On nous cache tout !!! Vraiment tout !!!
Tout commence le 30 juin 1764 lorsque Jeanne Boulet, une jeune fille de 14 ans du village des Hubas est attaquée en plein jour dans le pâturage où elle gardait un troupeau de vaches par un animal. A l'époque, les accidents de ce type sont assez fréquents. Mais il s'avère que cet évènement est le premier d'une longue série marquée par plus de trois ans de massacres où l'homme deviendra la proie d'une "bête" malfaisante. En effet, tous les récits de survivants ou de témoins de ces drames désignaient un animal. Mais les blessures, jugées inhabituelles, suggéraient plutôt une "bête" hors du commun que l'on appellera la bête du Gévaudan.
Enfin, le 19 juin 1767, au cours d'une chasse dans les bois de la Ténazeyre, au lieu-dit la Sogne d'Auvers, c'est Jean Chastel, un homme du hameau de la Besseyre-Saint-Mary, qui abat un animal ressemblant à un loup d'une taille très importante. Il est, en revanche, avéré que les agressions cessèrent à compter de cette date. Des historiens admettent que c'est ce même 19 juin 1767 qu'un mystérieux Jérome de Kerviel quittait nuitamment une auberge de Saint-Privat d'Allier.
Jack l'éventreur (en anglais, Jack the Ripper) est le nom d'un tueur en série anglais de la fin du XIXe siècle, dont l'identité n'a jamais été établie. Le surnom passé à la postérité provient peut-être de l'assassin lui-même, mais plus probablement de l'imagination d'un journaliste. Jack l'éventreur assassina sauvagement cinq prostituées du quartier pauvre de Whitechapel, à Londres en 1888.
Le mystère qui entoure l'identité et les mobiles du tueur a intrigué de nombreux enquêteurs et inspiré de nombreux auteurs et artistes. Après avoir successivement exploré plusieurs pistes et même imaginé que ce tueur aurait pu être le Prince de Galles, des recherches plus poussées indiquent qu'on aurait vu un certain Jack J. Kerviel dans le quartier de Whitechapel à la même époque.
Le 7 mai 1915, au début de la Première Guerre mondiale, le paquebot britannique Lusitania, en provenance de New York, est coulé par un sous-marin allemand, l'U20. Le décès de 129 américains dans le naufrage oblige Wilson à prendre position dans le premier conflit mondial.
Qui se souvient que le commandant de ce sous-marin U20 s'appelait Hiéronymus von Kerviel ...
Le 20 août 1940, Trotsky est assassiné à Mexico, dans le quartier de Coyoacán, d'un coup de piolet par un agent de Staline dénommé Ramón Mercader.
Un certain Géronimo Kervielito aurait fourni le piolet ... Qui s'en souvient ?
Lors d'une visite pré-électorale de John F. Kennedy à Dallas, alors que la limousine décapotée du Président passe sur Dealey Plaza, des coups de feu éclatent. Le président est d'abord blessé au cou, tandis que le gouverneur Connally, assis devant lui, est blessé à la poitrine, puis une balle atteint le président à la tête. Aussitôt transporté au Parkland Hospital, le président est déclaré mort après une demi-heure de vains efforts de réanimation.
Selon les enquêtes officielles, Lee Harvey Oswald a assassiné le président. Des sources secrètes évoque la présence d'un mystérieux Jérome G. Kerviel à Dallas à la même époque.
Pierre Bérégovoy meurt le 1er mai 1993, à Paris après avoir été transporté par hélicoptère depuis Nevers où il avait été retrouvé une heure auparavant dans le coma avec deux balles dans la tête. L'enquête de police a conclu au suicide de Pierre Bérégovoy.
La question reste cependant ouverte : comment peut on tirer un second coup avec une première balle dans la tête ? Ses proches le décrivaient comme dépressif depuis la défaite de la gauche aux élections législatives du mois de mars et la polémique à propos de l'achat d'un appartement dans le XVIe arrondissement grâce à un prêt à 0 % consenti par Roger-Patrice Pelat.
A la même période, l'hôtel des Voyageurs de Nevers (étape VRP) accueille un mystérieux client qui règlera sa chambre en liquide et se fait appeler monsieur Kerviel.
Le 28 janvier 2008, un blogueur a publié un article étonnant dans lequel il avance des hypothèses sérieuses permettant de trouver des pistes afin de résoudre certaines énigmes de l'histoire. Le lendemain, il meurt assassiné d'une balle dans la tête. Son épouse expliquera aux policiers venus enqûeter "un certain Jérôme Kerviel a sonné à la grille et à demandé à parler à mon mari. Il avait l'air gentil et propres sur lui alors, je ne me suis pas méfiée".
Enfin, le 19 juin 1767, au cours d'une chasse dans les bois de la Ténazeyre, au lieu-dit la Sogne d'Auvers, c'est Jean Chastel, un homme du hameau de la Besseyre-Saint-Mary, qui abat un animal ressemblant à un loup d'une taille très importante. Il est, en revanche, avéré que les agressions cessèrent à compter de cette date. Des historiens admettent que c'est ce même 19 juin 1767 qu'un mystérieux Jérome de Kerviel quittait nuitamment une auberge de Saint-Privat d'Allier.
Jack l'éventreur (en anglais, Jack the Ripper) est le nom d'un tueur en série anglais de la fin du XIXe siècle, dont l'identité n'a jamais été établie. Le surnom passé à la postérité provient peut-être de l'assassin lui-même, mais plus probablement de l'imagination d'un journaliste. Jack l'éventreur assassina sauvagement cinq prostituées du quartier pauvre de Whitechapel, à Londres en 1888.
Le mystère qui entoure l'identité et les mobiles du tueur a intrigué de nombreux enquêteurs et inspiré de nombreux auteurs et artistes. Après avoir successivement exploré plusieurs pistes et même imaginé que ce tueur aurait pu être le Prince de Galles, des recherches plus poussées indiquent qu'on aurait vu un certain Jack J. Kerviel dans le quartier de Whitechapel à la même époque.
Le 7 mai 1915, au début de la Première Guerre mondiale, le paquebot britannique Lusitania, en provenance de New York, est coulé par un sous-marin allemand, l'U20. Le décès de 129 américains dans le naufrage oblige Wilson à prendre position dans le premier conflit mondial.
Qui se souvient que le commandant de ce sous-marin U20 s'appelait Hiéronymus von Kerviel ...
Le 20 août 1940, Trotsky est assassiné à Mexico, dans le quartier de Coyoacán, d'un coup de piolet par un agent de Staline dénommé Ramón Mercader.
Un certain Géronimo Kervielito aurait fourni le piolet ... Qui s'en souvient ?
Lors d'une visite pré-électorale de John F. Kennedy à Dallas, alors que la limousine décapotée du Président passe sur Dealey Plaza, des coups de feu éclatent. Le président est d'abord blessé au cou, tandis que le gouverneur Connally, assis devant lui, est blessé à la poitrine, puis une balle atteint le président à la tête. Aussitôt transporté au Parkland Hospital, le président est déclaré mort après une demi-heure de vains efforts de réanimation.
Selon les enquêtes officielles, Lee Harvey Oswald a assassiné le président. Des sources secrètes évoque la présence d'un mystérieux Jérome G. Kerviel à Dallas à la même époque.
Pierre Bérégovoy meurt le 1er mai 1993, à Paris après avoir été transporté par hélicoptère depuis Nevers où il avait été retrouvé une heure auparavant dans le coma avec deux balles dans la tête. L'enquête de police a conclu au suicide de Pierre Bérégovoy.
La question reste cependant ouverte : comment peut on tirer un second coup avec une première balle dans la tête ? Ses proches le décrivaient comme dépressif depuis la défaite de la gauche aux élections législatives du mois de mars et la polémique à propos de l'achat d'un appartement dans le XVIe arrondissement grâce à un prêt à 0 % consenti par Roger-Patrice Pelat.
A la même période, l'hôtel des Voyageurs de Nevers (étape VRP) accueille un mystérieux client qui règlera sa chambre en liquide et se fait appeler monsieur Kerviel.
Le 28 janvier 2008, un blogueur a publié un article étonnant dans lequel il avance des hypothèses sérieuses permettant de trouver des pistes afin de résoudre certaines énigmes de l'histoire. Le lendemain, il meurt assassiné d'une balle dans la tête. Son épouse expliquera aux policiers venus enqûeter "un certain Jérôme Kerviel a sonné à la grille et à demandé à parler à mon mari. Il avait l'air gentil et propres sur lui alors, je ne me suis pas méfiée".
11 Comments:
Où était-il entre 1963 et 1993 ?
Nous sommes à Uruffe, petit bourg lorrain proche de Toul. Ginette Grabouchky mène une vie solitaire et effacée dans le logement de fonction de son fils, l'instituteur du village.
Le soir du 12 mai 1977, elle est seule dans l'appartement. Vers 3 heures du matin, sa voisine de palier se réveille en sursaut. Sa chambre est pleine de fumée. Elle sort et voit de petites flammes qui dévorent le bas de porte d'entrée de Mme Grabouchky. Elle alerte les pompiers qui, très vite arrivés, se trouvent devant un spectacle d'épouvante. Le corps de Mme Grabouchky gît carbonisé sur le plancher, contre la porte d'entrée, mais les jambes et le bras droit sont intacts alors que la tête, le tronc et l'abdomen ne sont plus que cendres.
Fait étrange : seul le plancher sous le buste de la victime révèlera des traces d'incendie. Les murs et le sol sont maculés de suie, mais rien d'autre n'a brûlé dans l'appartement. Le poêle à mazout et le chauffe-eau sont éteints. Une boîte d'allumettes est intacte sur le rebord de la fenêtre. L'électricité fonctionne correctement. Crime, suicide? Ces thèses sont écartées à défaut d'élément matériel pouvant les étayer.
Le parquet de Nancy ouvre une enquête et charge le capitaine Laurain d'une expertise. Ce dernier reprend toutes les hypothèses : explosion d'une bombe aérosol ou d'un gaz (mais l'embrasement du mobilier aurait alors été total), crime (mais la porte de l'appartement était fermée de l'intérieur), foudre (la météo invalidera cette possibilité). L'expert émet l'hypothèse d'un cas de combustion spontanée. En conséquence, le 18 janvier 1978, le parquet de Nancy prononcera une ordonnance de non-lieu.
On enverra les journalistes sur place, pour capter des intervious exclusives.
[La voisine du dessous] : Ôh bah c'était un meussieu toujours bien habillé, élégant, grand, toujours très gentil... Des fois il me ramenait le courrier, et pis des fois c'était moi qui lui ramenais le sien, enfin c'était quelqu'un de très courtois, qui faisait jamais de bruit, enfin on l'aimait bien mais on connaissait pas sa vie privée, voyez...
[La voisine d'en face] : Ah oui, je le croisais de temps en temps, quand je rentrais du boulot lui il en sortait, et pis quand il rentrait, bin c'est moi qui sortait. J'travaille de nuit. Alors on s'croisait souvent dans l'escalier, pis on s'saluait poliment. Un gars assez grand, qui r'ssemblait assez à Tom Crouze. Quelqu'un de doux, de calme, jamais entendu quoi que ce soit de louche...
[La boulangère] : voui voui voui, il achetait tous les jours son pain chez nous. Toujours très gentil, très aimable, souriant, tout ça. Ah bah jamais on aurait cru qu'y serait un truand, pensez donc, un homme si gentil !
[Le concierge] : Chi chi, on le connaichait oune peu, mais bom, pas trop, enfin ch'était oune locatairch sans hichtoirch, on est vrraiment trrès trrès chourpris d'apprendre qu'on avait oune criminelch chous not' toit, jésouch-mariche-joseph, poï poï poïch... On aurait jamais crou chà... IL avait l'air tellement gentil, tellement aimablch...
Au XVIIIème siècle en France, quelques années après la révolte des Camisards, 230 personnes environ furent soit agressées soit tuées.
C'est la bête, c'est la bête ! criait-on
Un certain jérôme Kerviel, exilé de Pont l'Abbé, était connu pour ses exploits de meneur de loup. Il disparut lorsque les exactions de la bête cessèrent...
Ton compte est bon le psy!
Ce que tu ne sais pas, ma chère Laurence, c'est que Sylvain Leroux, un journaliste travaillant pour un hebdomadaire bien connu pour sa ligne éditoriale basée sur les énigmes et faits divers, a voulu reprendre l'enquête après l'ordonnance du parquet de Nancy. Ce qu'il a découvert est proprement effarant:
Ginette Grabouchky travaillait à la COGIP, une fabrique d'agrafeuses qui participa au rayonnement international de la France par l'excellence de ses produits (et malgré le fait qu'elle soit située en Lorraine…)
Or le contremaître de cette usine n'était autre que Sean Grabuszki, un cousin éloigné de Ginette qui était arrivé de Pologne dans sa petite enfance. Décrit comme impulsif et violent, Sean Grabuszki ne connaissait rien à l'art subtil de la fabrication d'agrafeuses car la cinématique ingénieuse de ce fleuron de la technologie française lui échappait totalement. En revanche, son tempérament de slave brutal lui permettait de faire régner la terreur parmi le personnel de la COGIP et d'en obtenir une obéissance absolue.
La COGIP a fermé ses portes en 1982, victime des ignobles agissements de capitalistes ultra-libéraux et actionnaires du CAC40 qui firent fabriquer des agrafeuses de mauvaise qualité par des petits enfants esclaves enchaînés à leurs machines-outils dépourvues de toutes sécurités (mais très rentable) situées en Asie du sud-est. Les ouvriers de la COGIP eurent à peine le temps de se réjouir de leurs salaires revalorisés par le bon président de la république qu'ils venaient d'élirent que déjà l'entreprise était odieusement liquidée par le grand capital.
Sylvain Leroux, au prix d'un travail d'investigation remarquable, a retrouvé d'anciens employés de la COGIP qui lui ont révélé un détail crucial: Peu de temps avant sa mort, Ginette Grabouchky avait voulu implanter une section syndicale de la CGT au sein de l'entreprise et Sean Grabuszki l'aurait interprété comme une attaque dirigée contre lui!
Alors, Ginette Grabouchky, femme courageuse et syndicaliste victime de son cousin notoirement machiste et nervi du patronat?
Cette question prend une dimension nouvelle quand on apprend que Sean Grabuszki s'est reconverti dans la gestion technique et administrative d'immeubles résidentiels en créant, en 1986 et avec des capitaux à l'origine nébuleuse, le cabinet de gestion GRABUSZKI-KERVIEL…
C'est d'autant plus curieux que lorsque l'on met côte à côte les photos de Sean Grabuszki et celle de Jerôme Kerviel, la ressemblance est frappante.
De plus Sean Grabuski a un compte à la Société Générale (authentique !) ! Et si l'on additionneles chiffres des années de naissance de Sean G et de Jérôme K. - 1964 + 1976 - on trouve : 6 !
Or vous noterez que ce 6 est déjà présent dans leurs dates de naissance respectives. Trois fois 6, c'est le nombre de la bête !
Je m'arrête là car je sens la température baisser dans la pièce où j'écris et il m'a semblé entendre un rire démoniaque !
...ET PENDANT CE TEMPS.
Pendant ce temps là, vous faites mine d'ignorer le fait que la COGIP était au XIX° siècle une manufacture de zurna, dirigée par Antonin GRAPOUCHKI entre 1812, date de fondation, et 1867, date de la mort mystérieuse d'Antonin GRAPOUCHKI.
Il fut retrouvé nu sur un toit, la main crispée sur un zurna.
Antonin GRAPOUCHKI est mort sans héritier direct capable de reprendre l'affaire, et ce fut un certain Sean KERVIEL, adepte célébrissime du zurnisme, qui racheta les parts sociales à vil prix.
Cela ne lui porta pas chance.
Un contremaître turc, en qui il plaçait sa confiance, quitta l'entreprise et fonda une manufacture concurrente à Göreme en Turquie, inonda le marché français, et fit chuter les ventes de la COGIP qui fit faillite et revint dans la famille GRAPOUCHKI qui reconvertit la production pour fabriquer des gratte-dos en bois de pommier.
C'est depuis cette époque, assez récente, que l'on croit dur comme bois que le zurnisme n'est pas une pratique française.
Erreur.
D'ailleurs, certains en lisant ce commentaire, diront comme un aveu :
"le zurnisme, je m'en gratte".
**********************************************************************
A ces malotrus qui se grattent du zurnisme, je signale que la requête "zurnisme" représente à ce jour :
91 réponses !!!!
Mdr.
Toju
(Nonobstant tout zurnisme)
Il est bon de savoir que XP qui fait le beau sur le net,
se répand depuis plusieurs mois, dans un délire paranoïde de première catégorie, en insultes ignobles, scandaleuses et abjectes auprès de certaines de ses anciennes connaissances, se distinguant également, par un harcèlement téléphonique frénétique et l'envoi de messages immondes dont le contenu extrêmement repoussant est à vomir.
Pour ne rien oublier dans l’immondice, ce minable olibrius puant, lance ses petits trépignements de malade hystérique qui le déshonore à l’endroit même des enfants de ces dites anciennes connaissances, utilisant la calomnie lâche, l’injure basse, et le dégueulis satisfait, ramenant ses prétendues réflexions au niveau qui est le leur réellement, soit celui de la crasseuse poubelle qui est en fait sa demeure naturelle dans laquelle il prospère et subsiste misérablement.
Effectivement, plusieurs plaintes ont été déposées devant les instances concernées, et il est à présent dans le collimateur de la justice pour ses plaisanteries au goût sinistre dont il devra rendre compte.
Tout ceci est tout simplement Kervielaque (ou jéromique, c'est selon) ! Jerôme sort de mon blog !!
Euh qui est XP ? Xavier Pertrand ?
XP? C'était le fils préféré de Bill GATES avant la naissance de Windows Vista ;-)
Enregistrer un commentaire
<< Home