Sacrées gonzesses !
Vous ne le savez peut-être pas, mais prochainement un clip tourné par Bertrand Blier sera diffusé sur nos écrans pour mettre en garde les femmes contre les mauvais traitements habituels qui ne sont pas seulement les coups mais aussi les paroles. J'ai lu cela dans le Parisien voici deux ou trois jours.
On y verra ainsi une femme se faire rabaisser et humilier par son mari de toutes les manières possibles. Il lui dira qu'elle est moche et grosse et n'hésitera pas à la traiter de conne. Qu'on se rappelle que l'homme est un perpétuel salaud qui, lorsqu'il ne tabasse pas sa femme, l'insulte copieusement ! Et puis, quand il en a marre et qu'il veut se reposer, il se contente alors de l'humilier et de la rabaisser sans cesse.
D'ailleurs l'association prend cela très au sérieux et voudrait que l'état légifère sur ce problème. Bien sûr, la responsable qui était interrogée ne sait pas bien comment faire pour qu'un juge répressif matraque les hommes tant tout est affaire d'interprétation !
Pourtant tout n'est pas aussi simple que ce que veulent montrer les associations luttant contre les "violences domestiques". Des couples étranges existent et fonctionneent parfaitement bien tandis que vus de l'extérieur, on a l'impression de voir un bourreau et une victime.
Voici déjà quelques années, j'ai reçu une demoiselle vivant avec un type dont elle avait eu un enfant. Selon ses dire, c'était un monstre d'égoïsme et de cruauté. Il lui avait tout fait. Bien sûr il ne travaillait pas, se contentant de vivre à ses crochets, sans même se donner la peine de garder leur enfant, pour lequel ma patient devait payer une crèche.
Levé tard et n'en branlant pas une, monsieur ne s'animait que le soir venu pour aller faire la tournée des bars en claquant le blé de madame, qu'il trompait de plus assidument avec la première pouffiasse venue. Et le pire est qu'une fois qu'elle avait du partir quinze jours pour un voyage d'affaires, monsieur lassé de devoir donner à manger au chien, s'était débrouillé pour le faire piquer par un véto conciliant.
Dans notre jargon, on appelle les mecs de ce genre des sociopathes ou des personnalités antisociales. Comme il n'est pas possible de faire apparaitre une conscience morale chez quelqu'un qui en est dépourvu, on a l'habitude de dire qu'il sont incurables.
Ma patiente avait conscience de cela. Semaine après semaine, elle me racontait tous les exploits de son copain. Et puis un jour, n'y tenant plus elle l'a quitté, le laissant tout seul et sans argent. Le pauvret a du bosser ce qui n'était pas facile. Comme elle était jeune, jolie, intelligente et travailleuse, elle aurait pu refaire sa vie. Ce qu'elle a tenté de faire.
Mais ce qui devait arriver arriva. Lassé de se lever pour travailler et considérant que c'était plus simple de jouer les gigolos, monsieur Gros Con relança son ex. Et évidemment celle-ci le prenant au mot, décida de lui redonner sa chance. C'est à dire qu'elle plongea et se remit avec lui.
Je ne la vis plus en consultation. Aux dernières nouvelles que me donna une de ses amies, elle souffrait toujours avec son sociopathe. Et je suis sûr qu'à moins d'un miracle, elle passera sa vie avec ce connard.
Pourquoi ? Je n'en sais strictement rien ! On peut invoquer un fond dépressif, un manque d'estime de soi, et autres conneries habituelles de ce genre émises par les psys qui n'ont pas forcément tort d'ailleurs. Pourtant, la demoiselle qui m'a consulté n'avait rien de tout cela. Elle avait juste conscience de ne pas être avec l'homme qu'il lui fallait mais elle ne pouvait s'en passer. Sans doute y avait-il une raison mais finalement elle n'était pas pressée de la trouver, un peu comme le toxico qui sait combien l'héro lui fait du mal mais aussi quel plaisir elle lui procure. Parfois, certaines femmes ont ce genre de mec dans la peau et c'est peut être bien une affaire de phéromones plutôt que de psychologie.
Et croyez-moi, c'est courant. Je ne compte plus les gonzesses en or (jolies, intelligentes) qui m'ont consulté alors qu'elle vivait une histoire d'amour pourrie avec de parfaits connards.
J'en ai donc déduit que parfois, la capacité à aimer de certaines femmes était une faille terrible, quelque soit leur intelligence. D'ailleurs si on connait des femmes qui ont fait le trottoir pour leur homme, on ne connait pas l'inverse.
Et ça, ce n'est pas une pub à la con qui le changera ! Les choses sont parfois plus complexes qu'on ne l'imagine.
Erratum : il s'agit du réalisateur Jacques Audiard et non pas de Bertrand Blier !
On y verra ainsi une femme se faire rabaisser et humilier par son mari de toutes les manières possibles. Il lui dira qu'elle est moche et grosse et n'hésitera pas à la traiter de conne. Qu'on se rappelle que l'homme est un perpétuel salaud qui, lorsqu'il ne tabasse pas sa femme, l'insulte copieusement ! Et puis, quand il en a marre et qu'il veut se reposer, il se contente alors de l'humilier et de la rabaisser sans cesse.
D'ailleurs l'association prend cela très au sérieux et voudrait que l'état légifère sur ce problème. Bien sûr, la responsable qui était interrogée ne sait pas bien comment faire pour qu'un juge répressif matraque les hommes tant tout est affaire d'interprétation !
Pourtant tout n'est pas aussi simple que ce que veulent montrer les associations luttant contre les "violences domestiques". Des couples étranges existent et fonctionneent parfaitement bien tandis que vus de l'extérieur, on a l'impression de voir un bourreau et une victime.
Voici déjà quelques années, j'ai reçu une demoiselle vivant avec un type dont elle avait eu un enfant. Selon ses dire, c'était un monstre d'égoïsme et de cruauté. Il lui avait tout fait. Bien sûr il ne travaillait pas, se contentant de vivre à ses crochets, sans même se donner la peine de garder leur enfant, pour lequel ma patient devait payer une crèche.
Levé tard et n'en branlant pas une, monsieur ne s'animait que le soir venu pour aller faire la tournée des bars en claquant le blé de madame, qu'il trompait de plus assidument avec la première pouffiasse venue. Et le pire est qu'une fois qu'elle avait du partir quinze jours pour un voyage d'affaires, monsieur lassé de devoir donner à manger au chien, s'était débrouillé pour le faire piquer par un véto conciliant.
Dans notre jargon, on appelle les mecs de ce genre des sociopathes ou des personnalités antisociales. Comme il n'est pas possible de faire apparaitre une conscience morale chez quelqu'un qui en est dépourvu, on a l'habitude de dire qu'il sont incurables.
Ma patiente avait conscience de cela. Semaine après semaine, elle me racontait tous les exploits de son copain. Et puis un jour, n'y tenant plus elle l'a quitté, le laissant tout seul et sans argent. Le pauvret a du bosser ce qui n'était pas facile. Comme elle était jeune, jolie, intelligente et travailleuse, elle aurait pu refaire sa vie. Ce qu'elle a tenté de faire.
Mais ce qui devait arriver arriva. Lassé de se lever pour travailler et considérant que c'était plus simple de jouer les gigolos, monsieur Gros Con relança son ex. Et évidemment celle-ci le prenant au mot, décida de lui redonner sa chance. C'est à dire qu'elle plongea et se remit avec lui.
Je ne la vis plus en consultation. Aux dernières nouvelles que me donna une de ses amies, elle souffrait toujours avec son sociopathe. Et je suis sûr qu'à moins d'un miracle, elle passera sa vie avec ce connard.
Pourquoi ? Je n'en sais strictement rien ! On peut invoquer un fond dépressif, un manque d'estime de soi, et autres conneries habituelles de ce genre émises par les psys qui n'ont pas forcément tort d'ailleurs. Pourtant, la demoiselle qui m'a consulté n'avait rien de tout cela. Elle avait juste conscience de ne pas être avec l'homme qu'il lui fallait mais elle ne pouvait s'en passer. Sans doute y avait-il une raison mais finalement elle n'était pas pressée de la trouver, un peu comme le toxico qui sait combien l'héro lui fait du mal mais aussi quel plaisir elle lui procure. Parfois, certaines femmes ont ce genre de mec dans la peau et c'est peut être bien une affaire de phéromones plutôt que de psychologie.
Et croyez-moi, c'est courant. Je ne compte plus les gonzesses en or (jolies, intelligentes) qui m'ont consulté alors qu'elle vivait une histoire d'amour pourrie avec de parfaits connards.
J'en ai donc déduit que parfois, la capacité à aimer de certaines femmes était une faille terrible, quelque soit leur intelligence. D'ailleurs si on connait des femmes qui ont fait le trottoir pour leur homme, on ne connait pas l'inverse.
Et ça, ce n'est pas une pub à la con qui le changera ! Les choses sont parfois plus complexes qu'on ne l'imagine.
Erratum : il s'agit du réalisateur Jacques Audiard et non pas de Bertrand Blier !
21 Comments:
You mean Jacques Audiard ?
http://ilikeyourstyle.net/2009/06/10/tous-les-jours-une-femme-meurt-a-cause-de-la-voix-off-de-son-mari/
Le plus formidable tabou de notre époque semble bien être le fait que les femmes peuvent être connes, méchantes, etc...bref, réelles. C'est toute l'histoire des romans qui est niée. Depuis Homère. Gender studies arrivent ensuite au cas où ils en auraient qui prendraient ça à la lettre.
On a jamais autant marché sur la tête.
ben oui la connerie et la méchanceté ne sont ni une affaire de genre, de sexe ou de couleur de peau.
le jour où l'homme cessera d'idolatrer la vierge, de sacraliser la mère et renoncera à sa toute premiere création, la Femme, on sortira peut être des rapports dominant(e)s dominé(e)s.
Le poids des mots, le choc des photos !!! Beuurrrk !
Le jour où l'homme cessera d'idôlatrer la Vierge ? Hum, ça ne me paraît pas une bonne idée.
Comparez le traitement de la femme adultère par Jésus, dans la Bible, et celui de la femme adultère par Mahomet, dans les hadiths : la différence est spectaculaire. Le catholicisme montre bien, grâce à ce petit exercice de théologie comparée, qu'il est la religion la plus civilisée.
J'ai la faiblesse de penser que le culte de la Vierge n'y est pas tout à fait étranger.
Oui, c'est courant. J'ai pour ma part croisé à plusieurs reprises des femmes intelligentes et indépendantes matériellement qui s'accrochaient à des types qui les humiliaient et/ou vivaient à leurs crochets.
Il me manque sans doute la petite dose d'empathie nécessaire à comprendre ce genre d'attitude. Mon cerveau n'a pas le logiciel permettant de comprendre ce type de situation. Pour moi, c'est de la bêtise, ou du masochisme. Ou les deux. (Je ne parle évidemment pas de femmes fragilisées socialement et psychologiquement, mais de celles que votre billet décrit.)
Je sais, on dira que je suis dure, mais c'est comme ça.
Les femmes battues le sont aussi parce qu'elles le tolèrent. Ce n'est pas une excuse pour le compagnon "cogneur" mais cela n'arrive jamais du jour au lendemain: d'abord une claque et puis l'escalade au fil du temps...
"Les hommes cruels ne courent pas les rues" fut une de mes premières lectures de Katherine Pancol. Or la vie n'est pas un roman, et comme vous me le confirmez, j'ai moi-même rencontré depuis bien des femmes qui s'amourachent de ce type d'individu, violent pathétique, s'agissant de faits ou de mots, et tour à tour d'une telle situation se plaignent et (se complaisent ?? non peut-être pas tout de même...)s'y accrochent.
Je suis arrivée sur votre blog par le hasard d'une navigation qui devait me mener sur l'Ile Improbable de l'acrotomophilie (encore une lecture, le dernier roman de Franck Thilliez "L'anneau de Moebius", un polar noir, très noir...) et je trouve votre écriture à la fois abordable pour mon esprit tout vierge de la "chose psychothérapeutique" et fort intéressant.
Vous allez donc certainement me voir grossir les rangs de votre lectorat dans les prochaines semaines.
Bonne continuation
à R. Marchenoir
le culte de n'importe quoi est une bêtise. Le recul de la connaissance au bénéfice de la croyance.
Il ne s'agit pas de comparer la peste et le cholera. La religion est la plaie de l'humanité. Que les dieux soient d'où que ce soit (olympe, ciel, stade...)
à M. Gringo et Mme RoseNoire
Perfect
Trop tentant... Non, non, je ne la fais pas...
Retiens-toi GCM, retiens-toi !
D'accord, V. Dans ce cas, libérons-nous "des religions", et lapidons les femmes adultères.
Il y a un côté fun dans cette activité dont nous aurions bien tort de nous priver. Pourquoi renoncer à la "connaissance", comme vous dites, du plaisir de voir une femme hurler de douleur sous les pierres et les coups ?
L'idéologie anti-religieuse n'est autre que la religion des Modernes.
Un seul mot : hubris.
a GCM :
l'ejaculation précoce se guérie.
Persistez dans votre entrainement !
Pourquoi dans un seul sens ? Je connais des femmes qui se conduisent comme le connard sus-décrit ou de manière semblable avec leur homme ! Et qui peuvent aussi être très insultante, rabaissantes, des plaies !
On va tout simplement interdire la connerie et l'égoïsme, tient... Ah ouaip, trop facile...
Ils sont trop malins les gentils gens des associations !
à R Marchenoir :
la lapidation est un haut fait de la religion
(chrétienne, judaïque, musulmane)
un mariage civil sanctionnera au pire l'adultère par le divorce, puisqu'il y a rupture de contrat.
c'est sûr, c'est moins excitant.
V. :
Votre phrase "la lapidation est un haut fait de la religion" ne veut rien dire. Savez-vous ce que Jésus a dit à la femme adultère ? Et Mahomet ? Cela vous intéresse-t-il que je vous raconte l'histoire ?
A R Marchenoir :
Parce que vous, vous "savez" ce que Jésus à dit ?!!
Le savoir est l'inverse d'une accumulation d'informations resservies sans êtes passées par le filtre de la remise en question, sans esprit critique.
Vos propos sont précisément englués dans la "croyance" et comme vous l'écrivez, "l'histoire" que vous êtes prêt à me "raconter".
Que toute civilisation se soit retrouvée confrontée au questionnement de ses origines et ait cherché à se rassurer comme elle pouvait en essayant de donner un sens et un visage a ce qui n'en montrait aucun n'autorise en rien les religions monothéistes à décider qu'elles détiennent la réponse à cette inconnue fondamentale de l'existence de ce Tout qui nous inclus.
Prétendre détenir la preuve de l'existence du fils de Dieu (et donc de Dieu, du même coup) au titre du papyrus rylands alors qu'il ne s'agit que d'une preuve de l'existence d'un texte relatant le supplice d'un homme dénommé Jésus, sorte d'agitateur, prophète, guérisseur de l'époque, qui fut,comme une tripotée d'autres types, crucifié car l'époque n'était pas à la démocratie, est une récupération d'un fait à des fins d'interprétations manipulatoires, une fausse vérité édictée comme inconditionnelle pour briser tout accès à la connaissance et au questionnement, et assoir un pouvoir dominant qui n'a rien de spirituel.
J'aurais aimé que la preuve ontologique de Gödel soit irréfutable. Malheureusement elle ne l'est pas.
Quant à la lapidation elle reste très en vogue dans les pays appliquant la charia, c'est à dire respectant un ensemble de règles de conduites considérées comme émanant de la volonté de Dieu. Sauf erreur c'est religieux.
Je vous rappelle car votre esprit semble suivre une ligne quelque peu brisée par endroits, que c'est vous qui avez écrit "liberons nous des religions et lapidons la femme adultere", ce qui est un non sens.
Sans idéologie judeo chrétienne, pas de lapidation.
Oui, V. Je sais ce que Jésus a dit. C'est dans la Bible. Je sais ce que Mahomet a dit. C'est dans le Coran. Et ça n'a rien à voir.
Je vous laisse à votre religion athéiste et anti-catholique, qui ne vous sera pas d'un grand secours quand le mufti de Paris vous prélèvera la taxe chrétienne sur votre compte en banque (à moins que vous ne consentiez à vous convertir à l'islam, bien entendu).
Estimez-vous heureux s'il ne vous ordonne pas de venir prendre votre claque par la même occasion, pour que vous compreniez bien qui est le maître. C'était la coutmue jadis en terre d'islam. Ca le redevient en terre française.
Dormez bien.
A R.Marchenoir
Apparemment, vous êtes flippé par la religion musulmane.
Pour ma part, je considère toute religion comme nuisible.
D'où mon propos de départ que vous avez immédiatement commenté à l'aune de la lapidation.
Vous avez ramené ma considération d'ordre général (les religions sont la plaie de l'humanité) à un élément de votre inquiétude (le catholicisme c'est mieux que la religion musulmane).
In fine, vous vous adressez à moi comme si j'avais critiqué la religion catholique exclusivement et vous en faites une affaire personnelle.
La religion musulmane cherche à acquérir la même puissance que la religion catholique.
Leurs arguments sont les mêmes. Au titre d'une soif de puissance et de violence fallacieusement présentée sous couvert de la prévalence de leur version de la parole de Dieu (qu'ils tiendraient d'un autre type, prénommé lui Mahomet). (D'autres s'en remettent bien à Fabien Galthié ou Zinedine Zidane...)
Les chrétiens ont juste commis des crimes abjectes dont le paroxysme remonte à plusieurs siècles.
Les Musulmans sont toujours prêts à les commettre de nos jours.
Ce qui vous fait peur manifestement, c'est précisément l'archaïsme de ces deux religions et qu'aujourd'hui, nous sommes dans une situation de menace alors que précisément vous voulez, vous, pouvoir continuer à dormir tranquille. Ce qui n'aurait peut être pas été le cas du temps de Torquemada.
Le but des religions monothéistes n'est pas de poursuivre l'évolution de l'humanité mais de la destabiliser.
Et c'était mon seul propos.
Pour finir, je constate que "par défaut", vous vous êtes "d'autorité" adressé à moi au masculin ("estimez vous heureux"...).
Or, je suis un individu de sexe féminin, ce qui dans le langage courant fait de moi une "femme".
Cette absence d'un possible autre qu'un présupposé (mes propos ne pourraient être que ceux d'un homme) démontre à mon sens, que vous êtes définitivement enfermé dans un cadre dont vous ne pouvez vous extraire.
Ouh là là, V., je comprends pourquoi vous consultez un site qui s'appelle Le Psychothérapeute. Vous me reprochez de ne pas savoir que vous êtes une femme, alors que vous prenez un pseudonyme qui, précisément, empêche de connaître votre sexe. Et vous prétendez en tirer des conclusions déplaisantes sur ma personnalité. Pour le reste, votre commentaire est un pataphar d'évidences, d'absurdités et de procès d'intention que je ne me donnerai pas la peine de démêler.
Au fait, à la demande générale de personne, pour ceux que ça intéresserait, voici comment l'islam et le christianisme traitent, chacun, la femme adultère :
http://tinyurl.com/nnbroq
Wow ! Quelle sortie Herrn Marchenoir !
Elle était si minuscule, je ne l'avais même pas vue !
Peut être (sans doute d'ailleurs), êtes vous passé par le chas de l'aiguille, tel le chameau que vous êtes !
:o)
Cher ami relisez la femme et le pantin de Pierre Louys, ça vous ouvrira les chakras
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