau de vie des citoyens baisse de manière inquiétante ! Sa décision était pourtant rationnelle, car ce type est rationnel. Certes, il n'y avait aucune raison, qu'il soit le seul président à gagner aussi mal sa vie, et il n'y avait pas non plus de raisons que son premier ministre gagne deux fois plus que lui. En outre, l'argument selon lequel, en augmentant son salaire, les choses deviendront plus transparentes, en faisant par exemple moins appel à des fonds secrets, tient le coup.
Nicolas S. a bien préparé son match et il l'a gagné. Toutefois, n'est-ce pas le combat de trop . Celui que connaissent tous les boxeurs qui présument à un moment donné de leurs forces ? Etait-il judicieux de proposer cela à un, moment où on ne peut pas dire que tout aille bien en France ?
Ce matin, mes deux premiers rendez-vous m'ont parlé de cela. Deux femmes ayant des professions libérales, qui s'y accrochent coûte que coûte. La seconde, ancienne grande toxicomane, que j'ai suivi voici bien des années, est quelqu'un de courageux, qui aura su triompher de tout. Elle s'est sortie de la came, a monté son business, s'est lancée dans la création d'entreprise et s'accroche. C'est, comme la plupart des héroïnomanes, quelqu'un de dur à la tâche, et certainement pas une pauvre petite chose. Un jour, tout a changé, simplement parce qu'elle a décidé que plutôt que se détruire, elle mettrait le même acharnement à se construire, et cela a marché. Comme toutes les personnes dépendantes, elle est restée dépendante, mais aujourd'hui, c'est de son travail. Elle est douée et réussit plutôt bien.
Nous avons parlé de l'augmentation de Nicolas S., qu'elle jugeait pourtant bien, malgré son parcours d'ex gauchiste rebelle. Elle n'a pas eu de mots trop durs pour lui. Elle ne comprenait pas comment il avait pu faire ça, comment au niveau qui est le sien, on pouvait manquer autant d'empathie, ou bien être assez con, pour s'augmenter de 140% tandis que le pays s'enfonce. Comme elle me le disait, qu'il s'augmente, elle s'en tape. S'il fait du bon boulot, pourquoi pas, parce que finalement, elle est libérale et qu'elle sait que le talent est toujours récompensé. Là, elle a simplement constaté qu'une injustice s'était produite et elle en souffre.
Je sais, pour en avoir suivi beaucoup, que les héroïnomanes, sont un mélange étonnant entre une dureté terrible et une hypersensibilité exceptionnelle et cette patiente, bien qu'elle ne se came plus me le démontre encore. Pourtant, ce type de raisonnement, est partagé par d'autres personnes. Croire que parce que vos actes sont rationnels, seront jugés rationnellement par les autres, est le fait d'un esprit un peu simple. Il suffit de se pencher sur une discipline, dénommée psychosociologie des organisations, pour comprendre que la rationnalité d'un individu est finalement limitée. Moi-même je ne comprends pas ce qui est passé par la tête de Nicolas S. pour avoir ainsi agi.
Compte-tenu de mon métier, rien ne m'étonne plus vraiment. Je pense connaître les gens, et je m'énerve rarement après eux. Mon métier m'aura appris qu'il est idiot d'attendre la moindre rationalité des individus. Etre rationnel, uniquement rationnel, ce serait être stoïcien comme Epictète et encore ! Or pourtant, lui même, réputé dur parmi les durs, après une vie entière d'études doutait encore de ses compétences, en admettant être resté parfois trop irrationnel.
Nicolas S. a été rationnel et je ne doute pas qu'il devait être agumenté. Mais sa rationnalité est finalement limitée, puisqu'elle n'a pas tenu compte de l'irrationalité de ses concitoyens. Il faut être bien naïf pour imaginer que le quidam moyen allait comprendre son geste, que le type qui compte les centimes d'euros, allait comprendre le geste rationnel de Nicolas S.
Notre président a maladroitement agi. Un peu comme si je recevais une mère venant de perdre son enfant unique d'un cancer. Rationnellement, face à un tel cas, je devrais simplement dire : "Madame, les gens naissent et meurent. Votre enfant était mortel et si vous souffrez aujourd'hui, c'est parce que vous l'aviez oublié. Vous êtes donc responsable de votre souffrance". En plus, je crois exactement ce que je viens d'écrire mais jamais je ne me serais permis de le dire aussi brutalement, parce qu'il aurait fallu que je sois fou, dans le sens, où il aurait fallu que je me mue en une sorte de monstre froid et rationnel pour agir aussi rationnellement. En balançant une telle vérité à la face de la pauvre femme, j'aurais provoqué une décompensation et j'aurais tout raté.
Les rapports humains pour être harmonieux nécessitent que les rouages soient bien graissés. La psychologie comme le management ou la politique, exigent une solide dose d'humanité pour fonctionner correctement. Il faut toujours se souvenir que nous ne disposons pas que d'un néocortex qui traiterait les informations d'une manière rationnelle mais aussi d'un système limbique qui génère des émotions et que celles-ci sont complexes. Même si en dernier ressort, il est louable que le néocortex prenne le dessus, il faut toujours en passer par le système limbique.
Par exemple, en écrivant, je suis en train de fumer, ce que je sais être de manière rationnelle une très mauvaise habitude. Le sachant je n'en continue pas moins à fumer et j'en veux à mort au gros Xavier Bertrand qui grâce à son texte débile, va m'empêcher de fumer ma clope en buvant mon petit noir le matin dans mon rade favori. Ma rationalité est limitée et je l'admets. Ce n'est pas une question d'intelligence, mais de neurobiologie : je ne suis pas qu'un être uniquement rationnel, une machine pensante, je suis aussi un être de passion. J'en veux à Xavier Bertrand parce qu'il m'oblige à adopter un comportement rationnel sans que je lui aie rien demandé.
Finalement, être véritablement rationnel, revient toujours à admettre une dose d'irrationalité dans sa démarche intellectuelle, simplement parce que l'irrationnel, encore appelé émotionnel, est une composante de la vie.
Nicolas S. vient donc de commettre sa première bourde, qui à mon sens le fait apparaître pour ce qu'il est : un bateleur adroit mais ayant sans doute plus de talent pour vendre que pour gérer. a manière brute de s'augmenter me fait penser à un commercial basique qui aurait été négocier avec son directeur commercial, au motif que son collègue a des commissions plus importantes que les siennes. Je trouve que ce qui est normal d'un commercial, est intolérable de la part de quelqu'un qui a choisi d'occuper la magistrature suprême.
Et puis, je dois dire que cela ne m'aide pas dans mon travail. Comment jour après jour, amener les gens a plus de recul, de patience, et de maturité, quand au sommet, on me propose un tel exemple ? Les gens sont certes irrationnels mais pas idiots non plus. Une des théories de la motivation, s'appelle la Théorie de l'équité. Les gens ont toujours tendance à comparer leur rapport contribution/bénéfice, avec celui de leurs voisins. Et force est de constater, qu'aujourd'hui encore, ce sont les mêmes qui rament et les mêmes qui ramassent le paquet. Du moins, est-ce ce que pensent la plupart des gens. Ont-ils raison ou tort ? Je n'en sais rien, ce que je sais, c'est que la rationalité des individus est limitée.
Etre rationnel finalement, c'est admettre l'irrationalité et l'intégrer dans nos raisonnements. Au plus haut niveau de l'état, faire l'impasse là-dessus, c'est se montrer indigne de ses fonctions, pour ne pas dire complètement crétin. Dans ce cas là, on se fait du fric vend des photocopieurs chez Rank Xerox, mais on n'a pas la prétention de présider un pays.
"Si l'or rouille, que deviendra le plomb ?"
3 Comments:
L'image que je me fait de lui reste au fond celle d'un camelot. Même président, ou PDG, le naturel revient au galop...
Mais qu'à donc fait Nicolas S. de l'argent économisé sur son appart de Neuilly ?
Comment faire intégrer à un jeune délinquant qui deal 2 jours par semaine (c'est pas bien) et se fait 1500 euros par nuit qu'il DOIT travailler (c'est bien) pendant 20 jours par mois pour gagner le smic ? Rationalité vs norme. Prise de risque vs gain.
Nicolas S. a tenté. Nous verrons dans les prochains jours de grève qui se profilent, s'il a gagné.
Son augmentation est un peu du niveau de son deplacement au Tchad.
Il fait dans l'esbrouffe depuis tellement longtemps et comme ca a finalement plutot bien marche, pourquoi s'arreterait il ?
Je vous rejoins dans votre sentiment: a t il atteint son niveau d'incompetence ?
Sinon, j'ai decouvert votre blog recemment et je le trouve tres bien.
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